Là, on est dans la même situation que la dent de lait qui menace de tomber... A quand la petite souris ? Qui sera d'ailleurs la petite souris ?
Plus sérieusement, PSA est malgré lui dans une spirale décliniste. La faute à une volonté farouche d'indépendance, un manque d'internationalisation, des produits trop concurrencés et à l'image parfois catastrophique.
Les bons diagnostics ont été posés déjà à l'époque de Streiff mais il faut du temps pour que ça marche. (La réputation d'Audi et ses marges ne se sont pas construites en un an).
Le temps, c'est justement ce dont PSA manque face à une concurrence redoutable.
Au final, que la famille perde le contrôle on s'en fout, l'important c'est que le groupe survive, progresse et gagne des parts de marché.
Malheureusement, il y a de forts risques pour que cela se fasse avec de la casse... sociale.