J'ai également dérapé sous la pluie "pour rire" et en abusant (nouveaux pneus hiver montés, pas rôdés. Contexte : petit rond point sans trafic de zone commerciale), la voiture est un peu partie, je pense qu'à ce moment là j'ai un peu lâché l'accélérateur tout en redressant la direction (et en contrecarrant un peu aussi) et puis réaccéleré.
Après, ce n'était pas une vraie perte de contrôle ni grosse glissade où tu te retrouves en travers et où il peut donc y avoir obstacle. Donc, là ce n'est sûrement plus la même histoire et le réflexe est de freiner c'est sûr. Ce qui n'est pas forcément un mal d'arriver moins vite dans un obstacle si tu es amené à t'en taper un.
Pour dire que je n'ai vraiment pas le réflexe de freiner, dans mon accident de vélo cet été, en descente à 60 km/h, il y avait des graviers et de peur de perdre le contrôle j'ai à peine osé effleurer le frein arrière et pas touché à l'avant.
Ce qui pour le coup était peut être con.
Mais, j'ai envie de dire que dans ces cas là, tout va tellement vite ! Que souvent tu es même bien incapable de dire précisément ce qui s'est passé et ce que tu as fait !
Tiens, j'ai une petite question, et je me la suis souvent posée, moi qui ne suis pas en S.
Je me suis toujours dit, qu'à vitesse à peu près égale, percuter par exemple un sanglier "faisait moins mal" dans l'hypothèse (improbable je l'accorde
) où, au moment de rentrer dedans, on enverrait les watts, c'est à dire pied sur l'accélérateur. Cela équivaut bien à une force qui "contre" celle de l'obstacle, et qui vient diminuer la violence ou la netteté du choc, non ?
Alors que le freinage doit provoquer limite le contraire.
Donc, imaginons une grosse voiture bien puissante...
600 Nm et 500 bourrins contre un sanglier, qui gagne ?
Enfin, ma question est-elle censée ou débile ?