Home



:lol: Non mais je veux dire que le Home 2 ne marchera pas si c'est exactement la même histoire, qu'il faut non seulement des variations mais aussi des sortes images différentes :chinois:
 

Home a fait voter les gens pour europe ecologie :eek:

Tu dis comme Le Pen toi [:unclebens:8]
Apparement ils ont fait des stats avant/après le film et il n"y a pas eu beaucoup de différence ;)
 






C'est des conneries les stats. :eek: Financées par José en plus. :eek:
[:unclebens:8]

Ca va pas ? C'est Sarko qui les finance, et qui corrompt la télé publique et la télé privée à la fois. Bon c'est vrai qu'on sait tous qu'il se met d'accord avec ses amis José et Dany pour trafiquer les sondages et embêter ce petit François. :lol: :lol: :lol:
D'ailleurs, c'est Sarko qui a payé France 2 pour diffuser Home, pour faire plaisir à son ami Dany et comploter contre ces pauvres François et Jean-Marie. Et puis, en même temps il foutait une sacrée baffe à Martine, c'était tout bénèf pour lui non ? :pt1cable:
Vraiment, les hommes politiques ont offert un spectacle affligeant durant les derniers jours de cette campagne, et ça ne s'arrange pas... :pfff:
 

Bonjour à toutes & à tous.

Je poste la Complément d'enquête du 8 Juin 2009

L'écologei :oui: & :non:

Au nom du "principe de précaution"on interdit la culture des OGM en Europ et autorise l'importation des cultures OGM du continent Americain

Alors que les boues des stations d'épuration (métaux lourds, résidus chimiques) quoi en faire pour s'en débarrasser à moindre coût pas un seul Ecolo au nom du "principe de précaution" interdis l'épandage sur les terres agricoles

Les conserveries de légume interdis au producteur d'épandre et de plus en plus d'agriculteurs s'en méfient et même la Suisse les a interdites ?
 

Le gouvernement lance la réflexion sur la taxe carbone
AP | 10.06.2009 | 20:05
La vague verte aux élections européennes remet au premier plan le processus du Grenelle de l'environnement. Alors que le projet de loi "Grenelle I" était examiné en deuxième lecture à l'Assemblée, Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde ont ouvert mercredi le débat sur la création d'une contribution climat-énergie. Les écologistes, qui doutent de la sincérité du gouvernement, attendent des actes.

Depuis dimanche et les 16,28% des listes Europe Ecologie, mais aussi la sortie du film "Home" de Yann Arthus-Bertrand, les questions d'environnement, reléguées au second plan ces derniers mois par la crise, semblent subitement revenir dans les priorités du gouvernement.

Après le déplacement de Nicolas Sarkozy mardi en Savoie pour répéter son engagement en faveur des énergies renouvelables, Christine Lagarde (Economie) et Jean-Louis Borloo (Ecologie) ont annoncé mercredi la réunion les 2 et 3 juillet d'une conférence des experts pour étudier la création d'une contribution climat-énergie.

En parallèle, le gouvernement a mis en ligne sur Internet un "livre blanc", ouvert aux commentaires jusqu'au 24 juin. Une table ronde de personnalités de "haut niveau", présidée par l'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard, sera ensuite chargée de faire la synthèse des travaux de cette conférence.

Cette contribution consiste à taxer les émissions de carbone par tous les agents économiques. Il s'agit d'atteindre l'objectif d'une division par quatre des émissions de gaz à effet de serre entre 1990 et 2050, fixé à l'automne 2007 par le Grenelle Environnement, en encourageant des "comportements sobres en carbone et en énergie".

Selon le Livre blanc, l'assiette de la nouvelle taxe "pourrait refléter le volume de carbone émis lors des processus de production et de transport des produits consommés" ou le "contenu en CO2 de l'énergie". "Quel que soit le schéma retenu, la taxe serait supportée à la fois par les entreprises et les ménages. Elle refléterait un prix unique du carbone quelles que soient les sources d'émissions", selon le gouvernement.

Mais cette idée de taxe carbone, proposée en 2007 par Nicolas Hulot dans son pacte écologique, est loin de faire consensus. Les participants à la table ronde finale du Grenelle de l'Environnement n'avaient pu trouver un accord. Ils avaient simplement conclu à la nécessité d'étudier la création de cette taxe.

Techniquement, la fiscalité écologique est extrêmement complexe à mettre en oeuvre, car il faudra quantifier l'impact environnemental de tous les produits consommés.

Politiquement, ce nouvel impôt ne doit pas peser sur le pouvoir d'achat des ménages, surtout en période de crise. Le patronat met en avant les risques de délocalisations, les associations de consommateurs s'alarment de cette ponction sur le revenu des ménages. L'UFC-Que Choisir a demandé mercredi que la "hausse injuste des dépenses" que la taxe va entraîner pour le consommateur soit compensée par un "chèque vert" pour tous les ménages.

Lors du Grenelle de l'environnement, Nicolas Sarkozy s'était prononcé "contre toute fiscalité supplémentaire qui pèserait sur les ménages et les entreprises". La nouvelle taxe "entraînera automatiquement une diminution d'un autre prélèvement", a fait savoir Christine Lagarde.

Conscient d'avancer en terrain miné, Jean-Lous Borloo a indiqué mercredi que la nouvelle taxe ne sera pas opérationnelle avant 2011.

Les Verts ne croient pas à la sincérité de la conversion écologique du gouvernement. "Lorsqu'on met un chapeau vert sur une chèvre, ça reste une chèvre", a raillé Noël Mamère. "Il faut se méfier des contrefaçons, et de tous ceux qui prétendent mener des politiques écologiques alors même que le président de la République et son gouvernement, lorsqu'ils ont mis en place le plan de relance, ont oublié le Grenelle de l'environnement".

Les députés Verts ont déposé un amendement au projet de loi d'orientation sur le Grenelle de l'environnement pour instituer tout de suite cette contribution climat-énergie. Cette proposition a été rejetée en commission. AP