Que faisiez-vous le...

L'avion c'est un gros autobus, surtout sur des vols de moins de 2h en Canadair Regional Jet ou assimilé :spamafote: .
J'ai fais 2 fois (enfin 4 fois avec l'A/R) des vols de plus de 10h.... tu sors explosé car plié en 4 dans un petit espace bruyant et jetlag en plus :sleep: :pt1cable: :sleep: :sarcastic: .

Bref l'avion c'est un moyen de transport comme un autre :spamafote: .
 



Celui là n'est pas trop effroyable encore, on ne voit rien...

Par contre le "Oh naan, oh naan, oh naaann..." à la fin :lol:
 



L'avion c'est un gros autobus, surtout sur des vols de moins de 2h en Canadair Regional Jet ou assimilé :spamafote: .
J'ai fais 2 fois (enfin 4 fois avec l'A/R) des vols de plus de 10h.... tu sors explosé car plié en 4 dans un petit espace bruyant et jetlag en plus :sleep: :pt1cable: :sleep: :sarcastic: .

Bref l'avion c'est un moyen de transport comme un autre :spamafote: .


Eh bien voyage en Business Class et arrête de te plaindre :eek: ! J'te jure ! :lol: :lol: :lol:


Celui que je trouve le plus affreux c'est celui du Concorde (en récent)... parce que je sens que les passagers ont dû voir que quelque chose n'allait pas du tout et que l'issue serait fatale... C'est pas comme se prendre une montagne ou exploser en plein vol subitement... :( :( :(
 

En matiere aéronautique, il y a aussi de sacrés miracles. :eek: :bien:
Transat 236 est un vol de la compagnie canadienne Air Transat entre Toronto et Lisbonne assuré par un Airbus A330 le 24 août 2001 qui s'est retrouvé en panne de kérosène au-dessus de l'océan Atlantique avec 306 personnes à bord.

Le pilote Robert Piché, aidé de son copilote Dirk de Jager, a réussi à poser l'appareil sur une piste d'atterrissage aux Açores avec les deux moteurs arrêtés et après un vol plané de plus de 20 minutes. Aucun des 293 passagers et des 13 membres d'équipage n'a été sérieusement blessé.
Sommaire


Nature de la panne

En vol, pendant la nuit, alors que l'avion a parcouru plus des 2/3 de son trajet, le commandant de bord et l'officier pilote sont avertis d'un problème de pression d'huile et d'une température d'huile trop basse sur l'un des moteurs. Panne inattendue en vol (un avion peut plutôt rencontrer le problème inverse, une température trop forte). Le manuel d'instruction du bord ne répertorie pas cette panne et le centre technique d'Air Transat, contacté par radio, n'est pas non plus capable de fournir une explication.

Ce problème d'huile ne mettant pas en danger l'avion, les pilotes décident de continuer le vol normalement, pensant à un bug informatique. Un peu plus tard, une deuxième alarme se déclenche. Elle avertit d'un problème de déséquilibre des quantités de kérosène entre les réservoirs des deux ailes.

Sans le savoir, ils sont en train de subir une fuite de kérosène sur un des réservoirs. Obéissant au manuel de l'appareil, le commandant demande à l'officier pilote d'ouvrir la vanne de transfert entre les réservoirs, pour rééquilibrer les niveaux de kérosène. Le manuel spécifie que ce transfert ne doit pas se faire si les pilotes suspectent une fuite de carburant mais comme le co-pilote a fait un contrôle, habituel, des quantités restantes de carburant un quart d'heure auparavant et que tout était normal, les pilotes ouvrent la vanne de transfert.

Ce faisant, ils vont provoquer la perte de la majeure partie de carburant restant, à cause de cette fuite, dont ils ignorent l'existence. Le problème de déséquilibre persistant, le commandant commence a suspecter un possible problème de fuite. Il va demander à la chef de cabine d'aller voir par un de hublots de l'arrière si elle ne voit pas de traînée sur le derrière de l'aile, mais avec la nuit, cette dernière ne voit rien. Il coupe néanmoins la vanne de transfert et le co-pilote contrôle à nouveau le niveau de carburant. Il s'avère qu'il ne reste presque plus de kérosène. Rapidement, un moteur s'arrête, bientôt suivi du deuxième.

Origine de la panne

Un des moteurs de l'avion avait été changé. Le nouveau moteur n'avait pas été livré avec certaines pièces annexes. Suite à une erreur de maintenance sur ce moteur, une pièce de séparation des tuyaux d'une taille non adaptée avait été montée, laissant un jeu de quelques millimètres sur le tuyau du circuit hydraulique.

Au cours du vol, ce tuyau, à l'intérieur d'un des moteurs Rolls-Royce et en raison des vibrations a frotté contre un tuyau d'approvisionnement de kérosène, qu'il a percé entraînant le départ de la fuite. Ce tuyau s'est ensuite rompu, aggravant brutalement la perte de carburant.

Le kérosène extrêmement froid en se déversant sur le tuyau d'huile provoqua la première alerte de température d'huile trop froide, celle qui induisit en erreur les pilotes.

Réaction du poste de pilotage

Après avoir peut-être échoué à reconnaître la nature du problème, l'équipage a réagi avec sang-froid et habileté. Il a entrepris un déroutement vers une piste d'atterrissage alternative, sur une la base aérienne de Lajes dans les Açores. Un mayday (déclaration d'urgence à bord) a été lancé.

Les pilotes ont renoncé à tenter un amerrissage, trop dangereux. Dotée d'un radar primaire militaire, la base de Lajes a pu repérer l'avion, dont le transpondeur était tombé en panne et rendait donc l'avion indétectable sur un radar secondaire. Le vol s'est dérouté vers le sud, rejoignant en vol plané la piste d'atterrissage de Lajes.

La plupart des systèmes de pilotage étaient tombés en panne, faute d'électricité. L'avion arrivait trop vite et trop haut. Le pilote a effectué des manœuvres en "S" (succession de virages serrés permettant de perdre de l'altitude et de la vitesse), pendant que l'aéroport se préparait à un atterrissage catastrophe.

Touchant la piste à une vitesse excessive (environ 370 km/h), l'Airbus a pu freiner à temps, grâce aux freins d'urgence et surtout a la longueur de la piste (4km) due au fait que c'est une base militaire. S'il n'y était pas parvenu, l'Airbus aurait probablement effectué une chute mortelle pour ses passagers, la piste se finissant par une falaise. Huit des dix pneus ont éclaté, l'atterrissage a été brutal, mais personne n'a été blessé et l'avion n'a pas pris feu. Tous les passagers et membres d'équipage ont pu sortir sur les toboggans d'urgence. Les pilotes ont été traités en héros.

Il faut toutefois noter que si la panne s'était déclarée plus tôt, ou si les vents avaient été défavorables, l'avion n'aurait peut-être pas pu atteindre en plané cette piste d'atterrissage de secours et aurait été contraint d'amerrir, dans des conditions très dangereuses.

Conséquences

Airbus considère les pilotes responsables d'avoir mal interprété les signaux d'alerte et d'avoir provoqué l'accélération de la perte d'essence. Mais Air Transat estime que le problème est dû à Airbus. Le problème technique qui avait provoqué le percement d'un tuyau a été corrigé sur tous les appareils. Une enquête a été menée. Les deux pilotes sont toujours employés d'Air Transat. Les passagers considèrent pour la plupart qu'ils leur doivent la vie. Le pilote et son copilote ont été récompensés en 2002 pour avoir effectué le "plus long vol plané de l'histoire aéronautique" (21 minutes) avec un avion de ligne de cette taille.

Cet événement a été présenté dans le 6e épisode de la première saison de la série télévisée Mayday.

Merci à Wikipédia pour m'avoir permis de retrouver cette histoire et de decouvrir celle là tout aussi incroyable. :eek:
Le Planeur de Gimli est le surnom donné à l'avion impliqué dans un incident célèbre dans l'histoire de l'aviation, qui s'est produit le 23 juillet 1983, lorsqu'un Boeing 767, vol Air Canada 143, s'est retrouvé à court de carburant à 12 000 mètres au-dessus du centre du Canada et a dû planer pour se poser à une ancienne base aérienne militaire à Gimli, dans le Manitoba.



Une erreur de calcul

L'histoire commence avec un détail quelque peu amusant, une confusion sur une conversion métrique. Normalement on charge un 767 en carburant avec une machine appelée en anglais le Fuel Quantity Information System Processor, qui gère toutes les pompes internes et donne les informations sur la quantité de carburant au pilote. Mais cette machine ne marchait pas correctement pour le vol 143 ; le problème fut plus tard analysé comme provenant d'un mauvais joint de soudure dans le système de mesure des réservoirs. La charge en carburant fut finalement mesurée avec un jaugeur qui donna le volume total de carburant dans les réservoirs.

Le problème s'est produit lors du calcul de la quantité de carburant nécessaire au trajet Montréal-Edmonton. Les calculs n'étaient pas basés sur le volume, mais sur la masse, donc il fallait faire la conversion. Le 767 mesurait le carburant en kilogrammes, alors que les autres manuels et avions de la flotte d'Air Canada utilisaient des livres. En regardant leurs notes, on a vu qu'ils avaient utilisé une conversion de 1,77 livres/litre, mais un avion comptant en kilogramme aurait utilisé 0,8 kg/litre. Ayant pris cette mauvaise conversion, ils ont entré dans l'ordinateur de bord une quantité supposée de 20 400 kg, et l'ordinateur de bord a indiqué que la quantité était suffisante pour le trajet. Mais il y avait en fait seulement 9 144 kg de carburant dans l'appareil, ce qui ne pouvait suffire pour le voyage vers Edmonton.

À la fois les pilotes et l'équipe de ravitaillement avaient fait l'erreur de conversion, mais après trois vérifications aboutissant au même résultat, le pilote, le capitaine Bob Pearson, décida finalement de décoller. Le vol 143 parcourut ensuite la courte distance Montréal-Ottawa ; à leur arrivée à Ottawa ils demandèrent une nouvelle vérification du contenu des réservoirs pour s'assurer de la quantité de carburant, et une fois de plus les nombres correspondaient – dans l'erreur. Ils ont ensuite décollé pour la deuxième partie du vol, Ottawa-Edmonton.

Plus de moteurs

À 12 500 mètres au-dessus de Red Lake, Ontario (à peu près à mi-chemin), le système d'alerte du cockpit a émis quatre bips, et indiqua un problème de pression de carburant sur le côté gauche. Les pilotes pensaient qu'une pompe à carburant était tombée en panne et l'ont éteinte. L'ordinateur indiquait qu'il y avait toujours beaucoup de carburant. Quelques instants plus tard une deuxième alarme sonna et les pilotes décidèrent de détourner le vol vers Winnipeg. Enfin, le moteur gauche s'arrêta et ils se préparèrent à un atterrissage avec un seul moteur.

Alors que l'équipage tentait de redémarrer le moteur et de communiquer avec les contrôleurs aériens de Winnipeg pour un atterrissage d'urgence, le système d'alarme se déclencha encore, cette fois-ci avec un long « bong » que personne dans le cockpit ne reconnut. Le son était en fait le signal pour « tous les moteurs arrêtés », un cas qu'aucune simulation n'avait traité. Quelques secondes plus tard le moteur droit s'arrêta et le 767 perdit toute alimentation électrique, laissant le cockpit totalement silencieux et permettant au système d'enregistrement de communications du cockpit d'enregistrer facilement les mots « Et m....! » (« Oh, f...! »).

Le 767, au lieu d'instruments mécaniques à cadran, utilise des écrans électroniques pour l'affichage des informations de vol. Ce principe marche très bien la plupart du temps, mais comme les moteurs de l'avion fournissaient aussi l'électricité à l'avion, à l'arrêt des moteurs la plupart des instruments s'éteignirent. Un des instruments hors fonction était l'indicateur de vitesse verticale (variomètre), qui leur aurait permis de savoir à quelle vitesse ils chutaient et donc sur quelle distance ils pourraient planer.

Les moteurs fournissaient aussi l'énergie aux systèmes hydrauliques de l'appareil, qui étaient nécessaires au contrôle d'un appareil tel que le 767. Cependant Boeing avait prévu ce cas de figure et avait inclus dans l'appareil un dispositif appelé ram air turbine qui s'ouvrait automatiquement sur le côté de l'appareil, et qui, grâce à une turbine reliée à un générateur, utilisait la vitesse de l'appareil pour capter suffisamment d'énergie pour les systèmes hydrauliques afin de rendre l'appareil pilotable.

Les pilotes ouvrirent immédiatement leurs manuels, recherchant la section sur le pilotage de l'appareil sans moteurs, découvrant rapidement qu'il n'y avait pas de telle section. Pearson pilota l'appareil en planeur à 220 nœuds, qui lui semblait d'intuition une bonne vitesse pour un tel exercice. Le copilote Maurice Quintal commença à calculer s'il leur était possible d'atteindre Winnipeg, en utilisant l'altitude donnée par un des instruments mécaniques de secours et la distance qu'ils parcouraient donnée par les contrôleurs aériens de Winnipeg (qu'ils calculaient en mesurant la distance que l'écho de l'appareil faisait sur leur écrans radars). L'avion avait perdu 1 500 mètres en 10 milles marins (18,5 km), donnant une finesse de 11 (ce qui est en fait plutôt bon, une finesse de 11 permet si on est à 1 km de hauteur de parcourir 11 km avant de toucher le sol). Les contrôleurs et Quintal calculèrent que le vol 143 n'atteindrait pas Winnipeg.

L'ancienne base de Gimli, dernier recours

À ce moment, Quintal sélectionna son ancienne base d'affectation de l'armée à Gimli comme point d'atterrissage. Mais cette base n'était alors plus utilisée par l'armée mais par le public pour des courses de dragsters. Bien sûr, les deux pilotes ne le savaient pas. Et ce jour-là, le site était entouré de voitures et de campeurs pour le « Jour de la Famille ».

En approchant, Quintal descendit le train d'atterrissage, mais, non alimenté par le système hydraulique et seulement mû par la force de gravité et le vent, le train sortit, mais ne se verrouilla pas dans sa position normale. La vitesse de l'avion se réduisant, la turbine ram air perdait aussi de son efficacité, et l'avion devenait de plus en plus difficile à contrôler. En approchant il devenait clair qu'ils avaient trop d'altitude et Pearson dut exécuter une glissade pour réduire leur altitude sans accélérer (manœuvre effectuée plutôt sur des avions légers habituellement). Dès l'instant où les roues touchèrent la piste, les pilotes bloquèrent les freins, ce qui fit exploser plusieurs des pneus de l'avion. L'avion finit par s'arrêter, penché vers l'avant à cause du train avant non fixé, à seulement quelques dizaines de mètres des célébrations du « Jour de la Famille » en bout de piste.

Personne ne fut sérieusement blessé lors de l'atterrissage, bien qu'il y eut quelques blessures mineures lors de l'évacuation par l'arrière de l'avion qui était anormalement haut à cause de l'angle de l'appareil au sol. Un feu superficiel à l'avant fut rapidement stoppé par les pilotes de course automobile qui accoururent avec des extincteurs. Les blessures furent vite traitées par un docteur qui était sur le point de décoller de l'autre piste de Gimli, toujours utilisée par un aéro-club et par des parachutistes.
Le Planeur de Gimli dans le désert de Mojave en février 2008
Le Planeur de Gimli dans le désert de Mojave en février 2008

Des mécaniciens réparèrent bientôt les dégâts mineurs, permettant ainsi à l'appareil de voler pour être pris en charge. Quelques semaines plus tard il fut totalement réparé et remis en service. Une anecdote amusante est que les mécaniciens envoyés de l'aéroport de Winnipeg dans une camionnette sont tombés en panne d'essence en venant à Gimli et furent bloqués dans les forêts du Manitoba. Une autre camionnette fut envoyée pour les secourir.

Le « planeur de Gimli », immatriculé C-GAUN, était toujours en service pour Air Canada jusqu'au 24 janvier 2008, date à laquelle il a effectué son dernier vol pour Air Canada, en direction de l'Arizona, endroit où il sera remisé dans le désert pour une retraite bien méritée. En argot du Canada de l'est, « to pull a Gimli Glider » veut dire faire une erreur spectaculaire et embarrassante.
 

:eek:

Ca donne pas envie de prendre l'avion :lol:
Je vais faire un vol des USA a la FRance le 31 juillet, je penserai a ces deux histoires. Et je la raconterai aux gens qui seront a cote de moi :whistle:
 

La deuxième histoire encore on pourrait se dire que depuis 1983 ils ont fait des progrès en terme de panne. Mais quand tu vois la première de 2001 :whistle:
 

Ca doit etre tres long 21 minutes dans un A330 sans moteur. Pas un bruit !! Juste le frottement de l'air. :eek: :D
 

Pour revenir au sujet de Coluche j'étais à Cannes fin juillet et suis passé par Opio

J'ai fait quelques photos du "Mémorial Coluche"

Photo166.jpg

Photo167.jpg

Photo168.jpg

Photo169.jpg


;)
 


Bah au moment des impacts j'etais en cours de Francais, en 5e ^^ 'M'en souviens, il faisait super beau, je rentrais à 5 heures, content d'pouvoir m'goinfrer devant Les Jumelles s'en melent :D

En allumant la télé, j'ai vite déchanté :/ et ma maman m'expliquait qu'y'avait pas que New York...
 

pas mal, j'avais jamais vu


Pour ceux qui sont dans la région et qui veulent s'y rendre

Depuis Cannes Prendre Boulevard Carnot puis apres Peugeot Azur, prendre le rond-point en direction de Grasse, Sortir à Valbonne puis prendre direction Opio , Chateauneuf de Grasse

Le fameux virage a été remplacé par un rond-point c'est en sortie de village de Opio ;)
 

Les américains, ils se la petent avec des Die Hard XXL mais ils n'avaient non plus imaginé un tel scénario non plus. :D


Et bien si ...
J'avais lu Tom Clancy "Sur Ordre" quelques mois avant ... attaque terroriste au 747 sur le capitol ...
c'était pas Al Quaïda, mais ça fleurait bon la prémonition...
 

Et bien si ...
J'avais lu Tom Clancy "Sur Ordre" quelques mois avant ... attaque terroriste au 747 sur le capitol ...
c'était pas Al Quaïda, mais ça fleurait bon la prémonition...
En tôle Clancy [:kham] [:kham] [:kham] .
 


Ouai ... On se demande qui donne les idées à qui ...
Euh je plaisentais :whistle: :whistle: :whistle:
T'en fais pas l'idée n'es pas un problème :non: :non: .
C'est la mise en oeuvre et la confidentialité du projet qui sont les clefs de la "réussite" (si je puis dire :spamafote: ).
 

Euh je plaisentais :whistle: :whistle: :whistle:
T'en fais pas l'idée n'es pas un problème :non: :non: .
C'est la mise en oeuvre et la confidentialité du projet qui sont les clefs de la "réussite" (si je puis dire :spamafote: ).


Moi aussi je plaisante. Si on continue dans cette logique, on aboutit à la restauration de la censure ! Il vaut mieux le prendre comme une sorte de prévention/avertissement. Si un romancier en a eu l'idée, pourquoi pas eux ...
 

Moi aussi je plaisante. Si on continue dans cette logique, on aboutit à la restauration de la censure ! Il vaut mieux le prendre comme une sorte de prévention/avertissement. Si un romancier en a eu l'idée, pourquoi pas eux ...
Des idées j'en ai plein à fournir :sarcastic: :sarcastic: :
Raser Big Ben, la tour eiffel, raser le stade qui accueil la final de coupe du monde de foot ou la final du superball., ....
 






J'ai passé l'apres midi dans ma chambre dans le centre de vacance ou je bossais. En allant manger vers 19h j'ai vue les clients affolées devant la TV ,sur le coup je n'ai pas compris ,mais quand la premiere tour c'est effrondé la j'ai ouvert les yeux....
Je n'en revenais pas....
 

Voilà,c'est bientôt le 7ième anniversaire des attentats du 11 septembre 2001. J4ai cherché sur Internet des vidéos des journaux télévisés. En fait, je suis intéressé par les Editions spéciales pour savoir en fait ce qui a été dit au début.
Ou pouurais-je trouver cela ?

Merci
 

C'est marrant le jeudi prochain j'ai pris rendez vous avec plusieurs clients. Perso j'avais pas tilté.... jusqu'a ce qu'on me fasse la remarque [:unclebens:8] [:unclebens:8] [:unclebens:8] .