Bah oui mais si il a joué comme en EDF, je comprends la presse espagnoleBah il a joué qu'un match
Les 4 clubs français ont gagnés, ça change de la C1PSG est allé gagner à Kayseri 2-1.
A la question assez neutre du journaliste, qui lui fait remarquer que certains coachs comme «Arsène Wenger et d'autres» affirment que l’ancien meneur de jeu des Bleus est rétrograde sur le sujet de l'arbitrage vidéo, le président de l'UEFA répond à la façon d’un Mickael Youn vexé: «Moi, je parle de foot, lui de business. Il faut arrêter avec Wenger et tout ça. C'est tout pour ma gueule, c’est TPMG, Arsène!»
Wenger bashing
Nouvelle question: «L'arbitrage vidéo ne se fera-t-il donc jamais?» En souriant, Platini en remet une couche sur le dos du placide Wenger qui n’en demandait sûrement pas tant: «J'espère. Je me ferai une joie qu'Arsène Wenger ne le voit jamais...»
Chaque question, par exemple celle, anodine, sur la victoire du club roumain de Cluj contre la Roma la semaine dernière en Ligue des champions, devient alors propice à un Wenger bashing dans les règles de l’art. «C’est ce qui fait la beauté du football, c’est ce que ne veulent pas des Wenger, que les petits battent les grands, parce qu'ils veulent leur business.»
Après la défaite contre l'Atlético Madrid (2-1), les joueurs de l'OM pensaient rentrer tranquillement, en avion, chez eux. Mais la compagnie aérienne ne voulait pas payer la note de kérosène... Abracadabrantesque!
Après la défaite subie au stade Vicente-Calderon, Pape Diouf, le président de l'OM, a eu des mots durs à l'encontre de ses homologues espagnols: "nous pensions que Madrid était une belle capitale du football". Si l'ex-agent de joueurs avait été interrogé ce matin, il aurait sûrement rajouté: " je sais, maintenant, que Madrid n'est pas la capitale du transport aérien." Et pour cause! Les Olympiens ont quitté la pelouse de l'Atlético Madrid à 22h35, et ils ont décollé de l'aéroport de Barajas à...2h48 du matin.
Pourquoi un tel retard? C'est le journal La Provence qui raconte cet épisode rarissime. L'avion qui est venu chercher les joueurs appartient à la compagnie Aigle Azur. Mais cette dernière n'a pas pu être ravitaillée par la compagnie pétrolière car il n'y avait pas d'accord signé entre eux. Une situation qui arrive de temps en temps et qui se règle grâce à des conventions internationales. Pas cette fois-ci: la compagnie pétrolière demande de payer les 2 800 litres de fuel nécéssaires en cash ou en carte bancaire pétrolière.
La seule solution est de demander aux joueurs présents dans l'avion, ainsi qu'au staff médical et aux dirigeants de régler la somme de 3 300 euros en liquide... Le chef d'escale tenta bien de trouver une autre solution, mais après trois heures de discussion, il était bien temps de décoller. Les passagers sont arrivés à 4h10 du matin. L'histoire ne dit pas si Pape Diouf a applaudi le pilote pour son atterissage en douceur..
Les "familles" du football (syndicats des joueurs, entraîneurs, arbitres, administratifs et médecins), réunies jeudi à Paris, ont appelé à la grève des joueurs pour les 24, 25 et 26 octobre (10e journée de L1 et 12e journée de L2), pour protester contre la réforme envisagée du conseil d'administration de la Ligue de football professionnel (LFP).
Un match étonnant
Une défense out
Allez l'OL