PSA Peugeot Citroën a dégagé au premier semestre 2007 un résultat opérationnel courant de 400 Millions d'Euros dans la division automobile, quasiment doublé par rapport à 227 ME au premier semestre 2006.
Parmi les postes en amélioration, le groupe a bénéficié d'un effet mix-produit de 156 ME, d'une économie sur les achats de 271 ME, d'une économie sur les coûts de production de 87 ME et d'une économie de 87 ME sur les frais généraux.
A l'inverse, les matières premières ont continué de pénaliser le constructeur automobile avec un effet négatif de 192 ME sur le semestre. L'évolution des rémunérations a également pesé pour 121 ME.
PSA table sur une marge opérationnelle consolidée supérieure à 2% au second semestre 2007, ce qui devrait situer la marge 2007 à plus de 2,4% contre 2% en 2006. PSA estime avoir posé les premiers jalons de son plan CAP 2010 et espère une poursuite de cette dynamique au second semestre.
Après une forte hausse du poste des matières premières dont l'impact négatif a presque quadruplé entre 2004 et 2006 à 424 ME, PSA Peugeot Citroën tablait en début d'année sur un impact négatif ramené à 300 ME en 2007, ce qui ne semble pas gagné.
Parmi les postes en amélioration, le groupe a bénéficié d'un effet mix-produit de 156 ME, d'une économie sur les achats de 271 ME, d'une économie sur les coûts de production de 87 ME et d'une économie de 87 ME sur les frais généraux.
A l'inverse, les matières premières ont continué de pénaliser le constructeur automobile avec un effet négatif de 192 ME sur le semestre. L'évolution des rémunérations a également pesé pour 121 ME.
PSA table sur une marge opérationnelle consolidée supérieure à 2% au second semestre 2007, ce qui devrait situer la marge 2007 à plus de 2,4% contre 2% en 2006. PSA estime avoir posé les premiers jalons de son plan CAP 2010 et espère une poursuite de cette dynamique au second semestre.
Après une forte hausse du poste des matières premières dont l'impact négatif a presque quadruplé entre 2004 et 2006 à 424 ME, PSA Peugeot Citroën tablait en début d'année sur un impact négatif ramené à 300 ME en 2007, ce qui ne semble pas gagné.