Bonjour à toutes et à tous,
Le vendredi 9 octobre 2015, j'ai reçu sur mon lieu de travail, une automobile exceptionnelle d'origine italienne, vers 12h30 environ.
Il s'agissait d'une FERRARI F355 Berlinetta, elle était de novembre 1996, sa couleur était le « rosso corsa » (« rouge course »).
Elle était dotée du moteur V8 de 3,5 litres, à 5 soupapes par cylindres, de 380 Ch à 8250 Tr/mn accouplé à une boite de vitesses manuelles à six (6) rapports.
La sonorité était magnifiée par un pot inox ! Au moins, on m’a entendu !
Je suis arrivé à la maison, le vendredi 9 octobre, vers 16h12, avec la FERRARI F355 Berlinetta.
Mon voisin, qui faisait des travaux dans sa maison, s’est arrêté pendant quelques minutes pour voir la FERRARI.
Il m’a également montré ses réalisations, il a fait une très jolie cuisine !
Trois quart d’heure après, je suis reparti faire un petit tour puis je reviens à la maison, je m’arrête moteur tournant et j’ouvre la porte passager.
A ce moment, j’avais envie de rire. En effet, il se tournait vers sa compagne comme un petit garçon qui regarde sa mère en attendant son autorisation.
Nous avons fait une mini balade en passant à côté du château de Vaux-le-Vicomte.
Il a adoré et m’a demandé de le tenir au courant si je viens à conduire une autre automobile.
Il m’a même dit « Vous allez bien vous entendre avec mon père. Il restaure actuellement une TR4, il a pratiqué des courses de côtes, des rallyes et maintenant, il fait de la "Formule 3 Classic". »
Comme vous pouvez le constater, il n'y a pas d'excès de place dans le garage.
Le jour de la remise, alias le mardi 13 octobre, j’ai dû rendre la FERRARI, sur le parking de mon lieu de travail.
Etant arrivé à 11h30 (pour un rendez-vous à 12h30), je n’ai pas résisté à la tentation de prendre d’ultimes photos.
Pourtant, pour l’anecdote, Mme la Ministre de la Justice (à l'époque), Christiane TAUBIRA, était sensée être dans nos locaux.
Je ne l’ai pas aperçue, en revanche, j’ai vu les véhicules officiels.
J’ai bel et bien constaté que certains des chauffeurs appréciaient de voir une automobile "changeant de l'ordinaire" alias "la masse plébéienne des déplaçoirs" (Diesel/essence ou hybride).
Pour l’anecdote, l’alarme de la FERRARI s’est enclenchée à ce moment-là !
Raté pour la discrétion !
Le vendredi 9 octobre 2015, j'ai reçu sur mon lieu de travail, une automobile exceptionnelle d'origine italienne, vers 12h30 environ.
Il s'agissait d'une FERRARI F355 Berlinetta, elle était de novembre 1996, sa couleur était le « rosso corsa » (« rouge course »).
Elle était dotée du moteur V8 de 3,5 litres, à 5 soupapes par cylindres, de 380 Ch à 8250 Tr/mn accouplé à une boite de vitesses manuelles à six (6) rapports.
La sonorité était magnifiée par un pot inox ! Au moins, on m’a entendu !
Je suis arrivé à la maison, le vendredi 9 octobre, vers 16h12, avec la FERRARI F355 Berlinetta.
Mon voisin, qui faisait des travaux dans sa maison, s’est arrêté pendant quelques minutes pour voir la FERRARI.
Il m’a également montré ses réalisations, il a fait une très jolie cuisine !
Trois quart d’heure après, je suis reparti faire un petit tour puis je reviens à la maison, je m’arrête moteur tournant et j’ouvre la porte passager.
A ce moment, j’avais envie de rire. En effet, il se tournait vers sa compagne comme un petit garçon qui regarde sa mère en attendant son autorisation.
Nous avons fait une mini balade en passant à côté du château de Vaux-le-Vicomte.
Il a adoré et m’a demandé de le tenir au courant si je viens à conduire une autre automobile.
Il m’a même dit « Vous allez bien vous entendre avec mon père. Il restaure actuellement une TR4, il a pratiqué des courses de côtes, des rallyes et maintenant, il fait de la "Formule 3 Classic". »
Comme vous pouvez le constater, il n'y a pas d'excès de place dans le garage.
Le jour de la remise, alias le mardi 13 octobre, j’ai dû rendre la FERRARI, sur le parking de mon lieu de travail.
Etant arrivé à 11h30 (pour un rendez-vous à 12h30), je n’ai pas résisté à la tentation de prendre d’ultimes photos.
Pourtant, pour l’anecdote, Mme la Ministre de la Justice (à l'époque), Christiane TAUBIRA, était sensée être dans nos locaux.
Je ne l’ai pas aperçue, en revanche, j’ai vu les véhicules officiels.
J’ai bel et bien constaté que certains des chauffeurs appréciaient de voir une automobile "changeant de l'ordinaire" alias "la masse plébéienne des déplaçoirs" (Diesel/essence ou hybride).
Pour l’anecdote, l’alarme de la FERRARI s’est enclenchée à ce moment-là !
Raté pour la discrétion !