Bonjour à tous,
Ayant commandé une RCZ hdi que j'attends pour la fin du mois d'avril, j'ai eu la bonne surprise de voir un test assez complet sur la rtbf (chaîne Belge). Source RTBF, Michel Gaupin
Voici la vidéo fraîchenement sortie: le test sur la RCZ commence à la 14minutes.
http://www.rtbf.be/video/v_auto-mobile?id=843483&category=sport
(On pourrait aussi ajouter mon lien dans la partie video?)
L'article de presse qui va avec!
Je trouve que le testeur est assez rude sur la qualité des matériaux à l'intérieur de l'habitacle... On arrive pas dans une Lada...Pfff
Bonne lecture
Les belles machines qui roulent sur nos routes sont relativement nombreuses. Les belles machines à caractère sportif le sont déjà moins et celles qui coûtent un prix raisonnable encore moins.
En voici donc une qui est la bienvenue, il s’agit de la nouvelle PEUGEOT RCZ.
Prenez une plate-forme de 308 (et aussi de 3008 et 5008) et laissez libre cours à l’imagination des designers pour dessiner un coupé sportif portant haut le Lion. Vous trouverez sous leurs coups de crayon le dessin de cette RCZ. Il est remarquable de constater d’ailleurs que la RCZ commercialisée est presque identique au concept car montré à Francfort en 2007 (308 RCZ) et qui avait fait l’unanimité. Une des évolutions est celle qui a rejeté les deux embouts d’échappement du côté gauche de la voiture alors que sur le concept car, ils étaient regroupés au centre. J’espère qu’ils ont une bonne excuse chez PEUGEOT (et qu’on ne me parle pas d’attache remorque pour les Hollandais !) car la face arrière était beaucoup plus dans l’esprit du coupé sportif avec ses échappements au centre.
La RCZ est la première PEUGEOT de génération récente ne portant pas de numérotation (exception faite du Partner et du Beeper qui sont des dérivées d’utilitaires) ce qui signifie bien dans l’esprit de la direction du constructeur qu’il s’agit d’un modèle innovant exclusif. Voici donc que trois définitions de véhicules sont déterminées à Sochaux : ceux à un zéro central avec les voitures de grande production (206, 308, 407, etc), ceux à deux zéros avec celles qui sont davantage de niche (3008, 1007, 5008) et maintenant les hors-série à qui un nom est attribué (RCZ).
La RCZ est un coupé sportif à 2+2 places au look d’enfer qui va aller, clairement, chasser sur les terres jusqu’ici réservées à l’AUDI TT et dans une moindre mesure peut-être aux RENAULT Mégane Coupé, VOLKSWAGEN Sirocco ou VOLVO C30 (la NISSAN 370Z n’est disponible qu’en 330 ch ce qui la met hors compétition). PEUGEOT Belgique espère en vendre 650 par an (en année pleine).
Une de ses caractéristiques stylistiques est le double bossage du pavillon et de la lunette arrière (merci Saint-Gobain) avec les deux arches en aluminium. C’est un coupé 2+2 mais disons-le tout de suite, on accède très difficilement aux places bien dessinées à l’arrière. D’ailleurs, je n’ai pas réussi à y aller. Elles seront réservées à des enfants ou à de jeunes adultes. Dommage car elles sont assez habitables (pas aux genoux) compte tenu de l’espace prévu pour les têtes grâce aux bossages du toit et de la lunette. Heureusement, le dossier du siège avant dispose d’une mémoire, que ce soit en version manuelle ou électrique. Bien vu. A propos de bien vu, il faut dire aussi qu’une RCZ est un coupé qui emmène en voyage et en vacances ses occupants puisque les dossiers des sièges arrières basculent et qu’on passe alors d’un coffre de belle capacité (320 l) à une véritable malle dans laquelle un vélo peut se caser (639 l).
Si la ligne extérieure est d’enfer, l’intérieur est lui aussi très typé sport. Avec une nuance pourtant, le tableau de bord est exactement celui d’une 308. Dommage. Et si la montre analogique qui trône au milieu de la planche est du meilleur effet, ça ne suffit pas. De plus, face au conducteur se trouve un groupe de cadrans très lisibles (comme sur la berline) mais pour un coupé sportif, j’aurais aimé une température d’huile (pour la version HDI, au moins) et des affichages plus clairs des tours et de la vitesse. Autre petite déception. Les deux RCZ que nous avons essayées étaient la 1.6 THP de 200 ch (en pré-série car elle ne sera disponible qu’en été dans les concessions) et la 2 l HDI de 163 ch en commençant par cette première. Le volant est un volant de camion (j’exagère). Il est trop grand et trop épais. Heureusement, il est possible d’acquérir en option un volant dit « sport » moins « lourd » et de diamètre réduit qui est associé pour 500 € à un levier de vitesse court. Avant d’en finir avec les reproches, pour l’instant, attirons l’attention du futur acheteur sur le fait qu’on « descend » dans une RCZ et que le mouvement de toit oblige à rentrer la tête dans les épaules pour passer à l’intérieur. Pareil pour en sortir. Si vous faites de la livraison à domicile avec arrêts fréquents, c’est pas évident.
Les sièges (à commandes électriques sur nos voitures d’essai) sont excellents et la position de conduite parfaite puisque le volant est lui aussi réglable.
Moteur de la 2l HDI. C’est parti pour un parcours d’essai sur des routes très variées et peu fréquentées. On se sent à l’aise tout de suite. Le diesel est très peu sonore et la seule gêne acoustique dans l’habitacle vient des bruits de vent. Mais on est tellement séduit par la précision de la direction, le punch du 163 ch et la qualité du châssis (comme d’habitude chez PEUGEOT) que les kilomètres s’enfilent comme si de rien n’était. Le plaisir est là en permanence et le couple de 340 Nm n’est pas innocent. Seuls bémols, la visibilité périphérique n’est pas excellente et on est parfois solidement secoué sur les beaux (!) revêtements typiquement belges qu’on n’a pas eu peur de nous faire emprunter. Heureusement, le comportement reste impeccable et le confort très acceptable pour une voiture de ce type. La RCZ est offerte avec un aileron arrière qui se déploie dans deux positions en fonction de la vitesse de la voiture (ou de la volonté du conducteur/pilote) mais nous n’avons pas eu l’occasion de tester sa réelle efficacité. Il n’empêche, ça jette !
A bord de la 1600 de 200 ch, si l’ambiance est la même (volant excepté puisqu’elle reçoit le volant sport de série), le chant du moteur est différent. On lui a offert un Sound System (en option à 500 € inclus dans le pack sport sur la version 1.6 THP 156 ch) qui offre aux occupants du véhicule une très belle sonorité que sans lui, le moteur n’aurait pas (impossible à vérifier). Et ça marche. Avec un avantage. Le bruit d’un moteur lorsqu’il est envoûtant peut être aussi un peu lassant à vitesse soutenue constante sur autoroute. Grâce au Sound System, le bruit est géré. Et il s’estompe lorsqu’il n’y a pas d’accélérations. Artificiel mais superbe. J’ai connu des petits soucis avec ma commande de boîte sur cette version mais pas les collègues avec qui j’en ai discuté. J’en déduis …qu’il faudra attendre une version de production pour juger ! Sinon, le châssis se trouve soulagé de quelques kilos sur le train avant et les 200 ch tirent la voiture qui démarre comme un avion. Heureusement, le freinage est à la hauteur et l’ESP agit tout en douceur lorsque le conducteur est un peu trop hardi. A propos de cet ESP, signalons qu’il est complètement déconnectable.
Les RCZ sont assemblées sur les chaînes autrichiennes de Magna Steyr faute de trouver de la place sur les chaînes de la maison mère à Sochaux.
Actuellement, les concessionnaires proposent deux modèles : la 1.6 THP de 156 ch (le moteur bien connu est un développement PSA/BMW) à boîte manuelle à 6 rapports à 27.080 € et la 2 l HDI FAP de 163 ch à 29.180 €. Suivront la version 1.6 THP de 156 ch avec une nouvelle boîte automatique séquentielle à six rapports à 28.380 € et la 1.6 THP de 200 ch (sur base du 156 ch, le moteur est mis au point dans le groupe PSA) à boîte manuelle à 6 rapports à 29.580 €. Un bel éventail offert à l’acheteur potentiel qui a intérêt à bien réfléchir avant de faire un choix définitif. La liste des options de personnalisation est longue. Cela va du feuillet autocollant qui imite un toit en carbone à 150 € au vrai toit en carbone (posé sur le toit métallique) noir brillant ou satiné à 1.500 € en passant par pack cuir intégral ou un pack hi-fi JBL.
Conclusion, la RCZ est une machine très séduisante pour celui qui, ayant fait son cahier des charges, veut s’offrir un coupé sportif élégant et sûr. Envie de vrai sport ? n’hésitez pas, la 200 ch est taillée pour vous (dommage qu’elle ne dispose pas d’une boîte à double embrayage qui n’a pas l’air d’être programmée pour l’avenir). Tenez compte du fait qu’il est parfois difficile de se maîtriser avec une telle machine sur nos routes en s’astreignant à rouler à allure modérée. Sinon, la 2 l HDI avec son couple, sa puissance et ses consommations contenues est sans doute le maître achat raisonnable pour une voiture qui semble ne pas l’être.
Les lendemains de la RCZ sont assurés puisque PEUGEOT est en train de développer une RCZ Hybrid4 qui sortira au printemps 2011. Elle recevra un 2 l HDI de 163 ch couplé à un moteur électrique de 37 ch. Comptez bien, ça fait 200 ch.
Ayant commandé une RCZ hdi que j'attends pour la fin du mois d'avril, j'ai eu la bonne surprise de voir un test assez complet sur la rtbf (chaîne Belge). Source RTBF, Michel Gaupin
Voici la vidéo fraîchenement sortie: le test sur la RCZ commence à la 14minutes.
http://www.rtbf.be/video/v_auto-mobile?id=843483&category=sport
(On pourrait aussi ajouter mon lien dans la partie video?)
L'article de presse qui va avec!
Je trouve que le testeur est assez rude sur la qualité des matériaux à l'intérieur de l'habitacle... On arrive pas dans une Lada...Pfff
Bonne lecture
Les belles machines qui roulent sur nos routes sont relativement nombreuses. Les belles machines à caractère sportif le sont déjà moins et celles qui coûtent un prix raisonnable encore moins.
En voici donc une qui est la bienvenue, il s’agit de la nouvelle PEUGEOT RCZ.
Prenez une plate-forme de 308 (et aussi de 3008 et 5008) et laissez libre cours à l’imagination des designers pour dessiner un coupé sportif portant haut le Lion. Vous trouverez sous leurs coups de crayon le dessin de cette RCZ. Il est remarquable de constater d’ailleurs que la RCZ commercialisée est presque identique au concept car montré à Francfort en 2007 (308 RCZ) et qui avait fait l’unanimité. Une des évolutions est celle qui a rejeté les deux embouts d’échappement du côté gauche de la voiture alors que sur le concept car, ils étaient regroupés au centre. J’espère qu’ils ont une bonne excuse chez PEUGEOT (et qu’on ne me parle pas d’attache remorque pour les Hollandais !) car la face arrière était beaucoup plus dans l’esprit du coupé sportif avec ses échappements au centre.
La RCZ est la première PEUGEOT de génération récente ne portant pas de numérotation (exception faite du Partner et du Beeper qui sont des dérivées d’utilitaires) ce qui signifie bien dans l’esprit de la direction du constructeur qu’il s’agit d’un modèle innovant exclusif. Voici donc que trois définitions de véhicules sont déterminées à Sochaux : ceux à un zéro central avec les voitures de grande production (206, 308, 407, etc), ceux à deux zéros avec celles qui sont davantage de niche (3008, 1007, 5008) et maintenant les hors-série à qui un nom est attribué (RCZ).
La RCZ est un coupé sportif à 2+2 places au look d’enfer qui va aller, clairement, chasser sur les terres jusqu’ici réservées à l’AUDI TT et dans une moindre mesure peut-être aux RENAULT Mégane Coupé, VOLKSWAGEN Sirocco ou VOLVO C30 (la NISSAN 370Z n’est disponible qu’en 330 ch ce qui la met hors compétition). PEUGEOT Belgique espère en vendre 650 par an (en année pleine).
Une de ses caractéristiques stylistiques est le double bossage du pavillon et de la lunette arrière (merci Saint-Gobain) avec les deux arches en aluminium. C’est un coupé 2+2 mais disons-le tout de suite, on accède très difficilement aux places bien dessinées à l’arrière. D’ailleurs, je n’ai pas réussi à y aller. Elles seront réservées à des enfants ou à de jeunes adultes. Dommage car elles sont assez habitables (pas aux genoux) compte tenu de l’espace prévu pour les têtes grâce aux bossages du toit et de la lunette. Heureusement, le dossier du siège avant dispose d’une mémoire, que ce soit en version manuelle ou électrique. Bien vu. A propos de bien vu, il faut dire aussi qu’une RCZ est un coupé qui emmène en voyage et en vacances ses occupants puisque les dossiers des sièges arrières basculent et qu’on passe alors d’un coffre de belle capacité (320 l) à une véritable malle dans laquelle un vélo peut se caser (639 l).
Si la ligne extérieure est d’enfer, l’intérieur est lui aussi très typé sport. Avec une nuance pourtant, le tableau de bord est exactement celui d’une 308. Dommage. Et si la montre analogique qui trône au milieu de la planche est du meilleur effet, ça ne suffit pas. De plus, face au conducteur se trouve un groupe de cadrans très lisibles (comme sur la berline) mais pour un coupé sportif, j’aurais aimé une température d’huile (pour la version HDI, au moins) et des affichages plus clairs des tours et de la vitesse. Autre petite déception. Les deux RCZ que nous avons essayées étaient la 1.6 THP de 200 ch (en pré-série car elle ne sera disponible qu’en été dans les concessions) et la 2 l HDI de 163 ch en commençant par cette première. Le volant est un volant de camion (j’exagère). Il est trop grand et trop épais. Heureusement, il est possible d’acquérir en option un volant dit « sport » moins « lourd » et de diamètre réduit qui est associé pour 500 € à un levier de vitesse court. Avant d’en finir avec les reproches, pour l’instant, attirons l’attention du futur acheteur sur le fait qu’on « descend » dans une RCZ et que le mouvement de toit oblige à rentrer la tête dans les épaules pour passer à l’intérieur. Pareil pour en sortir. Si vous faites de la livraison à domicile avec arrêts fréquents, c’est pas évident.
Les sièges (à commandes électriques sur nos voitures d’essai) sont excellents et la position de conduite parfaite puisque le volant est lui aussi réglable.
Moteur de la 2l HDI. C’est parti pour un parcours d’essai sur des routes très variées et peu fréquentées. On se sent à l’aise tout de suite. Le diesel est très peu sonore et la seule gêne acoustique dans l’habitacle vient des bruits de vent. Mais on est tellement séduit par la précision de la direction, le punch du 163 ch et la qualité du châssis (comme d’habitude chez PEUGEOT) que les kilomètres s’enfilent comme si de rien n’était. Le plaisir est là en permanence et le couple de 340 Nm n’est pas innocent. Seuls bémols, la visibilité périphérique n’est pas excellente et on est parfois solidement secoué sur les beaux (!) revêtements typiquement belges qu’on n’a pas eu peur de nous faire emprunter. Heureusement, le comportement reste impeccable et le confort très acceptable pour une voiture de ce type. La RCZ est offerte avec un aileron arrière qui se déploie dans deux positions en fonction de la vitesse de la voiture (ou de la volonté du conducteur/pilote) mais nous n’avons pas eu l’occasion de tester sa réelle efficacité. Il n’empêche, ça jette !
A bord de la 1600 de 200 ch, si l’ambiance est la même (volant excepté puisqu’elle reçoit le volant sport de série), le chant du moteur est différent. On lui a offert un Sound System (en option à 500 € inclus dans le pack sport sur la version 1.6 THP 156 ch) qui offre aux occupants du véhicule une très belle sonorité que sans lui, le moteur n’aurait pas (impossible à vérifier). Et ça marche. Avec un avantage. Le bruit d’un moteur lorsqu’il est envoûtant peut être aussi un peu lassant à vitesse soutenue constante sur autoroute. Grâce au Sound System, le bruit est géré. Et il s’estompe lorsqu’il n’y a pas d’accélérations. Artificiel mais superbe. J’ai connu des petits soucis avec ma commande de boîte sur cette version mais pas les collègues avec qui j’en ai discuté. J’en déduis …qu’il faudra attendre une version de production pour juger ! Sinon, le châssis se trouve soulagé de quelques kilos sur le train avant et les 200 ch tirent la voiture qui démarre comme un avion. Heureusement, le freinage est à la hauteur et l’ESP agit tout en douceur lorsque le conducteur est un peu trop hardi. A propos de cet ESP, signalons qu’il est complètement déconnectable.
Les RCZ sont assemblées sur les chaînes autrichiennes de Magna Steyr faute de trouver de la place sur les chaînes de la maison mère à Sochaux.
Actuellement, les concessionnaires proposent deux modèles : la 1.6 THP de 156 ch (le moteur bien connu est un développement PSA/BMW) à boîte manuelle à 6 rapports à 27.080 € et la 2 l HDI FAP de 163 ch à 29.180 €. Suivront la version 1.6 THP de 156 ch avec une nouvelle boîte automatique séquentielle à six rapports à 28.380 € et la 1.6 THP de 200 ch (sur base du 156 ch, le moteur est mis au point dans le groupe PSA) à boîte manuelle à 6 rapports à 29.580 €. Un bel éventail offert à l’acheteur potentiel qui a intérêt à bien réfléchir avant de faire un choix définitif. La liste des options de personnalisation est longue. Cela va du feuillet autocollant qui imite un toit en carbone à 150 € au vrai toit en carbone (posé sur le toit métallique) noir brillant ou satiné à 1.500 € en passant par pack cuir intégral ou un pack hi-fi JBL.
Conclusion, la RCZ est une machine très séduisante pour celui qui, ayant fait son cahier des charges, veut s’offrir un coupé sportif élégant et sûr. Envie de vrai sport ? n’hésitez pas, la 200 ch est taillée pour vous (dommage qu’elle ne dispose pas d’une boîte à double embrayage qui n’a pas l’air d’être programmée pour l’avenir). Tenez compte du fait qu’il est parfois difficile de se maîtriser avec une telle machine sur nos routes en s’astreignant à rouler à allure modérée. Sinon, la 2 l HDI avec son couple, sa puissance et ses consommations contenues est sans doute le maître achat raisonnable pour une voiture qui semble ne pas l’être.
Les lendemains de la RCZ sont assurés puisque PEUGEOT est en train de développer une RCZ Hybrid4 qui sortira au printemps 2011. Elle recevra un 2 l HDI de 163 ch couplé à un moteur électrique de 37 ch. Comptez bien, ça fait 200 ch.