comment ils peuvent laisser la télé et téléphone et empêcher d'aller sur internet? la je vois pas
bah justement, eux non plus, mais ça ne va pas les empecher de te fermer le robinet
comment ils peuvent laisser la télé et téléphone et empêcher d'aller sur internet? la je vois pas
il y a toujours moyen de contourner les règles.
Comme tout le monde ici, je crie projet de ***** !!
C'est déjà mort pour aller sur eMule ? Il paraît que tous ces sites sont fermés... Si un apparaît, c'est fini au bout de 24h maximum. Y a t-il des serveurs de téléchargement étrangers, italiens ou autres... utilisables en voie de recours ?
Et c'est quoi ce système D ?
C'est un peu le principe de base d'échange du système BitTorrent.Bah oui mais bon, tu ne peux pas avoir tout ce que tu veux comme ça
Mais c'est vrai que de toute façon, même si maintenant on arrête le téléchargement, il y aura des bases d'échanges entre internautes... avec tout ce qui a déjà été téléchargé par des millions d'internautes ! Un genre de site où tu demandes ce que tu veux et celui qui l'a te le passe. Plus tu accumules de points en donnant des trucs aux autres, plus tu peux demander des trucs aux autres. Bonne idée non ? Si personne n'a l'idée je le ferai
Emule va reposer en paix avec Napster, kazza, winMx et tous ses ptit copains, en attendant que ce soit le tour de bittorent
SuiteInternet et le désastre de la gratuité 100% pub
On ne va pas ergoter longtemps sur les mérites comparés de la riposte graduée (Libération du 18 et du 23 juin) et de la licence globale. L’une ou l’autre, qu’importe ! Car le pire serait de laisser faire en matière de téléchargement…
Deux choses :
1. La riposte très, très graduelle, ne paraît pas spécialement liberticide à l’anti-répressif que je suis. A moins de vouloir abolir la propriété privée (chiche ?) et de considérer que de s’en foutre plein les oreilles pour pas un rond soit devenu l’alpha et l’oméga des droits de l’homme et du citoyen.
2. La licence globale, qui aurait plutôt ma faveur, angoisse les deux camps. Majors et réseaux pirates communient dans un même rejet de ce qui leur apparaît comme une nationalisation rampante. Ainsi se reconstitue l’alliance anti-Etat des libéraux traditionnels et des pseudo libertaires. Ces derniers n’étant plus que des consommateurs compulsifs, esclaves de leur fascination technoïde, secrètement ravis qu’Internet se transforme en désosseur de la création et du journalisme. Histoire de s’autoproclamer génération spontanée de webrockeurs ou d’éditorialistes blogueurs. Et d’ailleurs, pourquoi pas ?
Le danger du net, c'est sa fiabilité tres moyenne, ou le pire côtoie le meilleur.