Carlos Sainz a remporté sa première victoire mondiale en 1990 en Grèce sur une Toyota, il a ensuite récidivé avec Subaru en 1994 et en 1997 avec Ford. Après son succès en Turquie et ses belles performances en Argentine qui l'ont placé en tête du classement avant application des pénalités, El Matador pourrait bien être l'un des combattants pour une nouvelle victoire.
Le Rallye de l'Acropole fut, en 1990, le théâtre de ta toute première victoire en Mondial. Quel souvenir gardes-tu de ce moment ?
« C'était il y a longtemps maintenant... Pour un pilote de rallye, la première victoire en Championnat du Monde est inoubliable. J'étais vraiment heureux, car enfin j'y arrivais ! C'était comme un soulagement, en fait, et ce fut un moment fantastique. Je crois me souvenir que je me battais avec "Mister K" - Juha Kankkunen. A cette époque, les rallyes étaient vraiment longs et très durs. On partait d'Athènes pour quatre ou cinq jours. »
Es-tu satisfait du travail accompli avec la Xsara ? Es-tu maintenant totalement en phase avec la voiture ? Fais-tu corps avec elle ?
« Je crois que le Rallye d'Argentine, où nous nous sommes livrés à fond, apporte la réponse. Pour attaquer aussi fort que nous l'avons fait, il faut être en totale confiance. Cependant, nous apprenons et nous progressons encore et toujours au fil des séances d'essais. Chacune permet de trouver un petit plus. C'est un travail extrêmement intéressant, car nous n'avons pas encore atteint les limites de la voiture... »
En treize participations, tu as terminé neuf fois sur le podium grec. Quelle est la recette de cette réussite ? Penses-tu pouvoir l'appliquer cette année ?
« Il n'y a pas vraiment de secret. J'ai toujours été à l'aise en Grèce. Je ne vois pas pourquoi cela n'irait pas cette année ! Notre voiture est bonne, fiable, solide et rapide. Nous avons toutes les cartes en main pour réaliser une bonne performance... »
Un homme de plus à suivre lors de l'Acropole...
Le Rallye de l'Acropole fut, en 1990, le théâtre de ta toute première victoire en Mondial. Quel souvenir gardes-tu de ce moment ?
« C'était il y a longtemps maintenant... Pour un pilote de rallye, la première victoire en Championnat du Monde est inoubliable. J'étais vraiment heureux, car enfin j'y arrivais ! C'était comme un soulagement, en fait, et ce fut un moment fantastique. Je crois me souvenir que je me battais avec "Mister K" - Juha Kankkunen. A cette époque, les rallyes étaient vraiment longs et très durs. On partait d'Athènes pour quatre ou cinq jours. »
Es-tu satisfait du travail accompli avec la Xsara ? Es-tu maintenant totalement en phase avec la voiture ? Fais-tu corps avec elle ?
« Je crois que le Rallye d'Argentine, où nous nous sommes livrés à fond, apporte la réponse. Pour attaquer aussi fort que nous l'avons fait, il faut être en totale confiance. Cependant, nous apprenons et nous progressons encore et toujours au fil des séances d'essais. Chacune permet de trouver un petit plus. C'est un travail extrêmement intéressant, car nous n'avons pas encore atteint les limites de la voiture... »
En treize participations, tu as terminé neuf fois sur le podium grec. Quelle est la recette de cette réussite ? Penses-tu pouvoir l'appliquer cette année ?
« Il n'y a pas vraiment de secret. J'ai toujours été à l'aise en Grèce. Je ne vois pas pourquoi cela n'irait pas cette année ! Notre voiture est bonne, fiable, solide et rapide. Nous avons toutes les cartes en main pour réaliser une bonne performance... »
Un homme de plus à suivre lors de l'Acropole...
