S'il est bien un rallye pour tester la fiabilité et la solidité d'une WRC, c'est l'Acropole. L'épreuve grecque se caractérise par une chaleur accablante, d'énormes pierres et des routes cassantes. De parfaites pistes pour torturer une voiture. Mais les deux pilotes Skoda sont très confiants avant d'aborder la sixième épreuve de la saison.
Historiquement, la Skoda Octavia WRC a toujours été à son meilleur niveau sur les tracés difficiles comme celui proposé à l'Acropole. Après un début de saison très fructueux, où l'équipe a marqué des points lors de chaque épreuve, les deux pilotes officiels de la marque comptent bien poursuivre leurs efforts et pourquoi pas rééditer la cinquième place conquise en Grèce lors de la 47e édition.
Didier Auriol, Champion du Monde 1994, a déjà inscrit son nom au palmarès de l'épreuve, c'était en 1992. Depuis, il est monté une fois sur le podium en 1998 : « L'Acropole est un rallye qui pourrait nous convenir. C'est un rallye bien plus difficile et bien plus rapide que les gens peuvent imaginer. Il faut avoir la chance de son coté. C'est un rallye célèbre pour ses énormes pierres qui jonchent les pistes, il faut éviter les plus grosses mais, inévitablement, on doit rouler sur certaines. C'est pourquoi il faut une voiture très solide et je pense que nous avons cela avec notre Octavia WRC. »
Le pilote français a récemment signé son meilleur résultat avec Skoda en terminant à la sixième place du Rallye d'Argentine et espère continuer sur sa lancée en Grèce.
« L'Argentine a montré ce dont nous étions capables en roulant vite tout en essayant d'éviter au maximum les problèmes. Nous ne serons pas en position de gagner à l'Acropole mais nous savons que le résultat final dépendra inéluctablement de notre capacité à rouler prudemment et de la fiabilité de la voiture. »
Toni Gardemeister reste quant à lui sur une belle série de top 10. L'espoir Finlandais espère donc continuer ainsi.
« Je pense que je pilote mieux en ce moment que je n'ai jamais piloté, explique Toni. J'ai un très bon feeling avec la voiture et au sein de l'équipe. Le Rallye de l'Acropole n'est pas une épreuve facile mais je vais conserver la même tactique que depuis le début de la saison : à fond ! Il sera important de trouver les bons réglages de suspension pour avaler les défauts des pistes. Nous nous attendons à un travail très dur au shakedown. »
Cette année, le Rallye de l'Acropole inaugure un nouveau parc d'assistance située dans la ville de Lamia, à une heure de route à l'Ouest d'Athènes. Peu de changements concernent le tracé des spéciales, les pilotes les plus expérimentés n'auront aucun mal à retrouver leurs repères non loin de Delphes, où l'Oracle prédisait l'avenir.
Un nombre important de paramètres vont entrer en jeu pour désigner le résultat final du rallye. Des éléments que Petr Kohoutek, Directeur de Skoda Motorsport, voudrait bien contrôler avant le départ : « Nous avons une longue histoire faite de succès, nous espérons bien continuer ainsi. Nous avons fait beaucoup de tests en Grèce par le passé et nous devrions être en bonne position pour montrer les capacités de nos pilotes et de nos voitures. »
ALLEZ SKODA !!!!!!!
Historiquement, la Skoda Octavia WRC a toujours été à son meilleur niveau sur les tracés difficiles comme celui proposé à l'Acropole. Après un début de saison très fructueux, où l'équipe a marqué des points lors de chaque épreuve, les deux pilotes officiels de la marque comptent bien poursuivre leurs efforts et pourquoi pas rééditer la cinquième place conquise en Grèce lors de la 47e édition.
Didier Auriol, Champion du Monde 1994, a déjà inscrit son nom au palmarès de l'épreuve, c'était en 1992. Depuis, il est monté une fois sur le podium en 1998 : « L'Acropole est un rallye qui pourrait nous convenir. C'est un rallye bien plus difficile et bien plus rapide que les gens peuvent imaginer. Il faut avoir la chance de son coté. C'est un rallye célèbre pour ses énormes pierres qui jonchent les pistes, il faut éviter les plus grosses mais, inévitablement, on doit rouler sur certaines. C'est pourquoi il faut une voiture très solide et je pense que nous avons cela avec notre Octavia WRC. »
Le pilote français a récemment signé son meilleur résultat avec Skoda en terminant à la sixième place du Rallye d'Argentine et espère continuer sur sa lancée en Grèce.
« L'Argentine a montré ce dont nous étions capables en roulant vite tout en essayant d'éviter au maximum les problèmes. Nous ne serons pas en position de gagner à l'Acropole mais nous savons que le résultat final dépendra inéluctablement de notre capacité à rouler prudemment et de la fiabilité de la voiture. »
Toni Gardemeister reste quant à lui sur une belle série de top 10. L'espoir Finlandais espère donc continuer ainsi.
« Je pense que je pilote mieux en ce moment que je n'ai jamais piloté, explique Toni. J'ai un très bon feeling avec la voiture et au sein de l'équipe. Le Rallye de l'Acropole n'est pas une épreuve facile mais je vais conserver la même tactique que depuis le début de la saison : à fond ! Il sera important de trouver les bons réglages de suspension pour avaler les défauts des pistes. Nous nous attendons à un travail très dur au shakedown. »
Cette année, le Rallye de l'Acropole inaugure un nouveau parc d'assistance située dans la ville de Lamia, à une heure de route à l'Ouest d'Athènes. Peu de changements concernent le tracé des spéciales, les pilotes les plus expérimentés n'auront aucun mal à retrouver leurs repères non loin de Delphes, où l'Oracle prédisait l'avenir.
Un nombre important de paramètres vont entrer en jeu pour désigner le résultat final du rallye. Des éléments que Petr Kohoutek, Directeur de Skoda Motorsport, voudrait bien contrôler avant le départ : « Nous avons une longue histoire faite de succès, nous espérons bien continuer ainsi. Nous avons fait beaucoup de tests en Grèce par le passé et nous devrions être en bonne position pour montrer les capacités de nos pilotes et de nos voitures. »
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