Bonsoir,
Pour information et retours éventuels d'expériences similaires, voici un résumé des "aventures" que je vis depuis 9 mois avec ma 406 HDI 110 BVA (boîte de vitesses automatique).
Achetée le 16/09/2006, elle se met le 14/03/2007 "en sécurité" (troisième hydraulique), avec clignotement des voyants sport et neige ; je signale le jour-même le problème à mon garagiste habituel (garage AD). Il téléphone avec moi, le 17/03/2007 (je n'avais pas en tête à ce moment la date de fin de garantie...) à l'organisme de garantie... qui lui indique qu'il est trop tard (à 1 jour prêt) pour une quelconque prise en charge.
Depuis, l'anomalie s'est répétée, sans que les différents garagistes contactés ne trouvent l'origine du problème (diagnostics et mises à jour infructueux) ; jusqu'à ce qu'un garage Peugeot procède au changement du capteur de pression... lui aussi inefficace.
La semaine dernière, après d'autres test et contact d'un "centre de compétence technique" par mon garagiste Peugeot, on m'annonce qu'il faut déposer la boîte automatique, l'envoyer dans ce fameux centre qui fera une vidange complète, de fines particules ayant été détectées dans le circuit. Montant du devis : 2 400 euros.
Dans un premier temps, suite à ma demande, le responsable clientèle de Peugeot France m'a proposé une prise en charge "exceptionnelle" à hauteur de 25 %. Très insuffisant à mon avis : Peugeot reconnaît ainsi l'anomalie, mais m'en laisse supporter une très forte part.
Aujourd'hui, et sur les conseils des services juridiques de mon assurance, je mets en demeure le vendeur du véhicule (vendeur professionnel), de prendre en charge les frais de réparation. Voici un extrait du courrier que je lui transmets :
"Le véhicule que vous m'aviez vendu le 16/09/2006 présentait manifestement des défauts de conformité, voire un vice caché. Sur les conseils des services juridiques de mon assurance, je vous demande par la présente la prise en charge des frais de réparation de mon véhicule.
Cette demande entrera dans le cadre d'une action en garantie de conformité (à laquelle vous êtes tenu en tant que vendeur professionnel, avec prescription d'une durée légale de 2 ans) conformément aux articles L. 211-4 et L. 211-5 du Code de la Consommation, et / ou sur le fondement de la garantie sur les vices rédhibitoires, conformément à l'article 1641 du Code Civil."
Je reste pour l'instant, malgré tout, satisfait des performances (confort, habitabilité...) de ma 406, et de la prise en charge de mon dossier par Peugeot (le responsable clientèle m'a appelé très rapidement) ; si Peugeot reconnaît sa responsabilité en proposant une prise en charge partielle des frais de réparation, la proportion (75%) restant à ma charge est manifestement beaucoup trop élevée ! Sans vouloir aller jusqu'à demander des dommages et intérêts (surconsommation, location d'un véhicule de remplacement, temps et énergie perdus), j'attends au moins une prise en charge intégrale des frais de réparation !
Pour information et retours éventuels d'expériences similaires, voici un résumé des "aventures" que je vis depuis 9 mois avec ma 406 HDI 110 BVA (boîte de vitesses automatique).
Achetée le 16/09/2006, elle se met le 14/03/2007 "en sécurité" (troisième hydraulique), avec clignotement des voyants sport et neige ; je signale le jour-même le problème à mon garagiste habituel (garage AD). Il téléphone avec moi, le 17/03/2007 (je n'avais pas en tête à ce moment la date de fin de garantie...) à l'organisme de garantie... qui lui indique qu'il est trop tard (à 1 jour prêt) pour une quelconque prise en charge.
Depuis, l'anomalie s'est répétée, sans que les différents garagistes contactés ne trouvent l'origine du problème (diagnostics et mises à jour infructueux) ; jusqu'à ce qu'un garage Peugeot procède au changement du capteur de pression... lui aussi inefficace.
La semaine dernière, après d'autres test et contact d'un "centre de compétence technique" par mon garagiste Peugeot, on m'annonce qu'il faut déposer la boîte automatique, l'envoyer dans ce fameux centre qui fera une vidange complète, de fines particules ayant été détectées dans le circuit. Montant du devis : 2 400 euros.
Dans un premier temps, suite à ma demande, le responsable clientèle de Peugeot France m'a proposé une prise en charge "exceptionnelle" à hauteur de 25 %. Très insuffisant à mon avis : Peugeot reconnaît ainsi l'anomalie, mais m'en laisse supporter une très forte part.
Aujourd'hui, et sur les conseils des services juridiques de mon assurance, je mets en demeure le vendeur du véhicule (vendeur professionnel), de prendre en charge les frais de réparation. Voici un extrait du courrier que je lui transmets :
"Le véhicule que vous m'aviez vendu le 16/09/2006 présentait manifestement des défauts de conformité, voire un vice caché. Sur les conseils des services juridiques de mon assurance, je vous demande par la présente la prise en charge des frais de réparation de mon véhicule.
Cette demande entrera dans le cadre d'une action en garantie de conformité (à laquelle vous êtes tenu en tant que vendeur professionnel, avec prescription d'une durée légale de 2 ans) conformément aux articles L. 211-4 et L. 211-5 du Code de la Consommation, et / ou sur le fondement de la garantie sur les vices rédhibitoires, conformément à l'article 1641 du Code Civil."
Je reste pour l'instant, malgré tout, satisfait des performances (confort, habitabilité...) de ma 406, et de la prise en charge de mon dossier par Peugeot (le responsable clientèle m'a appelé très rapidement) ; si Peugeot reconnaît sa responsabilité en proposant une prise en charge partielle des frais de réparation, la proportion (75%) restant à ma charge est manifestement beaucoup trop élevée ! Sans vouloir aller jusqu'à demander des dommages et intérêts (surconsommation, location d'un véhicule de remplacement, temps et énergie perdus), j'attends au moins une prise en charge intégrale des frais de réparation !
