Peugeot sur le marché ouest-européen en février 2003
Avec 1 015 400 immatriculations, le marché VP ouest-européen a enregistré en février 2003 un recul de 3,5 % sur février 2002 mais montre une amélioration au regard du mois précédent (en janvier, le repli était en effet de 6,9 %). Parmi les « grands » marchés, seule l’Italie progresse en février (+ 8,6 %) après, il est vrai, un très faible mois de janvier ; l’Allemagne est quasi-stable (- 1 %) tandis que les autres marchés baissent sensiblement : - 7,9 % en France, - 7,3 % en Espagne, - 5,8 % au Royaume-Uni, - 8,8 % aux Pays-Bas et même - 17,1 % en Belgique. A l’exception de la Finlande (+ 30,9 %), de l’Autriche (+ 11,5 %) et de la Suède (+ 2,2 %), la tendance est également à la baisse sur les autres marchés, en particulier en Suisse (- 18,4 %), en Irlande (- 18,8 %) et au Portugal (- 23,9 %).
Peugeot, avec 90 800 immatriculations en février en Europe de l’Ouest (- 11,4 % sur février 2002), enregistre une pénétration de 8,9 %. La part de marché est certes en recul sensible sur celle, particulièrement élévée, de février 2002 (9,7 %, meilleur résultat mensuel de l’année dernière) mais se compare favorablement à celle observée sur le second semestre de 2002 (8,8 %). En février 2003, la part de marché Peugeot est en repli sur six marchés, principalement en France (19,5 % contre 22,2 % en février 2002), au Royaume-Uni (6,2 % contre 7,8 %) et en Italie (5,8 % contre 6,6 %). Mais elle progresse sur les dix autres marchés, notamment en Belgique (13 % contre 11,6 %, Peugeot à nouveau 1ère marque), au Portugal (13 % contre 11,9 %, Peugeot 2ème marque), aux Pays-Bas (12,5 % contre 10,5 %, Peugeot 2ème marque), en Espagne (11,6 % contre 11,5 %), en Suisse (5,9 % contre 5,7 %), en Suède (7,4 % contre 5,1 %) ou en Norvège (10 % contre 8,4 %).
Avec 1 015 400 immatriculations, le marché VP ouest-européen a enregistré en février 2003 un recul de 3,5 % sur février 2002 mais montre une amélioration au regard du mois précédent (en janvier, le repli était en effet de 6,9 %). Parmi les « grands » marchés, seule l’Italie progresse en février (+ 8,6 %) après, il est vrai, un très faible mois de janvier ; l’Allemagne est quasi-stable (- 1 %) tandis que les autres marchés baissent sensiblement : - 7,9 % en France, - 7,3 % en Espagne, - 5,8 % au Royaume-Uni, - 8,8 % aux Pays-Bas et même - 17,1 % en Belgique. A l’exception de la Finlande (+ 30,9 %), de l’Autriche (+ 11,5 %) et de la Suède (+ 2,2 %), la tendance est également à la baisse sur les autres marchés, en particulier en Suisse (- 18,4 %), en Irlande (- 18,8 %) et au Portugal (- 23,9 %).
Peugeot, avec 90 800 immatriculations en février en Europe de l’Ouest (- 11,4 % sur février 2002), enregistre une pénétration de 8,9 %. La part de marché est certes en recul sensible sur celle, particulièrement élévée, de février 2002 (9,7 %, meilleur résultat mensuel de l’année dernière) mais se compare favorablement à celle observée sur le second semestre de 2002 (8,8 %). En février 2003, la part de marché Peugeot est en repli sur six marchés, principalement en France (19,5 % contre 22,2 % en février 2002), au Royaume-Uni (6,2 % contre 7,8 %) et en Italie (5,8 % contre 6,6 %). Mais elle progresse sur les dix autres marchés, notamment en Belgique (13 % contre 11,6 %, Peugeot à nouveau 1ère marque), au Portugal (13 % contre 11,9 %, Peugeot 2ème marque), aux Pays-Bas (12,5 % contre 10,5 %, Peugeot 2ème marque), en Espagne (11,6 % contre 11,5 %), en Suisse (5,9 % contre 5,7 %), en Suède (7,4 % contre 5,1 %) ou en Norvège (10 % contre 8,4 %).