Bonjour,
Après être passé par Toyota, Opel, Saab et Mazda, je suis propriétaire de ma première Peugeot depuis hier. Il s'agit d'une Peugeot 406 2.2 Pack Sport de 2001 qui affiche 71000km au compteur et dont l'aspect est absolument nickel.
Je vous livre ici mes premières impressions.
Suite à un déplacement sur Chartres hier soir et une petite balade dans le Vexin cette après-midi, je peux vous livrer mes impressions sur mon nouvel achat.
Pour mémoire, la version 2.2 de la 406 a été présentée en 2000 pour comblée le trou existant dans la gamme essence entre la 2.0 137ch et la V6 de 210ch. Ce moteur 2.2 de la famille EW développe la puissance 160ch. Equipé de deux arbres contre-rotatifs, il se montre exempt de toute vibration même en reprennant à très bas régime. Grâce à son calage variable d’arbre à came, il se montre vigoureux avec une courbe de couple lisse. Il n’y a vraiment que sous 2.000 tours que l’on sent un creux. La 406 n’est pas la reine des feux rouges…
Au niveau des perfs, même si elles sont quasiment identiques à mon ex-Saab, les impressions sont bien meilleures dans la 406, le moteur est très disponible : quelque soit le rapport enclenchè, il reprend avec vigueur. Toute cela se fait dans une relative sobriété, avec un parcours mélant toutes les conditions de conduite (ville, embouteillages, route et un peu d’autoroute), l’ordinateur affiche 8,6l/100km, je trouve ça très correct dans la mesure où, nouvelle voiture aidant, je ne l’ai pas ménagée.
Quant à la boîte de vitesse, j’avais beaucoup d’a-priori contre Peugeot et je dois dire que c’est une bonne surprise : les vitesses passent avec une grande douceur même à la volée, le guidage est bon et seul le débattement me semble un peu trop « camionesque ». La direction à assistance hydraulique modulée est d’une grande douceur mais un peu trop démultipliée à mon goût : sur routes nationales un peu tortueuses, il faut donner trop d’angle au volant. Le freinage est puissant et semble endurant (je testerai ça en montagne au mois de mars) et la sensation à la pédale est parfaite.
Le chapitre de la tenue de route est sans doute celui où j’ai été le plus impressionné. Ca colle au pavé ! Même en sortie de rond-point sur sol détrempé, il faut vraiment y aller pour faire patiner les roues. Associé à cela, le confort est impérial : silencieux, ultra bien amorti. Seul des bruits aérodynamiques se font entendre à vitesse illégale.
Au niveau de la présentation extérieure, rien ne permet de distinguer la 406 2.2 Pack Sport d’un modèle de base en dehors de jolies jantes Ouragan de 16 pouces. Celles-ci sont chaussée de pneus taille basse 205/55-16 Pirelli P6000.
L’équipement de la Pack Sport est spécifique à cette finition : intérieur cuir/tissus noir à passepoil bleu, baguettes de décoration façon aluminium bleuté (mieux que le plaquage en « bois de plastique »). Elle dispose de toute une série d’accessoires utiles ou inutiles : température d’huile, climatisation automatique, ODB, lecteur CD avec commandes via un joystick derrière le volant, banquette rabattable 1/3-2/3, 4 vitres électriques, rétro électriques (qui ne marchent pas sur la mienne), verrouillage centralisé avec commande à distance.
Bref, vous l’aurez compris, je suis hyper content de mon achat qui dépassent toutes mes attentes en terme de déplaçoir. Je sens que je vais encore hésiter plus souvent entre mes deux voitures quand je voudrai sortir…
Fini le blabla, place aux photos :
Après être passé par Toyota, Opel, Saab et Mazda, je suis propriétaire de ma première Peugeot depuis hier. Il s'agit d'une Peugeot 406 2.2 Pack Sport de 2001 qui affiche 71000km au compteur et dont l'aspect est absolument nickel.
Je vous livre ici mes premières impressions.
Suite à un déplacement sur Chartres hier soir et une petite balade dans le Vexin cette après-midi, je peux vous livrer mes impressions sur mon nouvel achat.
Pour mémoire, la version 2.2 de la 406 a été présentée en 2000 pour comblée le trou existant dans la gamme essence entre la 2.0 137ch et la V6 de 210ch. Ce moteur 2.2 de la famille EW développe la puissance 160ch. Equipé de deux arbres contre-rotatifs, il se montre exempt de toute vibration même en reprennant à très bas régime. Grâce à son calage variable d’arbre à came, il se montre vigoureux avec une courbe de couple lisse. Il n’y a vraiment que sous 2.000 tours que l’on sent un creux. La 406 n’est pas la reine des feux rouges…
Au niveau des perfs, même si elles sont quasiment identiques à mon ex-Saab, les impressions sont bien meilleures dans la 406, le moteur est très disponible : quelque soit le rapport enclenchè, il reprend avec vigueur. Toute cela se fait dans une relative sobriété, avec un parcours mélant toutes les conditions de conduite (ville, embouteillages, route et un peu d’autoroute), l’ordinateur affiche 8,6l/100km, je trouve ça très correct dans la mesure où, nouvelle voiture aidant, je ne l’ai pas ménagée.
Quant à la boîte de vitesse, j’avais beaucoup d’a-priori contre Peugeot et je dois dire que c’est une bonne surprise : les vitesses passent avec une grande douceur même à la volée, le guidage est bon et seul le débattement me semble un peu trop « camionesque ». La direction à assistance hydraulique modulée est d’une grande douceur mais un peu trop démultipliée à mon goût : sur routes nationales un peu tortueuses, il faut donner trop d’angle au volant. Le freinage est puissant et semble endurant (je testerai ça en montagne au mois de mars) et la sensation à la pédale est parfaite.
Le chapitre de la tenue de route est sans doute celui où j’ai été le plus impressionné. Ca colle au pavé ! Même en sortie de rond-point sur sol détrempé, il faut vraiment y aller pour faire patiner les roues. Associé à cela, le confort est impérial : silencieux, ultra bien amorti. Seul des bruits aérodynamiques se font entendre à vitesse illégale.
Au niveau de la présentation extérieure, rien ne permet de distinguer la 406 2.2 Pack Sport d’un modèle de base en dehors de jolies jantes Ouragan de 16 pouces. Celles-ci sont chaussée de pneus taille basse 205/55-16 Pirelli P6000.
L’équipement de la Pack Sport est spécifique à cette finition : intérieur cuir/tissus noir à passepoil bleu, baguettes de décoration façon aluminium bleuté (mieux que le plaquage en « bois de plastique »). Elle dispose de toute une série d’accessoires utiles ou inutiles : température d’huile, climatisation automatique, ODB, lecteur CD avec commandes via un joystick derrière le volant, banquette rabattable 1/3-2/3, 4 vitres électriques, rétro électriques (qui ne marchent pas sur la mienne), verrouillage centralisé avec commande à distance.
Bref, vous l’aurez compris, je suis hyper content de mon achat qui dépassent toutes mes attentes en terme de déplaçoir. Je sens que je vais encore hésiter plus souvent entre mes deux voitures quand je voudrai sortir…
Fini le blabla, place aux photos :