A ce jour, l’avenir de Cédric Robert est toujours aussi sombre. Aucune annonce n’a été faite et le silence qui entoure le pilote Peugeot est bien inquiétant ! Après une saison 2002 pleine d’espoirs, 2003 s’annonçait comme une année de confirmation pour Cédric…. Malheureusement il en fut tout autre. La campagne mondiale avec la 206 WRC Bozian fut positive et Cédric a rejoint à chaque fois l’arrivée avec des coups d’éclats comme au Monté Carlo ou au Cataluyna. Cette prise de risque n’a jamais caché l’écart grandissant entre une 206 WRC officielle et une 206 WRC privée et Cédric fut à chaque fois à sa place, celle du premier privé. Si de très bons chronos furent réalisés, le classement et la pauvreté de l’opposition des voitures privées n’ont jamais pu faire resortir les performances de Cédric. Si Cédric a engrenger de l’expérience, son vœux de rouler sur la terre n’a jamais vu le jour, et une confrontation au RAC avec les stohl, Pykalisto ou Kresta aurait été plus que bénéfique… Pourquoi ce refus de le faire rouler sur la terre ?
Du côté du Super 1600, le bilan est triste, la 206 n’a jamais été dans le coup sur la terre depuis son engagement en Super 1600 et une tonne de malheurs sont venus contrarier Cédric sur asphalte, on reviendra pas sur les épisodes du Var par exemple. Malgré une superbe victoire au rouergue, le bilan n’est pas famueux, il faut en convenir. Une saison a vite oublier.
Cédric n’aura jamais ménagé sa peine durant 2003 en prenant des risques au-delà du raisonnable en WRC pour rester coller aux usines et d’autres en Super 1600 pour se hisser au niveau des Clio. Si la performance ne fut pas toujours à la hauteur, Cédric fut régulier et peu de pilotes peuvent être fiers d’avoir été à l’arrivée de tous les rallyes en WRC.
Alors après une saison 2003 mi-figues mi-raisins que faut – il attendre de 2004 ?
Tout d’abord Cédric n’a jamais caché son désir de rester chez Peugeot et de pouvoir rouler à la fois sur la terre et sur l’asphalte en WRC pour accumuler de l’expérience. Si Cédric a déjà 30 ans, il reste un pilote jeune avec tout juste 10 rallyes en WRC. Il doit encore rouler, progresser pour arriver à son top niveau… Il est clair que le Super 1600 ne semble plus être la bonne solution et il faut passer un nouveau palier dans une formule évolutive comme le Championnat du monde ou le Championnat de France en WRC. Du côté de chez Peugeot on est Full dans la première équipe et le « Team Peugeot B » comme on le nomme compte déjà Carlsson. Les rumeurs les plus folles courent, avec en première ligne Alex Bengué et Nicolas Vouilloz pour une 206 WRC Bozian. Peugeot va – t – il aller au bout de sa logique engagée en formant Cédric pour le mener au WRC mondial dans la continuité ou Peugeot va – t – il privilégier d’autres pilotes ?
D’un autre côté une opération FFSA et Subaru est sur le point de voir le jour, onze pilotes ont été sélectionné. Parmi eux il y a déjà des Bonato, Vouilloz, Tirabassi qui sont déjà liés contractuelement avec un constructeur et il sera difficile pour eux de prétendre à ce volant. Cela restreint le nombre de pilotes et seuls Bengué, Bernardi et Cédric semblent armés pour décrocher la Subaru WRC. En espérant que la FFSA fera confiance aux pilotes qui sont titulaires de l’Equipe de France depuis déjà un certain temps et que la logique sportive prendra le pas sur une logique commerciale… Une piste où Cédric a ses chances et qu’il ne faudrait pas écrater…
Enfin si les places en mondial semblent être toutes acquises, les places en Super 1600 aussi et comme on le voit Cédric n’a pas son avenir entre ses mains et les possibilités de programmes officiels sont peu nombreuses. Reste les programmes privés qui sont onéreux pour un Championnat de France alors comment concevoir un programme mondial sans de solides partenaires ? Et on sait que depuis des années c’est dur de réunir de telles sommes…
Si les efforts communs de la FFSA, de Peugeot et de Cédric Robert ne devaient pas déboucher sur un programme 2004, nous toucherions les limites de la formation des jeunes et les carences d’un système différent du système Finlandais qui à ce jour fait office de référence dans le nivau mondial… Nous n’en sommes pas encore là et l’espoir de voir Cédric Robert dans une WRC demeure…
Fabien
Du côté du Super 1600, le bilan est triste, la 206 n’a jamais été dans le coup sur la terre depuis son engagement en Super 1600 et une tonne de malheurs sont venus contrarier Cédric sur asphalte, on reviendra pas sur les épisodes du Var par exemple. Malgré une superbe victoire au rouergue, le bilan n’est pas famueux, il faut en convenir. Une saison a vite oublier.
Cédric n’aura jamais ménagé sa peine durant 2003 en prenant des risques au-delà du raisonnable en WRC pour rester coller aux usines et d’autres en Super 1600 pour se hisser au niveau des Clio. Si la performance ne fut pas toujours à la hauteur, Cédric fut régulier et peu de pilotes peuvent être fiers d’avoir été à l’arrivée de tous les rallyes en WRC.
Alors après une saison 2003 mi-figues mi-raisins que faut – il attendre de 2004 ?
Tout d’abord Cédric n’a jamais caché son désir de rester chez Peugeot et de pouvoir rouler à la fois sur la terre et sur l’asphalte en WRC pour accumuler de l’expérience. Si Cédric a déjà 30 ans, il reste un pilote jeune avec tout juste 10 rallyes en WRC. Il doit encore rouler, progresser pour arriver à son top niveau… Il est clair que le Super 1600 ne semble plus être la bonne solution et il faut passer un nouveau palier dans une formule évolutive comme le Championnat du monde ou le Championnat de France en WRC. Du côté de chez Peugeot on est Full dans la première équipe et le « Team Peugeot B » comme on le nomme compte déjà Carlsson. Les rumeurs les plus folles courent, avec en première ligne Alex Bengué et Nicolas Vouilloz pour une 206 WRC Bozian. Peugeot va – t – il aller au bout de sa logique engagée en formant Cédric pour le mener au WRC mondial dans la continuité ou Peugeot va – t – il privilégier d’autres pilotes ?
D’un autre côté une opération FFSA et Subaru est sur le point de voir le jour, onze pilotes ont été sélectionné. Parmi eux il y a déjà des Bonato, Vouilloz, Tirabassi qui sont déjà liés contractuelement avec un constructeur et il sera difficile pour eux de prétendre à ce volant. Cela restreint le nombre de pilotes et seuls Bengué, Bernardi et Cédric semblent armés pour décrocher la Subaru WRC. En espérant que la FFSA fera confiance aux pilotes qui sont titulaires de l’Equipe de France depuis déjà un certain temps et que la logique sportive prendra le pas sur une logique commerciale… Une piste où Cédric a ses chances et qu’il ne faudrait pas écrater…
Enfin si les places en mondial semblent être toutes acquises, les places en Super 1600 aussi et comme on le voit Cédric n’a pas son avenir entre ses mains et les possibilités de programmes officiels sont peu nombreuses. Reste les programmes privés qui sont onéreux pour un Championnat de France alors comment concevoir un programme mondial sans de solides partenaires ? Et on sait que depuis des années c’est dur de réunir de telles sommes…
Si les efforts communs de la FFSA, de Peugeot et de Cédric Robert ne devaient pas déboucher sur un programme 2004, nous toucherions les limites de la formation des jeunes et les carences d’un système différent du système Finlandais qui à ce jour fait office de référence dans le nivau mondial… Nous n’en sommes pas encore là et l’espoir de voir Cédric Robert dans une WRC demeure…
Fabien