Fatigué, Richard Burns a décidé de mettre les choses au point après n'avoir entendu que des critiques depuis le début de la saison. Le Britannique attaque dans les spéciales et est en tête du Championnat du Monde, même s'il lui manque toujours une victoire chez Peugeot.
En terminant quatre fois sur le podium lors des dernières courses, Richard Burns prouve sa belle régularité. Une régularité qui paye plus que les coups d'éclats de Marcus Grönholm, pour l'instant.
« Je suis en tête du Championnat, insiste-t-il dans le magazine britannique Autosport. Bien sûr, je n'aurais jamais pensé terminer mon 19e rallye avec Peugeot sans avoir décroché une seule victoire. Mais l'an passé, nous sommes passés trois fois à deux doigts de la première place, les choses auraient pu être un peu différentes. »
« Je commence à en avoir marre des gens qui disent que je n'attaque pas, s';emporte l'ancien Champion du Monde. C'est de la connerie ! Ce n'est pas comme si Robert ( REID, son copilote )et moi nous nous disions dans la voiture : « On va doucement là, non ? » Nous terminons deuxième ou troisième et nous sommes au départ de chaque rallye pour le gagner. Je ne suis pas leader du championnat par chance. Les autres pilotes n'ont pas eu une collection de problèmes, je suis devant car j'ai de bons résultats. »
En terminant quatre fois sur le podium lors des dernières courses, Richard Burns prouve sa belle régularité. Une régularité qui paye plus que les coups d'éclats de Marcus Grönholm, pour l'instant.
« Je suis en tête du Championnat, insiste-t-il dans le magazine britannique Autosport. Bien sûr, je n'aurais jamais pensé terminer mon 19e rallye avec Peugeot sans avoir décroché une seule victoire. Mais l'an passé, nous sommes passés trois fois à deux doigts de la première place, les choses auraient pu être un peu différentes. »
« Je commence à en avoir marre des gens qui disent que je n'attaque pas, s';emporte l'ancien Champion du Monde. C'est de la connerie ! Ce n'est pas comme si Robert ( REID, son copilote )et moi nous nous disions dans la voiture : « On va doucement là, non ? » Nous terminons deuxième ou troisième et nous sommes au départ de chaque rallye pour le gagner. Je ne suis pas leader du championnat par chance. Les autres pilotes n'ont pas eu une collection de problèmes, je suis devant car j'ai de bons résultats. »