Bonjour,
Depuis quelques semaines je suis le propriétaire d'une 308 SW 1.2 EAT6 Allure blanc nacré. C'est une occasion neuve : elle n'avait pas un an et seulement une centaine de kilomètres lorsque je l'ai achetée au concessionnaire.
Elle remplace une Scénic II 2.0 16V BVA qui commençait à vieillir et dont quelques frais d'entretien s'annonçaient (courroie, biellettes, freins...). Une excellente voiture facile à vivre, fiable. Les 3 enfants ont bien grandi et nous ne voyageons plus que rarement à 5. L'habitabilité d'un monospace n'était plus utile.
J'aurai bien repris une Renault (Mégane Estate 1.2 EDC) pour rester fidèle à mon garagiste, mais le coffre était moins pratique, le moteur moins dynamique et plus gourmand et j'ai plus confiance dans une boîte Aisin à convertisseur que dans une double embrayage.
Je n'aurais pas craché sur un toit vitré ou une caméra de recul, mais je ne voulais pas trop faire monter le prix. Et puis je voulais une voiture avec des roues de 16 pour le prix des pneus, mais aussi les consommations et les performances.
Je me suis tout de suite fait aux compteurs au dessus du volant. Après tout, ça ne change pas vraiment de la Scénic. J'ai par contre eu un peu de mal à trouver une position de conduite confortable. L'ergonomie de la tablette est pour moi le principal défaut de cette voiture. Les yeux doivent quitter la route pour que le doigt appuie au bon endroit. C'est encore plus pénible quand la route n'est pas plane. Le mini joystick de la Scénic était beaucoup plus efficace. Ma femme peste parce qu'il faut se baisser pour entrer dans la voiture : forcément en passant d'un monospace à une voiture normale... Elle critique aussi le manque de rangements. La Scénic en avait partout alors que dans la 308, je ne sais pas ou poser mes lunettes de soleil.
Le coffre est parfait, la finition et l'insonorisation sont très corrects (j'aime bien le bruit du claquement de portière).
Le comportement routier des 308 est réputé, mais je n'ai pratiquement roulé qu'en ville et sur autoroute. J'ai remarqué une direction agréable et une belle stabilité au freinage. Ah! si je l'avais eue cet été dans les Alpes...
Mais ce qui m'a décidé de roulé en 308, c'est l'ensemble moteur-boîte. C'est un régal ! Bon la voiture n'a pas encore 3000 km et je ne la pousse pas trop, mais quelle pêche en bas du compte-tours, quelle facilité à monter en régime ! Et cette sonorité particulière ! Le tout accompagné de performance plus que suffisantes. Le patinage du convertisseur de couple est très limité, ce qui donne un sentiment d'efficacité. Comme pour le comportement routier, les routes sur lesquelles j'ai roulé ne m'ont pas permis de juger de la pertinence de la gestion de boîte. Mais déjà, j'ai remarqué quelques rétrogradages au bon moment. Seul défaut : quelques grondement quand je roule à 70 à un peu moins de 2000 tr/min. Mais ils me semblent diminuer avec le rôdage (ou alors je m'habitue). Quant au stop/start, c'est une fonction à apprivoiser : tantôt pertinent, tantôt agaçant. J'ai déjà appris à légèrement tourner le volant pour éviter la coupure du moteur pour un arrêt d'une seconde.
Les consommations tournent sous les 7l/100 km, ce qui est exceptionnel pour un break essence pas si compact que ça, assez pêchu et accouplé à une boîte auto.
J'ai choisi cette voiture pour son agrément de conduite et je suis comblé. J'aime son aspect discret cachant une mécanique pétillante. Et j'espère passer de bon moment à parler bagnoles sur ce forum.
Depuis quelques semaines je suis le propriétaire d'une 308 SW 1.2 EAT6 Allure blanc nacré. C'est une occasion neuve : elle n'avait pas un an et seulement une centaine de kilomètres lorsque je l'ai achetée au concessionnaire.
Elle remplace une Scénic II 2.0 16V BVA qui commençait à vieillir et dont quelques frais d'entretien s'annonçaient (courroie, biellettes, freins...). Une excellente voiture facile à vivre, fiable. Les 3 enfants ont bien grandi et nous ne voyageons plus que rarement à 5. L'habitabilité d'un monospace n'était plus utile.
J'aurai bien repris une Renault (Mégane Estate 1.2 EDC) pour rester fidèle à mon garagiste, mais le coffre était moins pratique, le moteur moins dynamique et plus gourmand et j'ai plus confiance dans une boîte Aisin à convertisseur que dans une double embrayage.
Je n'aurais pas craché sur un toit vitré ou une caméra de recul, mais je ne voulais pas trop faire monter le prix. Et puis je voulais une voiture avec des roues de 16 pour le prix des pneus, mais aussi les consommations et les performances.
Je me suis tout de suite fait aux compteurs au dessus du volant. Après tout, ça ne change pas vraiment de la Scénic. J'ai par contre eu un peu de mal à trouver une position de conduite confortable. L'ergonomie de la tablette est pour moi le principal défaut de cette voiture. Les yeux doivent quitter la route pour que le doigt appuie au bon endroit. C'est encore plus pénible quand la route n'est pas plane. Le mini joystick de la Scénic était beaucoup plus efficace. Ma femme peste parce qu'il faut se baisser pour entrer dans la voiture : forcément en passant d'un monospace à une voiture normale... Elle critique aussi le manque de rangements. La Scénic en avait partout alors que dans la 308, je ne sais pas ou poser mes lunettes de soleil.
Le coffre est parfait, la finition et l'insonorisation sont très corrects (j'aime bien le bruit du claquement de portière).
Le comportement routier des 308 est réputé, mais je n'ai pratiquement roulé qu'en ville et sur autoroute. J'ai remarqué une direction agréable et une belle stabilité au freinage. Ah! si je l'avais eue cet été dans les Alpes...
Mais ce qui m'a décidé de roulé en 308, c'est l'ensemble moteur-boîte. C'est un régal ! Bon la voiture n'a pas encore 3000 km et je ne la pousse pas trop, mais quelle pêche en bas du compte-tours, quelle facilité à monter en régime ! Et cette sonorité particulière ! Le tout accompagné de performance plus que suffisantes. Le patinage du convertisseur de couple est très limité, ce qui donne un sentiment d'efficacité. Comme pour le comportement routier, les routes sur lesquelles j'ai roulé ne m'ont pas permis de juger de la pertinence de la gestion de boîte. Mais déjà, j'ai remarqué quelques rétrogradages au bon moment. Seul défaut : quelques grondement quand je roule à 70 à un peu moins de 2000 tr/min. Mais ils me semblent diminuer avec le rôdage (ou alors je m'habitue). Quant au stop/start, c'est une fonction à apprivoiser : tantôt pertinent, tantôt agaçant. J'ai déjà appris à légèrement tourner le volant pour éviter la coupure du moteur pour un arrêt d'une seconde.
Les consommations tournent sous les 7l/100 km, ce qui est exceptionnel pour un break essence pas si compact que ça, assez pêchu et accouplé à une boîte auto.
J'ai choisi cette voiture pour son agrément de conduite et je suis comblé. J'aime son aspect discret cachant une mécanique pétillante. Et j'espère passer de bon moment à parler bagnoles sur ce forum.