Désolé pour les infos, mais elles ne sont pas au top...
Nous aurions dû avoir deux Peugeot 407 Silhouette. Il n'y en a une qu'une, la #9 confiée à Vincent Radermaecker et Geoffroy Horion.
Aux essais libres, elle aurait réalisé le meilleur temps en 2.28.743, donc plus d'une seconde sous le temps pivot qui est le temps maximum à ne pas dépasser (d'autres voitures sont passées sous cette barre mais la Peugeot aurait été la plus rapide)
Aux essais chronométrés, Vincent Radermaecker est resté vraiment rapide. Presque facile puisqu'il n'a eu qu'à lever le pied ... pour ne pas embarquer de lest ou se prendre un drive-through en cas de passage sous le temps pivot : 2:30.365 dans la première séance, soit le troisième temps absolu et un départ en seconde ligne. Et un 2:30.792 en seconde séance, soit le sixième temps absolu et un départ en troisième ligne.
En course 1, derrière les ténors qui disputent le championnat, la Peugeot oscille entre la 4ème et la 10ème place, sauf à l'occasion des ravitaillements où elle occupe la première place durant... un tour. Le ravitaillement est parfait, sauf que la Peugeot est redevenue 4ème. Puis troisième. Mais une procédure safety-car à vingt minutes de l'arrivée redistribue les cartes dans la mesure où Jean-Pierre Van De Vauwer saute Geoffroy Horion et prend la troisième place (parce que la Peugeot avait levé le pied, avertie par son stand de la procédure safety-car? ... c'est mon analyse au vu des images). La procédure safety-car dure... car trois voitures s'explosent entre-elles et quand le feu redevient vert, il ne reste que deux tours. Au premier freinage, Jean-Pierre Van de Vauwer (Porsche GT3) double les deux Silhouettes de tête, tandis que Geoffroy Horion passe le virage au ralenti après avoir failli tirer tout droit. Il continue au ralenti vers la pit-lane, câble d'accélérateur bloqué! (en fait, dû à un potentiomètre défectueux).
La voiture sera quand même classé 34ème, à 3 tours des vainqueurs.
En course 2, c'est Geoffroy Horion qui prend le départ et réussit plutôt bien, puisqu'au premier freinage (les Combes), il passe troisième (parti en sixième position), puis second dans le double gauche. Au premier tour, la Peugeot est donc seconde à 3" du leader, une seconde devant le 3ème. Du côté des chronos, par contre c'est chaud, puisque dans le second tour, G. Horion réalise le meilleur tour en 2:30.142! Et celui qui le suit alors, la Porsche de Van de Vauwer (encore lui!) réalise un 2.29.973, soit ... un drive-through
Une aubaine pour la Peugeot qui perd une menace très présente. Elle est elle-même très présente envers la tête de la course puisque dans le quatrième tour, elle réalise de bons chronos et revient à 1'131! Il faudra attendre le 11ème tour pour qu'une Renault Megane Silhouette vienne ravir la seconde place à la Peugeot.
La fenêtre des ravitaillements étant longue (du 12ème au 20ème tour), la Peugeot regagne sa seconde place mais quand elle ravitaille au 19ème tour, un problème de ceinture lors du passage de volant à Vincent Radermaecker lui fait perdre plus de 10 secondes! Résultat, la voiture se retrouve cinquième, derrière un trio de Megane Silhouette et une Jaguar.
Les positions restent stables 4 tours, mais dans le 24e tour, la Peugeot perd une place, puis encore une deux tours plus tard pour un problème au pneu arrière droit. Elle termine donc 7ème seulement.
En résumé, le nouveau moteur est rapide. Mais il manque de réussite.
Pas de chance donc pour cette voiture.
Il y avait aussi la 406 Silhouette de Philippe Steveny.
Aux essais libres, elle aurait réalisé le dixième temps en 2.34.224.
Aux essais qualificatifs 1, elle en sixième ligne (12ème temps en 2:36.494) et aux essais qualificatifs 2 en septième ligne (14ème temps en 2:35.383).
Durant la course 1, la Peugeot se maintient longtemps en dixième position. Pas de changement de position à l'occasion du ravitaillement. La voiture termine 9ème (du fait de l'abandon de la Peugeot 407 de Radermaecker/Horion), devant l'Opel Astra Silhouette d'Eric Qvick.
En course 2, elle s'est maintenue en fin de peloton des Silhouette (hormis l'Opel Astra Silhouette #57 encore plus bas dans le classement), c'est-à-dire en 10ème place en tout début de course, puis en 8ème place après 6 tours. Au seizième tour, un accrochage ayant mis en cause un attardé (une Ford Mondeo Classe 4) et 3 voitures du top 10 (l'Opel Astra Silhouette #20, la BMW #2 du champion 2006, et la voiture de Steveny, alors respectivement 9ème, 10ème et 8ème), la Peugeot 406 a une crevaison à l'arrière gauche (touchée semble-t'il par l'Astra Silhouette qui elle porte les traces à l'avant) et stoppe définitivement à Blanchimont.
L'accrochage a eu lieu au pied du Radillon au moment où les trois SIlhouettes prenaient un tour à la Ford Mondeo. Une erreur (?) du pilote de la Ford a entraîné un ralentissement brutal de la Peugeot 406, touchée par l'Astra puis la BMW en déboitant a tapé la Mondeo qui est partie en tête à queue et s'est calée à contre-sens dans le rail (mais elle a pu repartir et terminer 50ème).
Pour les photos, ce sera bientôt ..., juste le temps de les trier et de venir les placer là.
Vous avez déjà un commentaire que vous ne lirez nulle part ailleurs!
Nous aurions dû avoir deux Peugeot 407 Silhouette. Il n'y en a une qu'une, la #9 confiée à Vincent Radermaecker et Geoffroy Horion.
Aux essais libres, elle aurait réalisé le meilleur temps en 2.28.743, donc plus d'une seconde sous le temps pivot qui est le temps maximum à ne pas dépasser (d'autres voitures sont passées sous cette barre mais la Peugeot aurait été la plus rapide)
Aux essais chronométrés, Vincent Radermaecker est resté vraiment rapide. Presque facile puisqu'il n'a eu qu'à lever le pied ... pour ne pas embarquer de lest ou se prendre un drive-through en cas de passage sous le temps pivot : 2:30.365 dans la première séance, soit le troisième temps absolu et un départ en seconde ligne. Et un 2:30.792 en seconde séance, soit le sixième temps absolu et un départ en troisième ligne.
En course 1, derrière les ténors qui disputent le championnat, la Peugeot oscille entre la 4ème et la 10ème place, sauf à l'occasion des ravitaillements où elle occupe la première place durant... un tour. Le ravitaillement est parfait, sauf que la Peugeot est redevenue 4ème. Puis troisième. Mais une procédure safety-car à vingt minutes de l'arrivée redistribue les cartes dans la mesure où Jean-Pierre Van De Vauwer saute Geoffroy Horion et prend la troisième place (parce que la Peugeot avait levé le pied, avertie par son stand de la procédure safety-car? ... c'est mon analyse au vu des images). La procédure safety-car dure... car trois voitures s'explosent entre-elles et quand le feu redevient vert, il ne reste que deux tours. Au premier freinage, Jean-Pierre Van de Vauwer (Porsche GT3) double les deux Silhouettes de tête, tandis que Geoffroy Horion passe le virage au ralenti après avoir failli tirer tout droit. Il continue au ralenti vers la pit-lane, câble d'accélérateur bloqué! (en fait, dû à un potentiomètre défectueux).
La voiture sera quand même classé 34ème, à 3 tours des vainqueurs.
En course 2, c'est Geoffroy Horion qui prend le départ et réussit plutôt bien, puisqu'au premier freinage (les Combes), il passe troisième (parti en sixième position), puis second dans le double gauche. Au premier tour, la Peugeot est donc seconde à 3" du leader, une seconde devant le 3ème. Du côté des chronos, par contre c'est chaud, puisque dans le second tour, G. Horion réalise le meilleur tour en 2:30.142! Et celui qui le suit alors, la Porsche de Van de Vauwer (encore lui!) réalise un 2.29.973, soit ... un drive-through
Une aubaine pour la Peugeot qui perd une menace très présente. Elle est elle-même très présente envers la tête de la course puisque dans le quatrième tour, elle réalise de bons chronos et revient à 1'131! Il faudra attendre le 11ème tour pour qu'une Renault Megane Silhouette vienne ravir la seconde place à la Peugeot.
La fenêtre des ravitaillements étant longue (du 12ème au 20ème tour), la Peugeot regagne sa seconde place mais quand elle ravitaille au 19ème tour, un problème de ceinture lors du passage de volant à Vincent Radermaecker lui fait perdre plus de 10 secondes! Résultat, la voiture se retrouve cinquième, derrière un trio de Megane Silhouette et une Jaguar.
Les positions restent stables 4 tours, mais dans le 24e tour, la Peugeot perd une place, puis encore une deux tours plus tard pour un problème au pneu arrière droit. Elle termine donc 7ème seulement.
En résumé, le nouveau moteur est rapide. Mais il manque de réussite.
Pas de chance donc pour cette voiture.
Il y avait aussi la 406 Silhouette de Philippe Steveny.
Aux essais libres, elle aurait réalisé le dixième temps en 2.34.224.
Aux essais qualificatifs 1, elle en sixième ligne (12ème temps en 2:36.494) et aux essais qualificatifs 2 en septième ligne (14ème temps en 2:35.383).
Durant la course 1, la Peugeot se maintient longtemps en dixième position. Pas de changement de position à l'occasion du ravitaillement. La voiture termine 9ème (du fait de l'abandon de la Peugeot 407 de Radermaecker/Horion), devant l'Opel Astra Silhouette d'Eric Qvick.
En course 2, elle s'est maintenue en fin de peloton des Silhouette (hormis l'Opel Astra Silhouette #57 encore plus bas dans le classement), c'est-à-dire en 10ème place en tout début de course, puis en 8ème place après 6 tours. Au seizième tour, un accrochage ayant mis en cause un attardé (une Ford Mondeo Classe 4) et 3 voitures du top 10 (l'Opel Astra Silhouette #20, la BMW #2 du champion 2006, et la voiture de Steveny, alors respectivement 9ème, 10ème et 8ème), la Peugeot 406 a une crevaison à l'arrière gauche (touchée semble-t'il par l'Astra Silhouette qui elle porte les traces à l'avant) et stoppe définitivement à Blanchimont.
L'accrochage a eu lieu au pied du Radillon au moment où les trois SIlhouettes prenaient un tour à la Ford Mondeo. Une erreur (?) du pilote de la Ford a entraîné un ralentissement brutal de la Peugeot 406, touchée par l'Astra puis la BMW en déboitant a tapé la Mondeo qui est partie en tête à queue et s'est calée à contre-sens dans le rail (mais elle a pu repartir et terminer 50ème).
Pour les photos, ce sera bientôt ..., juste le temps de les trier et de venir les placer là.
Vous avez déjà un commentaire que vous ne lirez nulle part ailleurs!