Bonjour,
mon histoire est peu banale, bien que pas si difficile à captée.
Fin juin, je signe un bon de commande pour une 3008 dans une concession proche de chez moi.
Je négocie la reprise de ma 307 SW, et m'assure auprès du garage que si je réussi à vendre l'auto avant l'arrivée de la 3008 (prévue mi-septembre), j'aurai la possibilité d'avoir une voiture en prêt.
Le commercial accepte sans souci.
Vous vous doutez que vendre la 307 par mes soins est plus avantageux que la reprise par le garage.
Coups de chance (ou de malchance...) j'arrive à trouver un acheteur pour ma 307 il y a une semaine, et je questionne à nouveau le garage pour m'assurer de la disponibilité d'un véhicule de prêt.
"Pas de problème, on prépare ça..."
Ma 307 part donc vers d'autres routes, et le commercial m'appelle entre temps pour me dire que finalement pour le véhicule de prêt ce n'est plus possible, il reste encore un mois et demi avant l'arrivée de la 3008 et c'est trop long.
Une semaine voire 10 jours OK, mais là....
Je me retrouve donc à pied !!!!!
J'ai décidé d'entamer la procédure d'annulation de l'achat de la 3008, il me faut un véhicule maintenant.
Devant cette situation, le commercial se démène et réussi à "s'arranger" avec l'atelier qui pourrait me fournir un véhicule, visiblement contre l'avis de son patron !!!!!
Malheureusement pour lui, lors de notre entretien dans son bureau, et voyant mon intention de tout annuler, il m'annonce que le chèque d'acompte a été mis à l'encaissement la veille !!!!!!!!!!!!!!!
Ce chèque ne devait servir qu'à valider le bon de commande, et me serait restitué lors du règlement global.
En aucun cas il ne devait être encaissé, d'ailleurs nous avions sa parole.......de commercial.
Le ton monte, et ce dernier lache que finalement le chèque est toujours dans notre dossier.
Quelle est donc cette pratique dégoutante de vouloir coincer le client, dès lors qu'il a signé le bon de commande ???
Je précise que le financement de la 3008 était une LOA sur 2 ans, et qu'aucun document n'a été rédigé pour le moment.
Je sais qu'au final je risque de perdre mon chèque de caution.
Un courrier avec A.R a été adressé au directeur de la concession (en vacance mais tant pis), et un second au service relation client chez PEUGEOT FRANCE à PARIS, relatant notre histoire en détail.
Le respect du client, par ces temps difficiles, et qui plus est pour un véhicule de plus de 27.000 euros devrait faire réfléchir les marchands de tapis que sont certains garagistes....
Voilà, j'ai failli rouler en 3008...............bien que le bon de commande soit toujours sur mon bureau...
Moi je m'apprête à courir les garages ce WE à la recherche d'un autre véhicule disponible tout de suite, mais vous, vous feriez quoi ??
mon histoire est peu banale, bien que pas si difficile à captée.
Fin juin, je signe un bon de commande pour une 3008 dans une concession proche de chez moi.
Je négocie la reprise de ma 307 SW, et m'assure auprès du garage que si je réussi à vendre l'auto avant l'arrivée de la 3008 (prévue mi-septembre), j'aurai la possibilité d'avoir une voiture en prêt.
Le commercial accepte sans souci.
Vous vous doutez que vendre la 307 par mes soins est plus avantageux que la reprise par le garage.
Coups de chance (ou de malchance...) j'arrive à trouver un acheteur pour ma 307 il y a une semaine, et je questionne à nouveau le garage pour m'assurer de la disponibilité d'un véhicule de prêt.
"Pas de problème, on prépare ça..."
Ma 307 part donc vers d'autres routes, et le commercial m'appelle entre temps pour me dire que finalement pour le véhicule de prêt ce n'est plus possible, il reste encore un mois et demi avant l'arrivée de la 3008 et c'est trop long.
Une semaine voire 10 jours OK, mais là....
Je me retrouve donc à pied !!!!!
J'ai décidé d'entamer la procédure d'annulation de l'achat de la 3008, il me faut un véhicule maintenant.
Devant cette situation, le commercial se démène et réussi à "s'arranger" avec l'atelier qui pourrait me fournir un véhicule, visiblement contre l'avis de son patron !!!!!
Malheureusement pour lui, lors de notre entretien dans son bureau, et voyant mon intention de tout annuler, il m'annonce que le chèque d'acompte a été mis à l'encaissement la veille !!!!!!!!!!!!!!!
Ce chèque ne devait servir qu'à valider le bon de commande, et me serait restitué lors du règlement global.
En aucun cas il ne devait être encaissé, d'ailleurs nous avions sa parole.......de commercial.
Le ton monte, et ce dernier lache que finalement le chèque est toujours dans notre dossier.
Quelle est donc cette pratique dégoutante de vouloir coincer le client, dès lors qu'il a signé le bon de commande ???
Je précise que le financement de la 3008 était une LOA sur 2 ans, et qu'aucun document n'a été rédigé pour le moment.
Je sais qu'au final je risque de perdre mon chèque de caution.
Un courrier avec A.R a été adressé au directeur de la concession (en vacance mais tant pis), et un second au service relation client chez PEUGEOT FRANCE à PARIS, relatant notre histoire en détail.
Le respect du client, par ces temps difficiles, et qui plus est pour un véhicule de plus de 27.000 euros devrait faire réfléchir les marchands de tapis que sont certains garagistes....
Voilà, j'ai failli rouler en 3008...............bien que le bon de commande soit toujours sur mon bureau...
Moi je m'apprête à courir les garages ce WE à la recherche d'un autre véhicule disponible tout de suite, mais vous, vous feriez quoi ??