Benigne, comme tu l'as dit la france est engagée depuis 2002 au même titre que d'autres pays.J'ai aussi entendu dans c'dans l'air
-La reconnaissance est dur à faire car les taliban sont très discret, ils portent pas le treillis et n'ont pas de casernes . Ce sont des paysans combattants par exemple qui sous la tunique portent l'AK47. Même une image satellite peu pas déceler ce genre de détail .
-C'était une région qui n'avait pas été patrouillé depuis longtemps
-Dans ce genre de patrouille les militaires français sont aussi là pour former l'armée afghane. Du coup officiellement les militaires afghan et français se relaient à la tête du convoie (dans les faits les militaire afghan pas encore au top semble rester souvent en queue de convoie).
-le nombre inhabituellement élevé de combattants semble indiquer qu'ils protègeaient qqchose ou qqun.
Ce qui rajoute a la difficultée afghane c'est que les combattants sont totalement intégré dans la population et sont la population (un payasan combattant par exemple). Quand tu interviens tu fais presque systématiquement des victimes colatérales . Surtout avec un avion . Et la population réagis comme nous.... quand tu fais des victimes colatéral t'es plus trop un copain .
Excellente question . Malheuresement j'ai pas la réponse .Depuis 6 ans que les forces de la coalition sont là bas tu crois pas que les afghans sont suffisamment formés pour nettoyées leurs putains de montagnes, sans qu'on soit obligé de le faire à leur place.
Si ils voulaient vraiment prendre leur pays en main ce serait déjà fait.
Faut arrêter de se la raconter.
Ok, mais pourquoi ne pas envoyer ceux qui mettent les cités à feu et à sang, caillassent les pompiers, les pandors et tout ce qui représente l'ordreQuand aux corvées de chiottes... il en faut toujours un .
Vu sous cet angle.... je suis totalement d'accordOk, mais pourquoi ne pas envoyer ceux qui mettent les cités à feu et à sang, caillassent les pompiers, les pandors et tout ce qui représente l'ordre
...
et ça leur ferait voir du pays
Bref que des avantages
Ok, mais pourquoi ne pas envoyer ceux qui mettent les cités à feu et à sang, caillassent les pompiers, les pandors et tout ce qui représente l'ordre
ça fait au moins 20 ans qu'ils s'entrainent aux différentes formes de combats, des vrais pros, pour épiler les montagnes des barbus, j'ai l'impression que ça irait très bien
Des travaux d'intérêts généraux pour la liberté et pour la France
En plus ça ferait de la place dans les prisons, et ça leur ferait voir du pays
Bref que des avantages
D'apres le Canard Enchainé l'embuscade relatée ne se serait pas passé comme on nous l'a dit
Quatre Soldats Francais se seraient retrouvés prisonniers avant d'etre exécutés.
Les Hélicos Militaires étaient affectés à la protection de Karzai
L'interprete s'était fait la malle quelque temps avant l'embuscade
Au gouvernement on admet que soient l'interprete,soit des Militaires Afghans ont donné l'alerte aux talibans
Bref On nous ment ,et surtout l'armée Francaise s'est foutu dans un merdier incroyable
55% des Francais sont favorables au retrait des troupes Francaises sur le terrain ,Pourquoi ne pas organiser un référendum sur la question?
Nos stratèges ont-ils peur d'etre désavoués?
Le sondage tout comme un referundum comme ça à chaud, me parait totalement inaproprié .55% des Francais sont favorables au retrait des troupes Francaises sur le terrain ,Pourquoi ne pas organiser un référendum sur la question?
j'en vois que 2 : le pognon et le pétrole.Le sondage tout comme un referundum comme ça à chaud, me parait totalement inaproprié .
C'est l'émotion qui parle ce qui est logique .
Ensuite expliquer au spectateur moyen de Secret Story les enjeux géopolitiques mondiaux.... me parait une mission commando suicide .
Tu regardes "secret story" ?
Perso, j'en vois un 3eme d'enjeu. Notre liberté. Déjà qu'elle se réduit à peau de chagrin...
C'est pour ça qu'on les aime nos petits forniqueursBah sans pétrole ni pognon, pas de liberté non plus. C'est un tout.
Sinon, j'ai lu dans le parisien que cette année pas de couple cassé. Ca a du etre passionant.
Par contre, j'ai lu un petit florilege de petites phrases des candidats et tentaeurs(trices), y'avait du lourd.
Après l'ile de la tentation, les montagnes de la tentationC'est pour ça qu'on les aime nos petits forniqueurs
Bon ceci, je pense qu'il faut arrêter de se dandiner en string dans les montagnes mal famées, sinon des [strike]snippers[/strike] modos risquent de nous tirer comme des lapins
- Les officiers de renseignement égrènent leur rapport de commentaires plus ou moins grinçants :Le 18 août, les fantassins français, ralentis par "la lourdeur de leurs gilets pare-balles", montent à pied vers le col où les attendent les insurgés. A 15 h 30, "le piège" se referme et les tirs commencent, selon le récit des officiers de renseignement. D'après leur rapport, les soldats "encerclés" sont très vite à court de munitions, alors que "les insurgés semblent disposer d'énormes réserves de munitions" et les placent sous un tir nourri. Les renforts en munitions ne parviendront qu'après deux heures quarante de combats.
La le journal se contredit ... comment peux tu executer un soldat mort .Le Canard enchaîné affirme de nouveau que quatre soldats français ont bien été "capturés par les insurgés" avant d'être exécutés, malgré les démentis de l'état-major selon qui tous les militaires français tués "sont tombés en combattants dans une phase de combat".
Le journal affirme que "les talibans ont disposé, pendant un temps, de plusieurs soldats français, morts ou vivants".
Des taliban revendiquant l'embuscade meurtrière du 18 août en Afghanistan reconnaissent avoir eu des corps de soldats français entre les mains mais démentent les avoir capturés et exécutés, selon un reportage à paraître dans Paris Match.
Ils ont remis aux journalistes une montre supposée appartenir à un militaire et ont posé pour des photos avec des équipements de l'armée française : casques, gilets pare-balles, talkie-walkie, treillis et un fusil Famas.
Cependant, seul le fusil a été récupéré sur les soldats lors de ces combats qui ont fait dix morts dans les rangs de l'armée française, a précisé la journaliste Véronique de Viguerie sur Europe 1.
De même, les taliban ont reconnu avoir été "prévenus" de l'arrivée de la patrouille du 8e RPIMa.
Mais ils ont souligné ne pas avoir reçu de message direct du camp français, d'un interprète ou d'un militaire afghan, comme l'avançait Le Canard enchaîné, qui a également maintenu mercredi que quatre soldats avaient été exécutés.
"Ils savaient que la patrouille arrivait dans la vallée d'Ouzbine là où ils les ont attaqués, ils l'ont su suffisamment à l'avance pour se positionner", a raconté le second journaliste, Eric de Lavarène, sur France Info.
"Ils ont réussi à faire en sorte que cette patrouille se retrouve sous un feu intense pendant plusieurs heures, et si la nuit n'était pas tombée ils les auraient tous tués", a-t-il dit.
Eric de Lavarène a souligné sur Europe 1 que seule Véronique de Viguerie avait eu accès aux jeunes combattants islamistes qui posent pour les photos. Lui-même s'est entretenu avec un responsable se faisant appeler "le commandant Farouki".
Pour Véronique de Viguerie, la remise d'une montre est "un message de bonne volonté" de leur part et une façon de "montrer qu'ils avaient été respectueux de ces soldats tués."
Sur le fond, les taliban voulaient surtout réitérer leurs menaces à l'encontre des forces françaises participant à la force de coalition déployée dans le pays.
"Ils nous ont dit que les Français devaient rapidement quitter le territoire afghan désormais, de même que les autres pays membres de l'Otan présents en Afghanistan", a dit Eric de Lavarène.
"Ils ont dit qu'ils allaient s'en prendre directement aux bases, aux ONG et à tous les étrangers présents en Afghanistan et qu'ils étaient même capables de frapper les intérêts français à l'étranger", a-t-il ajouté.
Dans Paris Match, le "commandant Farouki" assure : "Nous n'en voulons pas aux Français. S'ils partent, alors tout ira bien. Tant que vous resterez chez nous, nous vous tuerons tous".
Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a déclaré mercredi que le sujet n'avait pas été abordé en conseil des ministres, soulignant que "le temps du deuil n'est pas terminé."
Sur les circonstances de l'embuscade, il a rappelé "qu'un certain nombre d'enquêtes sont en cours", notamment du commandement militaire.
"Le président de la République, le Premier ministre ont indiqué que les choses seraient transparentes et que nous regarderions dans le détail, à partir du rapport d'expérience et des analyses qui sont effectuées par nos services", a-t-il dit.
Des taliban donnent leur version sur l'embuscade des Français
Reuters
Des taliban revendiquant l'embuscade meurtrière du 18 août en Afghanistan reconnaissent avoir eu des corps de soldats français entre les mains mais démentent les avoir capturés et exécutés, selon un reportage à paraître dans Paris Match.
Ils ont remis aux journalistes une montre supposée appartenir à un militaire et ont posé pour des photos avec des équipements de l'armée française : casques, gilets pare-balles, talkie-walkie, treillis et un fusil Famas.
Cependant, seul le fusil a été récupéré sur les soldats lors de ces combats qui ont fait dix morts dans les rangs de l'armée française, a précisé la journaliste Véronique de Viguerie sur Europe 1.
De même, les taliban ont reconnu avoir été "prévenus" de l'arrivée de la patrouille du 8e RPIMa.
Mais ils ont souligné ne pas avoir reçu de message direct du camp français, d'un interprète ou d'un militaire afghan, comme l'avançait Le Canard enchaîné, qui a également maintenu mercredi que quatre soldats avaient été exécutés.
"Ils savaient que la patrouille arrivait dans la vallée d'Ouzbine là où ils les ont attaqués, ils l'ont su suffisamment à l'avance pour se positionner", a raconté le second journaliste, Eric de Lavarène, sur France Info.
"Ils ont réussi à faire en sorte que cette patrouille se retrouve sous un feu intense pendant plusieurs heures, et si la nuit n'était pas tombée ils les auraient tous tués", a-t-il dit.
Eric de Lavarène a souligné sur Europe 1 que seule Véronique de Viguerie avait eu accès aux jeunes combattants islamistes qui posent pour les photos. Lui-même s'est entretenu avec un responsable se faisant appeler "le commandant Farouki".
Pour Véronique de Viguerie, la remise d'une montre est "un message de bonne volonté" de leur part et une façon de "montrer qu'ils avaient été respectueux de ces soldats tués."
Sur le fond, les taliban voulaient surtout réitérer leurs menaces à l'encontre des forces françaises participant à la force de coalition déployée dans le pays.
"Ils nous ont dit que les Français devaient rapidement quitter le territoire afghan désormais, de même que les autres pays membres de l'Otan présents en Afghanistan", a dit Eric de Lavarène.
"Ils ont dit qu'ils allaient s'en prendre directement aux bases, aux ONG et à tous les étrangers présents en Afghanistan et qu'ils étaient même capables de frapper les intérêts français à l'étranger", a-t-il ajouté.
Dans Paris Match, le "commandant Farouki" assure : "Nous n'en voulons pas aux Français. S'ils partent, alors tout ira bien. Tant que vous resterez chez nous, nous vous tuerons tous".
Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a déclaré mercredi que le sujet n'avait pas été abordé en conseil des ministres, soulignant que "le temps du deuil n'est pas terminé."
Sur les circonstances de l'embuscade, il a rappelé "qu'un certain nombre d'enquêtes sont en cours", notamment du commandement militaire.
"Le président de la République, le Premier ministre ont indiqué que les choses seraient transparentes et que nous regarderions dans le détail, à partir du rapport d'expérience et des analyses qui sont effectuées par nos services", a-t-il dit.