L'histoire de l'automobile de 1770 à 1930

regord

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18 Février 2007
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Rétrospective et histoire…..


La Création de l’automobile

Joseph CUGNOT, en 1770 créa un « fardier » à vapeur destiné à tirer des pièces d’artillerie. Il s’agissait du premier véhicule à se propulser avec son énergie propre. Avec quatre personnes à bord, il roulait à 4 km/h pendant 15 minutes. Il se trouve au Conservatoire des Arts et Métiers de Paris.
Du coté de Montbéliard (dans le Doubs)
1810 : Issus d’une famille de meuniers de la région de Montbéliard, les frères Peugeot transforment un moulin à grains en fonderie d’acier pour fournir en ressorts l’industrie horlogère locale.
1818-57 : Dépôt de brevet pour le laminage à froid (1818).
De nouvelles usines voient le jour et la production se diversifie : scies à ruban, ressorts, bucs de corset, armatures métalliques de crinoline, outils, moulins à café, etc.

100 ans après seulement apparaissent les premières automobiles.
Etienne LENOIR déposa en 1860 le brevet d’un moteur à air dilaté par la combustion des gaz. En 1876, le docteur N.A OTTO réalise en Allemagne le premier moteur à 4 temps à combustion retardée. Il avait dans son équipe d’ingénieurs Gottlieb DAIMLER, qui inventa son propre moteur à pétrole et l’installa sur une voiture à quatre roues , en 1885.
Production en 1885 de vélocipèdes (bicycles, tricycles, quadricycles) sous l’impulsion d’Armand Peugeot.
La fabrication de bicyclettes en série débute à Beaulieu courant 1886.
En 1889, présentation par Armand Peugeot, à l’Exposition Universelle de Paris, d’un tricycle Peugeot équipé d’un moteur à vapeur Serpollet.
En parallèle, un autre allemand, Carl BENZ fabrique un moteur à pétrole, qu’il installe sur un tricycle, dont la vitesse atteindra 16 km/h.
Le premier quadricycle à gazoline Peugeot à moteur Daimler sort des lignes de Valentigney en 1890.
Des pionniers français comme PANHARD, LEVASSOR, PEUGEOT achètent le moteur DAIMLER pour les utiliser sur leurs propres voitures.
Le problème de la direction fut résolu par Rodolphe ACKERMANN en 1818, qui déposa un brevet sur les pivots de roues reliés par une tringle. Ce principe fut adopté dès 1890 sur la voiture automobile.
Le premier trajet de longue distance remonte à 1888, ou la voiture à quatre roues BENZ réalise le parcours Mannheim Pforzheim, soit environ 90 km.
Le premier changeur de vitesse était une courroie sur un étagement de poulies et c’est en 1891, qu’ Emile LEVASSOR améliora ce système, en installant un embrayage par friction entre moteur et boite de vitesse, qui comportait un arbre secondaire entraînant des pignons qui actionnaient à leur tour un autre arbre transversal en prise sur les roues arrières. La transmission était assurée par chaînes. Ce système est aujourd’hui encore dénommé le système Panhard.
1891 : à partir de cette année, PEUGEOT Frères sort le premier véhicule équipé du moteur Daimler deux cylindres en V , fabriqué sous licence par Panhard et Levassor. Il fonctionnait à l’essence de pétrole (gazoline) suivant le cycle à quatre temps.
Soixante quatre de ces véhicules (quadricycles à 4 places et roulant à la vitesse se 18 à 20 km/h) furent construits jusqu’en 1894.

En 1892, 29 quadricycles Peugeot Type 3 sont fabriqués et les premiers pneumatiques Michelin sont montés sur un tricycle Peugeot à pétrole.
En 1895 les frères MICHELIN équipent leur voiture de pneus gonflables pour la fameuse course Paris – Bordeaux. La pression était de 4 à 7 kg/cm².
Ces premières voitures étaient pourvues de freins à sabots de bois ou cuir, mais suivis très vite par des freins métalliques à friction sur les roues arrière.
Apparition des premier roulements à billes « Lion »
La marque du Lion PEUGEOT remonte à novembre 1858, date de son dépôt légal.
Les frères PEUGEOT étaient convaincus de la supériorité de leurs voitures et avaient choisi le lion comme symbole.
1896 : « Les fils de Peugeot frères » conserve toutes les fabrications autres que l’automobile. « La Société Anonyme des Automobiles Peugeot » poursuit la fabrication des véhicules de
Le premier tricycle PEUGEOT, équipé du générateur à vapeur SERPOLLET fabriqué à Lyon aux ateliers HORME & BUIRE, est présenté à l’exposition universelle de Paris, sur le stand des fils de PEUGEOT Frères. (1889 : à l’occasion de l’inauguration de la tour Eiffel). Quatre de ces Tricycles à vapeur ont été fabriqués en 1890 sur le site de Valentigney. L’embrayage est à cône morse, la vitesses maxi est de 25 km/h, le diamètre des roues est 600 mm pour l’avant et 1030 mm pour l’arrière.

Armand PEUGEOT prend la direction des productions automobiles.

1894 : naissance de la boîte de vitesse à 4 rapports + marche AR
Le Comte de DION provoque une réunion pour mettre au point la première grande course automobile. 1178 km Paris Bordeaux aller et retour.
A cette réunion assistaient : Ravenez, Peugeot, Levassor, Serpollet, Dufayel, Lavalette, Recoppé, Deplace, Emile Gauthier et le Marquis de Chasseloup-Laubat, fondateur de l’Automobile Club de France.

La course a lieu le 11 juin 1895 et c’est la Panhard Levassor N°5 qui fut la plus rapide, avec une moyenne de 24,2 km/h, mais la Peugeot Type 3 (vraie 4 places) s’octroya les 30000fr du premier prix !

1895 : Peugeot fabrique le premier omnibus à 5 places. Toutes les voitures sont carrossées bois et cuir. La tôle fait une timide apparition comme ferrage de chant de marche pied ou de pare-boue de roue.

1897 : A partir de cette année tous les véhicules seront équipés d’un moteur de la marque, à deux cylindres horizontaux. En option, on pouvait avoir des pneus Michelin, en remplacement de roues à bandage. De 1889 à 1897, la marque Peugeot fabriqua 319 véhicules ; cette même année elle créée l’usine d’Audincourt et en 1898 celle de Lille.

De 1897 à 1900, 979 véhicules seront construits et de 1900 à 1902, 1093…
1901-02 : Première moto Peugeot de 1,5 CV qui roule à 40 km/h.
Le siège d'Automobiles Peugeot est à Levallois ; l'usine d'Audincourt compte 800 salariés, celle de Lille emploie 600 personnes.

1902 : apparition du moteur à 4 cylindres de 2042 cm3 et de la transmission à cardans. La direction comportait le boîtier roue/vis sans fin.
Apparition de la voiture RENAULT, FIAT est fondé en Italie, FORD sort son premier modèle aux Etats Unis.

1903 : Peugeot installe la commande de boite de vitesses sous le volant.

1904 : apparition des amortisseurs à friction. Peugeot lance sa première limousine
65 à 87 km/h, freins à tambour à l’AR, pneus de 105 à l’av et 12 à l’AR, cylindrée de 4974 cm3

La firme ROYCE lance sa première voiture

1905 La « Bébé Peugeot », première voiture populaire est lancée en série. Elle sera fabriquée à 400 exemplaires.
Mise au point de la Lion Peugeot par les Fils de Peugeot Frères.

1906 : premier grand prix du Mans. Renault gagne avec une vitesse de 101,195km/h

1908 : Ford lance la première « T » sa voiture à production de masse qui en 19 ans sera construite à 15 millions d’exemplaires.
Apparition de l’allumage à haute tension par magnéto

1910 : Fusion des sociétés « Automobiles Peugeot » et « Les Fils de Peugeot frères » en « Société anonyme des automobiles et cycles Peugeot » dont Robert Peugeot prend la direction. Toutefois, les deux gammes cohabiteront encore jusqu’à la Première Guerre mondiale. Apparition des freins sur les roues avant

1911 : Première course des « 500 miles » d’INDIANAPOLIS

1912 : CHEVROLET sort sa première voiture. Elle est équipée de deux phares et d’un klaxon électrique. CADILLAC fit de même avec le démarreur électrique en plus. Les constructeurs utilisent de plus en plus la magnéto et les bougies d’allumage. Le grand prix de France voit la victoire de Georges BOILLOT sur une Peugeot à moteur de 7,6 litres, à double arbre à came en tête.
Installation de la nouvelle usine Peugeot à Sochaux
Ettoré BUGATTI dessine la Bébé, cette mini Peugeot sera construite à Beaulieu à 5075 exemplaires.
Un atelier de carrosserie est implanté à Mandeure. Peugeot acquiert les terrains où s’édifiera l’usine de Sochaux - Montbéliard.

1913 : Peugeot fabrique la moitié des automobiles françaises, remporte le Grand Prix d’Indianapolis et bat le record du monde en départ lancé : 170,5 km/h. Peugeot remportera deux autres victoires à Indianapolis (1916 et 1919).
Lancement de la « Bébé Lion Peugeot » conçue par... Ettore Bugatti qui sera fabriquée jusqu'en 1916 à 3 095 exemplaires.
1913-1916 :
André Citroën fonde la « Société des engrenages Citroën », quai de Grenelle à Paris. La denture de ces engrenages, en forme de chevrons, devient l'emblème de la Marque.
En 1912, André Citroën avait visité les usines d'Henry Ford aux Etats-Unis et découvert de nouveaux principes d'organisation de la production. Dès 1916, Citroën prépare la reconversion de l'usine d'armement du quai de Javel afin d'y fabriquer des véhicules.

1914 : Les pare-boue en cuir ou bois deviennent métalliques, les roues à rayon sont remplacées par des roues pleines en tôle emboutie. La roue de secours apparaît comme un accessoire fort nécessaire à l’époque.
Lancement de Peugeot TORPEDO Sport de 7478 cm3 vitesse maxi de 129km/h

Apparition de l’embrayage à disque
Chez FORD les coques des voitures « tombent » sur les châssis, c’est le prélude au travail à la chaîne, à cadence de plus en plus élevée.
En Europe, de 1914 à 1920, la production automobile est perturbée par la première guerre mondiale.

1915 : Décès d’Armand Peugeot, fondateur de la branche automobile.

1914-1918 :
Les usines participent à l’effort de guerre. Elles fourniront 1 000 motocyclettes,
63 000 bicyclettes, 3 000 voitures, 6 000 camions, 1 400 moteurs de chars, 10 000 moteurs d’avions et 6 millions de bombes et d’obus.
Création du 1er journal d’entreprise en France : le Bulletin des usines.
Peugeot décide d’adopter les méthodes de production de Taylor et instaure la journée de 8 heures en 1919.


1918 : L’ingénieur André CITROEN, jusqu’alors administrateur des usines d’engrenages à chevrons, se lance dans la fabrication d’automobiles. Très vite il fera partie de l’élite mondiale. Renault fabrique des tanks pour l’armée française

1919 : André CITROEN fabrique la première 5cv au prix de 7950 Frs, mais pas pour longtemps, car il fut obligé de la vendre 12000 Frs pour éviter la faillite.
Services médicaux, coopératives, crèches, cabinets dentaires, sont mis en place dans les usines Citroën.

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L’évolution de la production automobile a accompagné les grands bouleversements du 20ème siècle. D’un artisanat réservé à une clientèle limitée, elle a su passer à une production industrielle de masse tout en augmentant la qualité de fabrication, en améliorant les conditions de travail et en diminuant les coûts. L’industrie automobile est aujourd’hui un acteur majeur de l’essor économique de tout pays industrialisé, dont les évolutions, au-delà de l’économie, traduisent aussi les mutations de la société toute entière.

Le Fordisme et l’application à l’automobile
Dès 1908, Henry Ford voit tout le bénéfice que l'industrie automobile peut tirer de l'application de ces théories. La Ford T naît ainsi d'un concept industriel : la fabrication en grande série. Voiture rustique et sans variantes, elle est accessible à une large classe moyenne. Associée à une solide réflexion commerciale (Henry Ford développe les premières formules de crédit), la logique industrielle est un succès populaire. Jusqu'en 1927, quinze millions de Ford T seront produites. Le taylorisme connaît dès lors avec l'essor du Fordisme un développement fulgurant.

L'entre-deux-guerres est un contexte porteur pour les industries de pointe françaises (aéronautique, automobile, pneumatique, chimie). L'économie française entame une phase de mondialisation. La révolution Taylor fait de l'automobile la clé de cette seconde industrialisation. Grâce à E. Mattern, l'organisation scientifique du travail est introduite chez Peugeot et chez Citroën (dont l’organisation de l’usine du Quai de Javel, dédiée à la Traction, est entièrement basée sur ces principes). Après la crise des années 30, le retour de la croissance est tout d’abord ralenti par des politiques déflationnistes et malthusiennes, puis finalement compromis par l'entrée en guerre.

Dans ce contexte de profonde mutation industrielle, émergent des mouvements sociaux de contestation que les patrons vont rapidement prendre en compte. Le taylorisme permet d'accroître la productivité et favorise l'emploi peu qualifié, cependant, il apparaît vite que l'accroissement de production ne peut être obtenu que par le surmenage. L'ouvrier réduit au rang de manœuvre voit sa situation intellectuelle et sociale amoindrie, la monotonie du travail et l'absence d'effort intellectuel sont décourageants. Parallèlement des recherches, notamment menées dans les années 30 par Elton Mayo, professeur à Harvard, soulignent l'intérêt de développer des relations humaines dans les entreprises. Durant la même période, Hyacinthe Dubreuil, ouvrier syndicaliste, insiste sur l'importance de l'enrichissement des tâches et expose pour la 1ère fois des thèmes comme la décentralisation ou l'autogestion.
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Commence l’âge d’or de l’automobile de 1921 à 1940


1921 : Redémarrage de la production Peugeot et forte montée en cadence. La production de l’année atteindra 6327 voitures.
Peugeot absorbe le constructeur de Dion et Bouton
Lancement de la Quadrillette : 2 places, 3 vitesses, 4 ch et 60 km/h. Avec ses dérivés, elle sera fabriquée à plus de 60 000 exemplaires jusqu’en 1930.
1921 : Des stocks de pièces de rechange sont créés dans toute la France.
La B2 Citroën remplace la Type A. Elle sera fabriquée à près de 90 000 exemplaires jusqu'en 1926. Les autochenilles (dérivées de Type A et B2) sont lancées en 3 versions : neige, raid et tout-terrain.

1922 : Citroën fabrique la 5cv à la cadence de 150 vhl/j
Pour rénover les panneaux de signalisation, Citroën dote l'hexagone d'un réseau de plaques indicatrices portant son nom, soit 150 000 panneaux au total.
Le Torpedo 5CV Trèfle et les autochenilles sont fabriquées par l’usine de Levallois qui entre en activité.
Salon de Paris : présentation de la 5CV type C (fabriquée à près de 81 000 unités jusqu’en 1926).

La firme anglaise AUSTIN lance la « Seven »pourvue de freins à l’avant. Elle sera vendue à plusieurs millions d’exemplaires

1923 : chez Peugeot la barre des 10000 vhl/an est enfin franchie.
Fabrication de miniatures automobiles Citroën dans une logique publicitaire : jusqu’en 1933, plus de 2 millions de ces jouets seront vendus.
Création de l’usine de Saint-Charles (Paris 15ème) pour l’usinage et le montage de boîtes de vitesses.

1924 : A partir de cette année, le démarreur électrique est introduit avec succès sur de nombreux véhicules européens.
Fondation de la « Société Anonyme André Citroën » au capital de 100 millions de francs. Des sociétés commerciales sont ouvertes à Bruxelles, Milan, Amsterdam, Cologne…
Citroën crée un réseau de transport (autocars) inter-villes.

1925 : Citroën adopte le principe de la coque monobloc en acier embouti.
Développement du réseau commercial français : 200 agents en 1919, 5 000 en 1925.
Les forges de Clichy, premières forges d’Europe, entrent en activité.
Lancement de la B12, à carrosserie tout-acier.
Chez Peugeot, la production dépasse 20000 voitures.

1926 : le style est à présent marqué par les contraintes d’aérodynamisme et l’ensemble des constructeurs s’aligne sur les « grands maîtres du créatif »
MASERATI engage sa première voiture dans la Targa-Florio
Cette firme sera rachetée par Citroën en 1968
La « Société Anonyme des Automobiles et Cycles Peugeot » est scindée en deux sociétés : « Cycles Peugeot » et la « Société des Automobiles Peugeot ».
Chez Citroën : lancement de la B14 et du B15, véhicule utilitaire à cabine fermée.
La production se taylorise, l’usine de Grenelle entre en activité, d’autres usines sont mises en service en Europe (Bruxelles-Forest, Slough...).

1927-1928 : lancement de la C4 Citroën qui va être fabriquée jusqu’en 1930 à 140 000 unités.

1927 : Naissance d’une nouvelle firme à Suresnes  TALBOT, qui lance la DB 9/10cv,
6 cylindres. Cette firme sera rachetée par SIMCA en 1958.
Une DELAGE de 1500 cm3 atteint la vitesse de 206 km/h

A Molsheim, Ettore BUGATTI lance la Royale Bugatti. Son moteur, un 8 cylindres en ligne de 12763 cm3 développant 250 CV (garantis) avec double allumage et 4 contrôles de carburation. Un vrai bijou qui est visible au Musée de l’Automobile de Mulhouse.

1928 : Jean Pierre Peugeot, patron de la société des Automobiles Peugeot, créé le football club de Sochaux.
A Wolverhampton (Angleterre) : apparition des premiers feux tricolores dont l’usage se généralise en Europe et aux Etats Unis dès 1930
Renault sort la REINASTELLA, 8 cylindres en ligne de 41 CV.
Amédée GORDINI réalise la FIAT 509

1929 : Crise économique très dure et les voitures de tous types se vendent pour quelques centaines de francs

Peugeot lance la 201, berline à ,4 places avec de nombreuses particularités.
- radiateur plat à nid d’abeille
- capot avec crevés latéraux
- malle AR coquille
- ressorts avant transversaux
- roues AV indépendantes
- cylindrée de 994 à 1465 cm3
- vitesse 100 km/h en consommant 8 litres au cent
Elle a parcouru 2136 km en 24 heures (moyenne 89 km/h) sur le circuit de Montlhéry.
La même année, Madame Leblanc, au volant d’une 5CV Peugeot, remporte le Tour de France automobile.

Citroën devient une marque synonyme d’aventure et de fiabilité grâce à ses « Croisières » : la Croisière Noire (Colomb-Béchar/Tananarive, 20 000km) et la Croisière Jaune (Beyrouth–Pékin) : 14 autochenilles parcourent 12 000km !

En 1930, la production annuelle Peugeot atteint 43303 vhl. (248703 depuis le tout début)

Apparition des huiles plus légères, ce qui facilitera les démarrages à froid.
A Sochaux, Peugeot met en service la Grande Presse de 1200 tonnes.


Regord :bounce: mars 2007 histoire de l’automobile de 1770 à visitez aussi mon site : http://www.407-peugeot-occasion.com :bounce:
 


Rétrospective et histoire…..


La Création de l’automobile

Joseph CUGNOT, en 1770 créa un « fardier » à vapeur destiné à tirer des pièces d’artillerie. Il s’agissait du premier véhicule à se propulser avec son énergie propre. Avec quatre personnes à bord, il roulait à 4 km/h pendant 15 minutes. Il se trouve au Conservatoire des Arts et Métiers de Paris.

il sera en demonstration reelle au salon retromobile
on peut voir une video en page d'accueil du site retromobile pour les curieux
 


Le plus gros problème du "fardier" de Cugnot, c'est qu'il ne pouvait pas tourner...
 

1923 : Création de l’usine de Saint-Charles (Paris 15ème) pour l’usinage et le montage de boîtes de vitesses

Des usines dans le 15ème ! Le m² n'était pas cher à cette époque ! :pt1cable:
 

En 1923, le 15ème, c'était encore la campagne !
C'est seulement dans les années 60 et 70 que toutes les usines de la capitale ont été envoyées en banlieue à coups de subventions...
 

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