[Topic officiel] *Voitures d'exception*

En tout cas ligne de montage c'est du clinique dedans. Pas une cochonnerie au sol 8)

surtout pour les tofs :p Nan jrigole en fait c toujours comme ca -je suppose- vu que ce sont en plus des modeles de très petites serie ... Et je ne vous parle pas de la Phaeton construite a l'usine grand publique :oui:
 


En tout cas ligne de montage c'est du clinique dedans. Pas une cochonnerie au sol 8)

surtout pour les tofs :p Nan jrigole en fait c toujours comme ca -je suppose- vu que ce sont en plus des modeles de très petites serie ... Et je ne vous parle pas de la Phaeton construite a l'usine grand publique :oui:

ça c'est impressionant ! :eek:
Les mecs sont trois par voitures souvent, sur un truc genre tapis mais en parquet... pas un bruit, pas un outil qui tombe, pas une trace de cambouis ! Et à la fin les voitures sont exposées dans une vitrine en verre avant d'etre livrées ! :love: ou expediées
 

ça c'est impressionant ! :eek:
Les mecs sont trois par voitures souvent, sur un truc genre tapis mais en parquet... pas un bruit, pas un outil qui tombe, pas une trace de cambouis ! Et à la fin les voitures sont exposées dans une vitrine en verre avant d'etre livrées ! :love: ou expediées

Ca fait rêver mais on comprend aussi mieux le prix au bout de la "chaîne"......................... :rolleyes:
 


et vu les ventes ils peuvent prendre leur temps! :D

très vrai aussi. :oui:

J'avais lu un article (dans AAM je crois), où il annonçait qu'ils avaient "perdu" plusieurs Phaeton.
Pas de trace sur le parking de l'usine, pas de client en vue, les voitures ont peut-être été prêtées, personne n'en savait rien. Et ça semblait être une vraie info.................... :mouai: :mouai: :mouai:

Ils en vendent 50, ils en perdent 10 :lol: :lol:
 

et vu les ventes ils peuvent prendre leur temps! :D

très vrai aussi. :oui:

J'avais lu un article (dans AAM je crois), où il annonçait qu'ils avaient "perdu" plusieurs Phaeton.
Pas de trace sur le parking de l'usine, pas de client en vue, les voitures ont peut-être été prêtées, personne n'en savait rien. Et ça semblait être une vraie info.................... :mouai: :mouai: :mouai:

Ils en vendent 50, ils en perdent 10 :lol: :lol:

j'en ai aussi entendu parlé ...
 


Voila une belle voiture d'exception! :love: :love: :love: :love: :love:
Clio%20RS%2001.jpg
 

d'exception non, mais c'est pour moi la seule reno avec la Clio V6 que j'aime bien ! :)
 





Je profite aussi pour vous annocer que l'emission TURBO M6 nous fera un comparatif

_FERRARI ENZO
_MERCEDES BENZ SLR
_Porsche Carrera GT

:chinois:

A NE PAS MANQUER CE SOIR 19H ...

:chinois:
a noter que ce sera la 900 e de TURBO ce soir...


Yora pas beaucoup de monde sur FP de 19h a 19h 45 :D
 

Je profite aussi pour vous annocer que l'emission TURBO M6 nous fera un comparatif

_FERRARI ENZO
_MERCEDES BENZ SLR
_Porsche Carrera GT

:chinois:

A NE PAS MANQUER CE SOIR 19H ...

:chinois:
a noter que ce sera la 900 e de TURBO ce soir...


Yora pas beaucoup de monde sur FP de 19h a 19h 45 :D

qu'un seul mot : ouffffff ca ct une émission :D
 


le truc de malade !!! :eek:

c'est la meilleure emission de turbo que j'ai vu !! :love:

Franchement, meme si j'ai pu monter dans une Enzo et entendre son moteur tourner, je suis sur le cul nivo bruit à haut regime ! :eek: un vraie bombe !

la SLR, c'est bon pour aller bosser en semaine ça.... le bruit du V8 Compresseur ne m'enchante pas autant que le V10 Porsche qui hurle à 8400tr /min ! :love:

Mon classement nivo plaisir de conduite :
- Enzo
- Carrera GT
- SLR

Mon classement nivo look :
- Carrera GT
- Enzo
- SLR

Pour moi la SLR reste un gros SL, c'est dommage... et pas une supercar :?
 



Ferrari Enzo

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Le mythe en action !

Bienvenue dans l’univers de Ferrari, l’essence même du rêve et de la démesure. Vous êtes ici au cœur du mythe, le premier chapitre de notre trilogie voit rouge.




Et dans le royaume des fantasmagoriques bolides de Maranello, l’Enzo est la plus explosive des Ferrari jamais construite. Une lignée initiée par la 288 GTO et qui s’est poursuivie par les emblématiques F40 et F50, une œuvre magistrale, que parachève la Enzo. Jamais le cheval cabré n’étai tallé aussi loin dans l’élaboration d’une GT. La Enzo est avant tout l’inspiratrice, l’initiatrice d’une nouvelle race de purs sang, un véritable cheval de course, un cheval au galop, pourtant conçu pour la route, quel étonnant paradoxe ! Ferrari mise sur l’image, l’Enzo est une vitrine certes, mais d’une nécessité absolue pour alimenter nos rêves.

Tout le savoir faire technologique de Ferrari se trouve dans cette véritable machine à fantasmes. 660 chevaux dédiés à la performance, la Ferrari Enzo bat au rythme des régimes stratosphérique de son V12 6 litres, à 8200 tr/min au rupteur. Un râle caractéristique violent mais tellement envoûtant qu’il déclenche automatiquement un sourire, l’enthousiasme et l’émerveillement, des petits comme des grands. Il n’y a qu’à tendre l’oreille, ouvrir les yeux et se laisser ensorceler par la magie que cette voiture d’exception provoque.


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Origine : Formule 1

Les héritiers du Commendatore ont su symboliquement lui rendre hommage, en lui dédiant cette sculpture parfaite synthèse de puissance de style et de technologie, et qui puise sa genèse dans la Formule 1, là où tout simplement, Ferrari rayonne.




Culminant seulement à 1.15 mètres du sol la Enzo, une nouvelle fois griffée par Pininfarina, traduit esthétiquement toute la férocité d’une Gt extrême et radicale. Certains angles peuvent pourtant déranger les lignes peuvent paraître sur le plan architectural torturées. Mais il faut la regarder attentivement, s’y habituer, l’agressivité qu’elle dégage avec ce nez ultra profilé façon F1, cette essence particulière, ce souffle émotionnel, cette force intérieure, traduisent une formidable énergie, une physionomie dont seul Ferrari à le secret. Démonstrative, l’Enzo l’est également dans cet habitacle étroit entièrement dédié à la sportivité.

L’omniprésence du carbone et d’aluminium, l’absence totale de confort ne font que conforter son lien avec la F1. 400 km/h au compteur et un volant qui pourrait être celui de Schumacher, pourvu de 8 contacteurs de couleur, avec pour principales fonctions la suppression de l’antipatinage ASR, une fonction race qui permet d’obtenir une suspension plus ferme et des passage de rapport plus courts.


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La force de l'héritage !

Et puis il y’a le V12, en exposition permanente dans sa vitrine de verre tout un symbole. Véritable joyaux à 4 soupapes par cylindre, l’âme de la Enzo.




Le 12 cylindres dispose d’un angle d’ouverture à 65°. 5998 cm3, 660 ch, l’équation est simple, pas moins de 110 ch/l, le tout guidé par une boite F1 à 6 rapports avec un commande séquentielle, largement optimisée par rapport à celle de la 575 Maranello. Démonstrative c’est donc bien le mot. Avec seulement 1365 kilos, la Ferrari Enzo se prend pied au plancher, passages de vitesse à la volée.

Fond plat, appui aérodynamique à incidence variable, amortissement piloté, frein en céramique, il ne lui manque rien. Outre sa technologie à la pointe du développement automobile, cette diva a comme toute œuvre d’art un prix, 675.000 euros, le prix du rêve et de l’inaccessible, 5 fois celui d’une 360 Modena. De quoi décrocher la lune, c’est ça aussi la magie Ferrari.
 

Mercedes SLR Mc Laren



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Conçue par Mc-Laren

Regardez, là, admirez là, comme une véritable œuvre d’art. La SLR scintille majestueusement de tout son corps mécanique.




L’atmosphère céleste de cette sublime GT est bien la même que la Ferrari Enzo. Un vent dominant qui tire sa quintessence technologique de la formule 1. Mais l’esprit de cette Mc Laren SLR est pourtant bien loin de sa rivale italienne. Si elle met magistralement en avant, à l’instar de l’italienne son museau tombant, façon F1, sa philosophie se veut ici plus rationnelle, son esthétique plus diluée son environnement moins agressif.

Une étoile qui maîtrise parfaitement ses lignes stimule les sens, attise la convoitise. Mais cette fantasmagorique Batmobile entretient aussi un brin de nostalgie, puisqu’elle fait référence à la somptueuse 300 SLR de 55, reprenant à son avantage les fameuses portes papillon, et les fameuses grilles d’aération latérales, béantes et griffées. Pour le reste, la SLR a recours à des technologies très élitistes mises au points par le génial Gordon Murray directeur technique de l’écurie Mc-Laren. Mercedes a conservé comme il se doit la partie développement et engineering. Châssis monocoque en fibre de carbone, suspension en aluminium, béquet arrière à inclinaison variable, et freins carbone et céramique, bref, du haut niveau.


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Rigueur allemande

L’architecture si particulière de la SLR, permet de situer longitudinalement en position centrale avant le V8 5.5l à seulement 3 soupapes par cylindre, un V8 ouvert à 90° en alliage léger doté d’un compresseur volumétrique.




Le moteur est aussi celui qui alimente le coupé cabriolet SL, mais porté, hiérarchie oblige à 626 ch. Mercedes aurait pu reprendre sur sa SLR le surpuissant V12 612 ch installé dans le Cl 65, mais, moins lourd, le V8 favorise, lui une meilleure répartition des masses. Vous l’aurez sans doute reconnu, la SLR cherche le meilleur compromis entre sportivité et confort. L’univers intérieur le prouve aisément, richement doté, l’intérieur très coloré mêle un style très épuré à des matières très sophistiquées. Le carbone y prend une large part, mais également le cuir et l’alcantara. L’intérieur particulièrement soigné a donc fait l’objet de toutes les attentions, bien évidemment, au standard Mercedes. Malgré l’abondance d’assistances électroniques, d’un fond plat, et d’un aileron pour assurer une meilleure stabilité, la SLR reste un GT excessivement pointue à maîtriser.

La direction ultra précise et la forte vivacité du train avant vous mettent immédiatement sur vos gardes. Il n’y a pas ici de place à la flânerie. Reste que cet objet de contemplation marque indubitablement son territoire parmi les grandes GT de ce monde, grâce à son style particulièrement fort et envoûtant, mais aussi grâce à l’excellence de son modeste V8 aussi convainquant que performant. Pour un constructeur généraliste, le résultat est particulièrement réussi.


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V8 d'anthologie

L’architecture si particulière de la SLR, permet de situer longitudinalement en position centrale avant le V8 5.5l à seulement 3 soupapes par cylindre, un V8 ouvert à 90° en alliage léger doté d’un compresseur volumétrique.




Le moteur est aussi celui qui alimente le coupé cabriolet SL, mais porté, hiérarchie oblige à 626 ch. Mercedes aurait pu reprendre sur sa SLR le surpuissant V12 612 ch installé dans le Cl 65, mais, moins lourd, le V8 favorise, lui une meilleure répartition des masses. Vous l’aurez sans doute reconnu, la SLR cherche le meilleur compromis entre sportivité et confort. L’univers intérieur le prouve aisément, richement doté, l’intérieur très coloré mêle un style très épuré à des matières très sophistiquées. Le carbone y prend une large part, mais également le cuir et l’alcantara. L’intérieur particulièrement soigné a donc fait l’objet de toutes les attentions, bien évidemment, au standard Mercedes.

Malgré l’abondance d’assistances électroniques, d’un fond plat, et d’un aileron pour assurer une meilleure stabilité, la SLR reste un GT excessivement pointue à maîtriser. La direction ultra précise et la forte vivacité du train avant vous mettent immédiatement sur vos gardes. Il n’y a pas ici de place à la flânerie. Reste que cet objet de contemplation marque indubitablement son territoire parmi les grandes GT de ce monde, grâce à son style particulièrement fort et envoûtant, mais aussi grâce à l’excellence de son modeste V8 aussi convainquant que performant. Pour un constructeur généraliste, le résultat est particulièrement réussi.
 

Porsche Carrera GT

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Le missile de Weissach !

Dernière acte scène 3 Leipzig, la pièce s’achève avec la Carrera GT. Vous plongez cette fois ci dans l’univers Porsche, un univers ésotérique qui matérialise nos fantasmes, qui façonne l’impensable.




Distillant une impressionnante essence de puissance et de performance, la Carrera GT sublime, comme ses rivales l’art de la sportivité, mais avec une philosophie qui lui est propre. Une rigueur sans pareille, une volonté sans faille d’élaborer un produit d’exception, un très beau chef d’œuvre à l’allemande, une réponse directe à Ferrari et Mercedes. L’Anti Enzo exhibe une spectaculaire plastique, bien distincte de ses rivales mais à l’instar de la SLR, la Carrera GT privilégie l’authenticité et fait honneur à ses aînées : il y’a dans cette parure d’or gris un air de 550 Spyder. La Carrera GT reprend même à son compte cette sublime carrure des prototypes du Mans, qui ont tant fait la fierté des constructeurs de Weissach. La Carrera GT conçue ici même dans l’usine de Leipzig aux cotés du Cayenne, se projette dans l’avenir.

Plus radicale que la SLR, plus vive que la Enzo, la Carrera GT expérimente de nouvelles solutions techniques qui participent à sa rigidité exceptionnelle. L’utilisation massive de matières synthétiques, de carbone et de matériaux composites pour la structure au soubassement caréné et à l’aérodynamique complexe, traduisent une obsession de la légèreté. Même ses roues asymétriques de 19 pouces à l’avant et 20 à l’arrière sont façonnées en magnésium. Ces jantes sont 25 % plus légères que celles en Aluminium. Derrière ces étriers jaunes se cache des disques de céramique de 380 mm de diamètre. Plus qu’un atout, une nécessité, d’autant que la Carrera Gt avec ces 1380 kilos, ses 4.60m de long, et ses épaules aussi larges qu’un Cayenne, pèse à peine plus de 15 kilos que la Enzo.


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Technologie et vitesse !

L’habitacle a lui aussi fait l’objet de toutes les attentions. Deux baquets, ultra light pèsent dix kilos chacun, deux places de choix dans un univers emprunt de matériaux modernes, cuir carbone et magnésium, et kevlar.



Pas d’élégance, du sport à outrance, 100% Porsche, du démarreur à gauche jusqu’au compteurs enchevêtrés, avec une touche d’originalité comme ce pommeau de boîte à six rapports, en stratifié de hêtre. Au nombre de cylindre Porsche s’est glissé entre la SLR et la Enzo : ni V8 ni V12, mais un inédit V10 5.7 l ouvert à 68°, et situé en position centrale arrière. Les joyaux mécaniques se dévoilent sous deux dômes fuselés en acier ajouré, ce dix cylindres maison conçu à l’origine pour courir aux 24 heures du Mans, développe 612 chevaux à 8000 tr/min, dans un terrifiant rugissement digne d’une Formule 1.


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Chronos en folie

La Carrera GT souffle un vent de folie sur l’asphalte allemand, le V10, sans la moindre inertie, tonitruant à la moindre inertie, affole les chronos.




3.9 s pour passer de 0 à 100 km/h, moins de 10 secondes pour atteindre les 200, sur le papier c’est pourtant en dessous de la Ferrari et la Mercedes. Pour le reste, elle n’a absolument rien à leur envier. Sans PSM le système antipatinage Porsche, la Carrera Gt réagit parfaitement et restitue les sensations de conduites d’une monoplace. Simplement doté d’un antipatinage à l’accélération, hyper réactive dans tous les domaines, la Porsche offre des sensations de conduite ultimes, qui exigent doigté et sang froid. Capable d’atteindre les 330 km/h, 8400 tr/min en régime maxi, mieux que la Enzo, la Carrera Gt déploie son aileron à partir de 120 km/h, augmentant ainsi l’appui aérodynamique de 30 %.

D’une précision chirurgicale en direction, surréaliste en freinage grâce à l’adoption de freins en céramique, la Carrera Gt semble évoluer sur des rails, sa transmission ne fait même pas regretter l’absence de boite robotisée, mais cela reste à l’étude. Alors au final, comment la situer ? 468.845 euros, ça n’est certes pas la moins cher des trois, mais elle reste sans doute la plus homogène, grâce à sa technicité, sa rigueur de conception et ses prestations enchanteresses.