MOi ce que je prefere tt le monde s'en fout..je n'ai pas de pouvoirs sur ce forum. je ne suis qu'un simple ouvrier de la ruche capable d'apporter du miel au forum afin de ne pas le voir disparaitre (avec tous les Bans qu'il y a bientot il n'y aura plus personnes)..
Ta nouvelle image est sympa j'ai bien. TU as abandonné le coupé 406 pour la jag'
PS : je vois que tu changes souvent...
Oui mais je peux changer moi-même le titre du topic.
Ceci dit, j'aime bien celui-là, il est parfait.
C'est vrai que je change souvent en ce moment. Coupé 406, quand ça ? En tout cas, c'est marrant, car je comptais vous en parler bientôt. Je vous montrerai ma configuration préférée. Je suis en train de voir que je pourrais aussi rêver d'acquérir un Coupé 406. Les derniers, une Ultima Edizione et rien d'autre.
Plus d'exlusivité, moins de décôte, presque un investissement. Quelle ligne, quelle finesse ! Malheureusement, on ne verra plus ça dans le monde de l'automobile, j'en doute.
On fait du gros, de l'étiré, du bodybuildé, du vulgaire, du sans-style qui essaie d'avoir tant bien que mal du caractère. Je pense par exemple aux phares si complexes des dernières Audi par exemple, qui pourtant sont presque un échec à mes yeux, n'ayant pas le talent de m'inspirer outre-mesure. Là où, ce Coupé 406 par exemple, dessiné par Pininfarina, a un vrai style, naturel qui plus il est. Ce n'est pas exagéré. Ca ne pue pas le faux. Et c'est en ce sens que c'est une réussite à part entière, comme c'est le cas de très peu de voitures, et de moins en moins. C'est notamment ce pourquoi je suis attaché aux anciennes. On est dans le VRAI. Au coeur de la passion automobile.
Tiens, toi qui voulais des billets d'humeur, tu auras au moins une simple histoire.
Car je ne suis pas journaliste chroniqueur spécialisé dans le domaine, et que je ne peux donc pas tout le temps m'y tenter.
Même si par ailleurs, j'écris beaucoup. Bref.
Week-end à la montagne avec la Sovereign de mon père donc. Au retour, à peine je commençais d'enchaîner les lacets de la montagne pour la redescendre, qu'un gars dans une Xsara me colle au cul. Je cesse donc de couper tous mes virages dans l'idée qu'il voudrait me doubler (même si je n'y vais pas de main morte, boîte de vitesse en mode sport, il y a parfois de sacrés excités, mais ils connaissent bien leurs routes et sont habitués). Malgré cela, non, ça n'allait pas. Appels de phares répétés. Et je le voyais gesticuler dans sa voiture. Je ne regardais bientôt plus mes virages, fixant souvent le rétroviseur, et croyant finalement distinguer, non pas de la colère, puisqu'un simple pouce levé. Premier petit parking sur le côté, je mets mon clignotant et m'arrête. Soit pour le laisser passer parce que c'est ce que je fais parfois si j'ai un connard derrière, soit pour comprendre et qu'il m'explique. Il s'arrête aussi, parallèlement à la Jaguar. Je descends ma vitre, il fait de même, et c'est donc un jeune mec tout joyeux que je découvre avec surprise, et qui voulait simplement nous féliciter pour cette "belle voiture", en poursuivant qu'il devenait rare d'en croiser. Sourire, remerciements amicaux de la part de mon père et de moi-même. Ca fait plaisir, en tout cas. Et je vais en profiter pour ajouter un mot sur cette XJ qui est exceptionnelle à plus d'un titre. Malgré ses 18 ans, elle nous offre de voyager dans un confort exceptionnel, et dans un silence assez appréciable. Le tout dans une atmosphère
british indéniablement inimitable. L'odeur des essences de bois et du cuir, la position de conduite ultra-basse, les jambes totalement tendues, à tenir le volant du bout des doigts, chaque coude étant confortablement posé sur les accoudoirs. Tourner la clé et entendre s'ébrouer son 3,2 litres est un plaisir à lui seul. De temps un temps, un kick down pour dépasser, et la boîte ayant descendu un rapport permet de laisser libre expression au moteur, qui malgré une zone rouge à 5500 tours seulement, se met à crier et à monter dans les aigus (tout est relatif, ce n'est pas une Ferrari), dans un bruit caractéristique que j'adore. C'est quelque part assez... Viril. Dépasser un vieux diesel de cette façon est un régal. On se retrouve très vite à 130, 140... km/heures, alors il faut vite penser à lever le pied. Mais les secondes de plaisir se sont bien montrées, et le dépassement s'est alors fait en toute sécurité. Parfois même, en laissant les 200 chevaux s'exprimer, on sent que les pneumatiques à l'arrière travaillent et son cul un peu tortiller. Malgré des Michelin tout neuf et qui sont les plus chers. Bien sûr cher ne veut pas toujours dire mieux, mais ils sont très appréciés sur le site
allopneus. Mais c'est une propulsion et, cela étant dit, elle reste très sécurisante. Quand je dis qu'elle est exceptionnelle, c'est aussi parce, malgré ses 18 ans et ses 1715 kg, j'éprouve du plaisir dans les virages et dans les petites routes de montagne, où elle reste équilibrée. On sent qu'elle prend bien ses appuis, c'est un plaisir.
Alors bien sûr, des fois, un kick down en trop et mademoiselle boude, tombe en panne et décide de vous gâcher votre séjour en Italie. Mais, je pardonne tout à une Jaguar.
Bonjour,
Aaa 6 Mois , Cinéma ? tourner la tête et tout ? lawl
depuis j'ai eu mon permis et en aout sa fait 1 ans,j'ai eu mon bac aussi et heu vwala kwa
Foss
Beaucoup de bonnes nouvelles d'un coup quoi ! Mes félicitations.
C'est exactement ça quand je parlais de cinéma : se retourner complètement en sortant d'un rond point une voie. [:nono le bo] Le truc que strictement personne ne fait...