Alliance...



Une occasion de revenir sur le marché US "à peu de frais" je voulais dire :spamafote:
 

Mitsubishi à l'époque de ses problèmes de fiabilité était une bien meilleure affaire.

Accès aux marchés US et meilleur pénétration au Japon. Technologie 4*4 et électrique sans passer par des accords ...

PSA n'est pas très réactif :(
 

http://www.quattroruote.it/news/articolo.cfm?codice=181518


C'est FOU !!!!! :eek: :eek: :crazy:

N'empêche que si ça se réalisait et que ça marchait(j'insiste sur le succés de l'opération, biensûr), le groupe Fiat et ses tentacules deviendrait un tel géant mondial que la famille Peugeot pourrait pleurer et se faire harakiri d'avoir raté l'affaire du siècle :sarcastic:
 
Dernière édition:

http://www.quattroruote.it/news/ articolo.cfm?codice=181518


C'est FOU !!!!! :eek: :eek: :crazy:

N'empêche que si ça se réalisait et que ça marchait(j'insiste sur le succés de l'opération, biensûr), le groupe Fiat et ses tentacules deviendrait un tel géant mondial que la famille Peugeot pourrait pleurer et se faire harakiri d'avoir raté l'affaire du siècle :sarcastic:

Un méga fusion dans l'automobile n' a jamais donné de méga résultats.
 

http://www.quattroruote.it/news/ articolo.cfm?codice=181518


C'est FOU !!!!! :eek: :eek: :crazy:

N'empêche que si ça se réalisait et que ça marchait(j'insiste sur le succés de l'opération, biensûr), le groupe Fiat et ses tentacules deviendrait un tel géant mondial que la famille Peugeot pourrait pleurer et se faire harakiri d'avoir raté l'affaire du siècle :sarcastic:

:lol: Ou quand les américains cherchent des larrons pour financer leurs retraites en faillite !!!

le deal est bidon. La course à la taille ne marche pas dans l'automobile.

C'est le travail, le génie, l'anticipation, la bonne gestion, la raison aussi (les projets déraisonnables ont parfois coulé de belles entreprises du secteur...) qui assurent le succès. Pas les fusions dans lesquelles 1+1 n'a jamais fait 2 ;)

Je persiste : PSA - Hyundai, ou PSA - Mitsubishi sont moins glamour, mais plus pertinents... :)
 

On parle de possibilité d'entrée en capital de Fiat chez Opel maintenant :spamafote:


A quand le groupe Fiat maître du monde et propriétaire de l'ensemble de l'industrie auto(PSA inclus) :sarcastic:
 


Fiat calme le jeu sur ses intentions envers Opel :

par Gilles Castonguay et John O'Donnell

MILAN/FRANCFORT (Reuters) - Alors qu'il lui reste six jours pour passer un accord avec Chrysler , Fiat tente de calmer le jeu quant à l'éventualité qu'il fasse bientôt une offre sur Opel, la filiale allemande de General Motors.

Le groupe industriel Fiat a par ailleurs vivement réagi à des propos attribués au commissaire européen à l'Industrie Günter Verheugen, suivant lesquels il mettrait en doute la capacité de Fiat à gérer de front deux opérations d'envergure compte tenu de son endettement élevé.

"J'aurais attendu de sa part qu'il engage un dialogue constructif avec les constructeurs européens afin de résoudre les problèmes qu'affronte actuellement le secteur, plutôt que de distribuer des condamnations à mort et de choisir unilatéralement qui a le droit de survivre", a dit l'administrateur délégué Sergio Marchionne.

Le ministre des Affaires étrangères italien Franco Frattini s'est porté au secours de Fiat, accusant Verheugen d'ingérence. Un porte-parole de Verheugen a tenté de détendre le climat en déclarant que les propos n'avaient aucune intention inamicale.

Fiat a enfin annoncé vendredi qu'il n'avait pour le moment fait aucune offre d'entrée au capital d'Opel.

Quoique focalisé sur ses discussions avec Chrysler, Marchionne avait dit jeudi à des analystes que Fiat pouvait entamer le dialogue avec un autre constructeur.

Armin Schild, un leader syndical allemand qui siège au conseil de surveillance d'Opel, a rejeté l'idée d'une offre de Fiat, lui préférant l'équipementier canadien Magna International. "Nous avons une expérience de travail avec Fiat et cette expérience a été mauvaise au possible", a dit Armin à la télévision allemande, faisant référence à une alliance entre Fiat et GM qui fut rompue en 2005.

GM doit vendre une grosse participation dans Opel pour pouvoir prétendre à 3,3 milliards d'euros de garanties de prêt européennes qu'Opel juge primordiales à sa survie.

ROME ET OTTAWA POUR UNE ALLIANCE FIAT/CHRYSLER

Par ailleurs, sur le front du dossier Chrysler, des créanciers du constructeur automobile américain ont proposé de réduire de 3,75 milliards de dollars le montant de dettes qui leur est dû, se rapprochant ainsi du Trésor américain, selon une personne au fait du dossier.

Chrysler doit près de sept milliards de dollars à ces créanciers et il leur est demandé d'accepter une participation et un remboursement moindres dans le constructeur automobile une fois qu'il sera restructuré, avant la date-limite du 30 avril fixée par Washington pour que Chrysler scelle une alliance avec Fiat.

Les créanciers, dont c'est la deuxième proposition, acceptent de ramener à 3,75 milliards de dollars le montant des dettes qui leur sont dues et souhaitent une participation de 40% dans un Chrysler restructuré, suivant la source.

Dans leur première proposition, les créanciers réclamaient encore 4,5 milliards de dollars de remboursements. Ils renoncent aussi à demander à Fiat d'effectuer un investissement supplémentaire d'un milliard de dollars dans Chrysler, dont le fonds Cerberus Capital Management détient 80% environ du capital, toujours selon la source. Mais ils tiennent toujours à avoir un siège au conseil d'administration.

Le ministre italien de l'Economie Giulio Tremonti a affirmé que les gouvernements italien et canadien souhaitaient ardemment une alliance entre Chrysler et Fiat. "Le Canada a un grand intérêt dans le dossier (...) et il voit d'un très bon oeil un accord avec Fiat et nous aussi", a-t-il dit.

Avec Jui Chakravorty et Francesca Landini, version française Wilfrid Exbrayat
 

Je reste sidéré par cet empressement de Fiat (moribond il y a 3/4 ans) à racheter des concurrents en encore moins bonne santé que lui

Rappelons qu'Opel perd de l'argent depuis près de 10 ans : cette entreprise était structurellement déficitaire en période de croissance, malgré des produits dass le coup (Astra, Zafira, Corsa...).
Imaginez sa capacité à créer de la richesse dans la plus grosse crise de ces 50 dernières années

Idem pour Chrysler, qui a absorbé en pure perte des milliards d'euros venus de Daimler, malgré des produits là aussi dans le coup, et notamment les Dodge ram et la chrysler 300C qui ont connu un très gros succès.

Investisseurs, fuyez !
 

Je reste sidéré par cet empressement de Fiat (moribond il y a 3/4 ans) à racheter des concurrents en encore moins bonne santé que lui

Rappelons qu'Opel perd de l'argent depuis près de 10 ans : cette entreprise était structurellement déficitaire en période de croissance, malgré des produits dass le coup (Astra, Zafira, Corsa...).
Imaginez sa capacité à créer de la richesse dans la plus grosse crise de ces 50 dernières années

Idem pour Chrysler, qui a absorbé en pure perte des milliards d'euros venus de Daimler, malgré des produits là aussi dans le coup, et notamment les Dodge ram et la chrysler 300C qui ont connu un très gros succès.

Investisseurs, fuyez !

Moi aussi.
 

Et voilà l'impasse Chrysler est terminée...le syndicat a trouvé un accord, Daimler se désengage totalement, effaçant la dette et abandonnant ses actions...et à FIAT la conquête de l'Amérique(on parle déjà de projets de Chrysler utilisant des moteurs/plate-formes Fiat), et à PSA les larmes pour avoir rater cette occasion !!! :pfff: :pfff: :pfff: :pfff:
 

Finalement c'est pas gagné pour l'alliance Chrysler/Fiat...dernier délai aujourd'hui 30 avril, et des créanciers ne sont pas d'accord avec le plan annoncé :chinois:

Chrysler se mettrait sous régime des faillites/dépot de bilan :ange:
 

Accord Fiat/Chrysler selon la presse, mais pas encore de signature dit Fiat :


Logo de Fiat
© AFP/Archives Damien Meyer
Les constructeurs automobiles italien et américain Fiat et Chrysler sont parvenus jeudi à un accord définitif, affirme le Corriere della Sera, modifiant une première information sur une signature, qui n'a pas eu lieu selon Fiat.

"L'accord a été trouvé (...) Des sources du Corriere della Sera ont confirmé que les dernières difficultés auraient été surmontées", écrit le Corriere sur son site internet, alors qu'un peu plus tôt il écrivait que l'accord avait "été signé" et que "les dernières difficultés avaient été surmontées".

Interrogé par l'AFP, un porte-parole de Fiat a démenti la première information du Corriere della Sera, en assurant qu'"aucune signature n'a encore eu lieu". Il n'a rien voulu dire en revanche sur l'accord.

L'annonce devrait être faite par le président des Etats-Unis Barack Obama "vers 18H00 heure italienne" (16H00 GMT), poursuit le Corriere della Sera, premier quotidien italien.


Le logo présenté par Chrysler en août 2007 après son rachat par le fonds d'investissement Cerberus
© AFP/Getty Images/Archives Bill Pugliano
L'administration américaine avait donné jusqu'à jeudi inclus à Chrysler pour finaliser son alliance avec Fiat.

Le Wall Street Journal estimait mercredi qu'un dépôt de bilan de Chrysler était presque certain après l'échec dans la soirée des discussions entre le département du Trésor américain et les créanciers du constructeur.

Les deux groupes avaient signé en janvier un accord préliminaire prévoyant une prise de participation de Fiat au sein du capital de Chrysler en échange de l'accès de ce dernier à sa technologie.

Selon la presse, Fiat devrait obtenir une part de 35% de Chrysler tandis que le syndicat américain de l'automobile UAW devrait avoir le contrôle du constructeur américain avec 55% du capital.
 

Chrysler va déposer son bilan, selon un responsable américain :

Logo de Chrysler au salon international de l'auto à New York le 8 avril 2009
© AFP/Archives Stan Honda
Le constructeur automobile américain Chrysler va déposer son bilan, a indiqué jeudi un haut responsable de la Maison Blanche.

Le président Barack Obama devait s'exprimer sur l'industrie automobile à 12H00 locales (16H00 GMT), a annoncé la Maison Blanche.

Il pourrait confirmer le dépôt de bilan de Chrysler, qui se débat depuis des mois pour sa survie.

Selon un haut responsable de l'administration, Chrysler a décidé de se placer sous la loi sur les faillites, ce qui revient à un dépôt de bilan.

Le dépôt de bilan a été décidé après qu'une partie des créanciers de Chrysler eut refusé mercredi l'offre du Trésor américain de revoir à la baisse leur créance, de presque 7 milliards que leur doit le constructeur à 2,25 milliards, a expliqué ce haut responsable.

L'administration avait donné à ces créditeurs jusqu'à 18H00 mercredi pour accepter, a-t-il dit. C'était à la veille de l'échéance impartie par M. Obama à Chrysler, sous perfusion financière de l'Etat, pour présenter un plan garantissant sa viabilité.

Le refus de ces créditeurs d'accepter l'offre du Trésor "ne diminue pas la valeur de ce qu'ont réalisé Chrysler, Fiat et les parties concernées, et n'empêche pas Chrysler d'avoir une nouvelle chance de se restructurer et de sortir de cette situation plus fort qu'avant", a dit ce responsable.
 

C'est l'info que j'allais mettre au sujet de Chryler. Mauvais signal mais purge salutaire.
 

USA : Obama choisit le dépôt de bilan pour Chrysler


Logo de Chrysler au salon international de l'auto à New York le 8 avril 2009
© AFP/Archives Stan Honda
Chrysler va déposer son bilan, le gouvernement américain ayant décidé que c'était la meilleure chance pour ce grand de l'automobile de sortir d'une crise menaçant de mettre fin à son existence tumultueuse, a indiqué jeudi un haut responsable de l'administration.

Le président Barack Obama devait confirmer la nouvelle dans une déclaration prévue à 12H00 locales (16H00 GMT) à la Maison Blanche.

Après l'échec d'ultimes négociations mercredi à la veille d'une échéance fixée à ce jeudi, le gouvernement est arrivé à la conclusion que la meilleure solution pour Chrysler était de poursuivre son effort de restructuration en se plaçant sous le coup de la loi sur les faillites (le "chapitre 11" bien connu aux Etats-Unis), c'est-à-dire en déposant son bilan, a indiqué ce responsable sous le couvert de l'anonymat.

La restructuration pourrait passer par une prise de participation de l'Italien Fiat allant jusqu'à 35% dans le capital de Chrysler, une opération à laquelle pousse l'administration Obama.

En l'état actuel des plans gouvernementaux, l'Etat prendrait lui aussi des parts dans Chrysler, une intervention historique dans l'histoire automobile américaine, et injecterait encore des milliards de dollars dans l'entreprise.

L'administration Obama a laissé entendre que l'opération avec Fiat restait d'actualité après l'échec des discussions de mercredi.

Le rejet par certains créditeurs d'une proposition que leur faisait le Trésor "ne diminue pas la valeur de ce qu'ont réalisé Chrysler, Fiat et les parties concernées, et n'empêche pas Chrysler d'avoir une nouvelle chance de se restructurer et de sortir de cette situation plus fort qu'avant", a dit le haut responsable de l'administration.

Le quotidien italien Corriere della Sera rapportait que Fiat et Chrysler étaient parvenus jeudi à un accord définitif.


Des salariés de Chrysler quittent l'usine de Warren, aux Etats-Unis, le 28 avril 2009
© AFP/Getty Images Bill Pugliano
Chrysler, victime comme le numéro américain General Motors de la crise économique, de la chute de ses ventes et de ses erreurs stratégiques, se bat depuis des mois pour sa survie.

A la suite de l'administration Bush, le gouvernement Obama a accepté de le maintenir sous perfusions et, depuis décembre, Chrysler a reçu 4 milliards de dollars. En échange du maintien de l'aide fédérale, Chrysler et GM ont été sommés de soumettre des plans de restructuration drastiques.

M. Obama a recalé les premières versions en mars, et donné jusqu'à ce jeudi à Chrysler, et un mois de plus à GM pour présenter des projets garantissant qu'ils reviendraient à la viabilité et n'auraient plus besoin de l'argent du contribuable.

Les syndicats ont fait des concessions.

Mais, selon le haut responsable de l'administration, une partie des créanciers de Chrysler, auquel le gouvernement avait donné jusqu'à mercredi 18H00, ont refusé l'offre du Trésor de revoir à la baisse leur créance, de presque 7 milliards que leur doit le constructeur, à 2,25 milliards.

En poussant Chrysler au dépôt de bilan, l'administration Obama prend le risque du tort causé à la marque à l'étoile à cinq branches. Mais elle fait le choix de la restructuration ordonnée, assortie de certaines protections.

"Le fait que les principaux créanciers semblent prêts à faire des concessions signifie que, même s'ils (Chrysler) finissaient par déposer son bilan d'une manière ou d'une autre, ce serait un dépôt de bilan très rapide, et ils pourraient continuer à produire et à sortir de cette situation dans de bien meilleures conditions", a dit M. Obama mercredi soir lors d'une conférence de presse.

Cependant, M. Obama, confronté à la pire récession depuis les années 30, est déjà accusé par ses adversaires politiques d'un interventionnisme sans précédent dans les affaires économiques.

Alors que l'Etat pourrait entrer dans Chrysler, "je pense que notre premier rôle, en tant qu'actionnaires, doit être de chercher à sortir de là. Vous savez, je n'ai pas envie de diriger les compagnies automobiles", a-t-il dit, conscient des risques politiques.
 


Obama annonce un accord Chrysler/Fiat promis à "la réussite" :



Le président Barack Obama et une partie de son équipe le 30 avril 2009 à la Maison Blanche
© AFP Saul Loeb
Le président américain Barack Obama a annoncé jeudi la conclusion entre Chrysler et son concurrent italien Fiat d'un partenariat qui a "de grandes chances de réussite", le jour où était officialisé le dépôt de bilan du constructeur américain.

"Je suis heureux d'annoncer aujourd'hui que Chrysler et Fiat ont formé un partenariat qui a de grandes chances de réussite", a dit M. Obama dans une déclaration devant la presse.

Selon de hauts responsables de l'administration, ce partenariat consiste en une prise de participation initiale de 20% de Fiat dans Chrysler.

M. Obama a assuré que le dépôt de bilan de Chrysler serait rapide et "contrôlé" et que cette procédure n'était pas un "signe de faiblesse" mais un pas supplémentaire vers la viabilité pour le constructeur automobile.

"Il ne s'agit pas d'un signe de faiblesse, mais bien plus d'un pas supplémentaire sur la voie clairement tracée menant à la survie de Chrysler", a dit M. Obama dans une déclaration à la Maison Blanche.

Comme l'administration a les syndicats et les principaux créanciers de son côté, "cette procédure sera rapide, elle sera efficace, elle est destinée à traiter avec les quelques derniers réfractaires (aux termes actuels d'une restructuration) et elle sera contrôlée", a-t-il dit.

Le PDG de Chrysler Robert Nardelli a pour sa part déclaré qu'il pensait envisageable que le constructeur automobile puisse sortir dans les 45 à 60 jours de la procédure de redressement judiciaire, engagée quelques minutes plus tôt avec son dépôt de bilan.

"Ce qui rend (ce dépôt de bilan) différent, c'est que nous avons beaucoup de parties prenantes déjà engagées" dans le processus de redressement, a-t-il souligné, évoquant le soutien des syndicats, des gouvernements canadien et américain, des fournisseurs et des concessionnaires.

"Il s'agit de réinsuffler de la vie à Chrysler", a-t-il dit sur la chaîne de télévision financière CNBC, estimant que le dépôt de bilan permettrait à la société "de ressortir très amincie, en laissant derrière elle son passif".


Graphique sur la répartition des titres et ventes mondiales pour les deux sociétés
© AFP/Infographie Francis Nallier
Les gouvernements des Etats-Unis et du Canada allouent 10,5 milliards de dollars américains pour soutenir la restructuration sous supervision judiciaire de Chrysler, ont-ils annoncé jeudi dans une déclaration conjointe.

Les Etats-Unis allouent 8,08 milliards de dollars à Chrysler et le gouvernement canadien et celui de la province de l'Ontario 2,42 milliards de dollars, notamment comme fonds de roulement à court terme et un prêt débiteur-exploitant à court et à moyen termes, selon la déclaration de la Maison Blanche et du bureau du Premier ministre canadien.

La déclaration précise que les Etats-Unis détiendront 8% des parts de Chrysler LLC, et le Canada et l?Ontario 2%. De plus, les Etats-Unis nommeront quatre administrateurs indépendants au nouveau conseil d?administration de Chrysler LLC, et le Canada en nommera un.



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Et beh... :pfff:


Fiat va réussir quelque chose de trés fort :rolleyes:
 


Et beh... :pfff:


Fiat va réussir quelque chose de trés fort :rolleyes:

En effet. Rend toi compte : il vont réussir sans dépenser un rond en période de crise, là où Daimler a échoué en investissant des milliards d'euros, en période de croissance

Trop forts ces ritals ! :lol:
 

En effet, intégrer un gros marché comme les USA(et le Canada)à moindre coût, j'insiste, c'est énorme(et j'espérais tant que PSA le fasse) :spamafote:

En plus d'aprés les commentaires sur Autoblog anglo-saxon( http://www.autoblog.com )l'accueil est enthousiaste chez les Américains lambda et beaucoup espèrent acquérir la Fiat 500 dont ils sont sous le charme :rolleyes:
 

Mais arrete de rever. C'est pas avec des Fiat 500 qu'ils vont reussir à amortir ce que ça va leur couter.
 

En effet. Rend toi compte : il vont réussir sans dépenser un rond en période de crise, là où Daimler a échoué en investissant des milliards d'euros, en période de croissance

Trop forts ces ritals ! :lol:

Je sius comme vous , j'attends de voir la suite.
 


Fiat voit-il trop grand en visant Opel après Chrysler ? :



UNE STRATÉGIE D'ALLIANCE TROP AMBITIEUSE POUR FIAT ?
par Helen Massy-Beresford

PARIS (Reuters) - En scellant son alliance avec Chrysler, Fiat se retrouve dans le rôle improbable de sauveur de l'industrie automobile américaine mais son projet de conclure un autre partenariat avec Opel pourrait se révéler cette fois trop ambitieux.

En plus de l'accord signé avec l'américain Chrysler, le constructeur italien veut également s'allier avec Opel, la filiale allemande de General Motors. Mais de l'avis de certains analystes, la situation pourrait vite devenir ingérable.

Le groupe turinois a accepté jeudi de prendre une participation initiale de 20% dans Chrysler à quelques heures seulement de l'expiration de la date butoir fixée par l'administration Obama pour la signature d'un accord entre les deux constructeurs.

Fiat pourra à terme prendre une participation majoritaire dans Chrysler, qui a déposé le bilan jeudi, une première pour un des "Big Three" de Detroit.

CROÎTRE POUR SURVIVRE

Le dynamique patron de Fiat, Sergio Marchionne, avait fait la "une" des journaux en fin d'année dernière lorsqu'il avait lancé que Fiat devait trouver un partenaire afin de pouvoir produire entre 5,5 et 6 millions de véhicules par an, un seuil qu'il juge crucial pour espérer survivre à la crise sans précédent qui touche l'ensemble du secteur dans le monde.

L'accord conclu jeudi permet à Fiat de se rapprocher de cet objectif: ensemble, les deux groupes deviendront le cinquième constructeur mondial, avec des ventes atteignant 4,2 millions d'unités par an, ce qui les place au niveau du sud-coréen Hyundai mais derrière Toyota, General Motors, Volkswagen AG et Ford.

"Cela ne répond toujours pas au problème posé par le poids et la taille limités de Fiat en Europe de l'Ouest", nuance Arndt Ellinghorst, analyste à Crédit suisse, "bien que cela ouvre un nouveau marché potentiellement attractif pour les technologies de Fiat".

MARCHIONNE A TOUJOURS OPEL EN LIGNE DE MIRE

Non content d'avoir réussi à arracher un accord avec Chrysler au terme d'une course contre la montre, Marchionne n'a pas abandonné l'idée de conclure un partenariat avec Opel, qui constitue selon lui un "partenaire parfait" pour Fiat.

Des analystes s'inquiètent déjà du possible remplacement de Bob Nardelli par Marchionne à la tête de Chrysler et se demandent si Fiat sera en mesure de mener les deux projets de front bien que Marchionne ait déjà participé à une fusion à trois par le passé. Il s'est par ailleurs taillé une solide réputation en sauvant Fiat d'une fin annoncée.

"L'accord (avec Chrysler) tel qu'il a été détaillé présente des risques financiers limités pour Fiat. La principale préoccupation c'est peut-être une dispersion de la direction par rapport à son coeur d'activité avec un départ de Bob Nardelli, l'actuel directeur général", explique Jonathan White, analyste à RBS Investment Trade Research dans une note à ses clients.

Un accord avec Opel permettrait à Fiat d'atteindre le seuil défini par Marchionne en plaçant les deux groupes juste derrière le numéro un européen Volkswagen en terme de ventes. Mais à la différence de l'accord signé avec Chrysler, l'alliance avec Opel n'ouvrirait pas de nouveaux débouchés à Fiat.

"Ce serait un risque énorme, même si ce serait une bonne chose pour Opel. Ce sont deux projets gigantesques", souligne Ellinghorst.

TRAVAILLER JOUR ET NUIT

"Nous avons travaillé jour et nuit. J'ai craché du sang", a dit vendredi Marchionne au quotidien italien La Stampa, utilisant une expression imagée italienne qui évoque un effort violent.

Mais le plus difficile s'annonce sans doute à venir pour Fiat, s'il veut tirer tous les bénéfices qu'il souhaite de son alliance avec Chrysler. Et cela prendra du temps.

"Le risque est limité mais il faudra quatre ou cinq ans avant de dégager le moindre bénéfice pour les actionnaires de Fiat", souligne Ellinghorst.

"Conclure des alliances avec Chrysler ou Opel est peut-être bon pour le moral mais cela ne paiera pas les factures si les banques de Fiat n'adhèrent pas au nouveau plan stratégique", ajoutent les analystes de Morgan Stanley.

Selon Ranjit Unnithan de JPMorgan, "le nouveau Chrysler sortira du dépôt de bilan avec 11,5 milliards de dollars de dette (...) et il n'y aura peut-être pas d'autres alternatives à une injection de capital de Fiat".

Certains observateurs soulignent par ailleurs que l'accord n'est pas encore définitif. "Ils ont signé l'accord qu'ils voulaient signer. Est-ce qu'il résistera à l'examen des tribunaux, cela reste à voir", dit Michael Tyndall, analyste à Nomura International.

Version française Gwénaelle Barzic
 

Mais arrete de rever. C'est pas avec des Fiat 500 qu'ils vont reussir à amortir ce que ça va leur couter.




Ce n'était qu'un exemple parmis d'autres :rolleyes:


Ces mêmes Américains ont montré de l'interêt pour les modèles Alfa-Romeo également :spamafote:
 

Mais bien sur. Mais avant que les Américains achetent des Alfa en quantité à 50000 dollars, les poules auront des dents.

Installer une marque dans le contexte actuel sur un marché atomisé... :pt1cable:
 

T'ain ça doit avoir de la gueule une Fiat 500 sur la Route 66 :lol:

Comment se foutre le dos en l'air sur 4000 kms :D
 

La Fiat 500, c'est pour les bobos new-yorkais. Dans le middle-west, ils en sont encore aux Pick Up. :D