Alliance...



Alliance Fiat/PSA en vue d'acquérir les activités Amérique du sud de GM ??? :voyons:
 

Alliance Fiat/PSA en vue d'acquérir les activités Amérique du sud de GM ??? :voyons:

A mon avis, ce serait juste un accord ponctuel pour l'acqusition des outils de production et/ou de ventes.

Cela me fait penser à la vente de Marks&Spencer France.

Les différents sites avaient été repris par les Galeries Lafayette et PPR (groupes concurrents) et était passé soit sous enseigne Galeries Lafayette, soit Fnac, surcouf (Fnac).

Un accord avait été passé afin d'être sur d'être le repreneur. J'imagine un accord du même genre entre PSA et Fiat ... les groupes restant indépendants
 

D'après Luc Chatel , la mégafusion n'est pas forcément la réponse à la crise :D mais une piste réside dans les coopérations techniques :D . Pour Peugeot , dans ce domaine c'est bien installé.
 

Il me semble avoir lu quelque part que Chrysler s'engageait à payer Fiat en cas d'échec de l'alliance !!!!! Fiat ne débourserait RIEN(prise de participations gratuite)et se verrait payer en cas d'échec !!! Mais l'Italie vit à Bisounoursland là non ??? :eek: :eek:
 


Tiens en ce moment ils parlent sur France 5 de Fiat/Chrysler.
Ils sont pas d'accord avec Thomas :whistle: :whistle:

Ils font déjà un simple historique :D :
-Chrysler s'est déjà allié avec Daimler (Mercos) et déjà a l'époque on parlait de complémentarité de marché, gamme, ... bref Daimler pensait avoir fait un bon coup :ange: .
-En parallèle GM s'est déjà allié avec Fiat... avant de méchamment bruler le torchon :whistle:

Bref... c'est pas gagné :D .

On peut rajouter que des petites bagnoles roulent déjà aux US, la Toyota Yaris est distribué la bas, la Honda Jazz s'appel Fit, ....
Bref la Fiat 500 :ange:
 

Chrysler c'est sûrement une vieille machine très lourde à restructurer. Suffit pas de racheter des centaines de concessions et mettre des 500 dedans pour que ça marche.
 


Tiens en ce moment ils parlent sur France 5 de Fiat/Chrysler.
Ils sont pas d'accord avec Thomas :whistle: :whistle:

Ils font déjà un simple historique :D :
-Chrysler s'est déjà allié avec Daimler (Mercos) et déjà a l'époque on parlait de complémentarité de marché, gamme, ... bref Daimler pensait avoir fait un bon coup :ange: .
-En parallèle GM s'est déjà allié avec Fiat... avant de méchamment bruler le torchon :whistle:

Bref... c'est pas gagné :D .

On peut rajouter que des petites bagnoles roulent déjà aux US, la Toyota Yaris est distribué la bas, la Honda Jazz s'appel Fit, ....
Bref la Fiat 500 :ange:

Oui, mais Thomas n'en démord pas.

L'Histoire (l'avenir donc) nous montrera qu'il avait tort.
Et on pourra se payer Alfa Roméo et Ferrari, que Fiat sera obligé de revendre pour éponder ses dettes avant de couler !!! :lol:
 

JP Colin dit que PSA ne craint pas une alliance Fiat /OPel .
 

Berlin menace d'annuler le sommet sur Opel prévu vendredi :


Une barrière se ferme devant l'usine automobile Opel le 25 mai 2009 à Bochum, Allemagne de l'Ouest.
© DDP/AFP/Archives Clemens Bilan
Le gouvernement allemand a menacé d'annuler un sommet crucial prévu vendredi sur le sauvetage du constructeur automobile Opel s'il ne disposait pas de propositions concrètes, notamment de la part de la maison-mère General Motors, a dit un porte-parole.

Le groupe italien Fiat a de son coté fait un pas en arrière vendredi en annonçant qu'il n'était pas prêt à apporter "plus" et à prendre des risques "inconsidérés" pour reprendre Opel, et notamment en apportant les fonds réclamés à la dernière minute par General Motors
 

Opel : Berlin tente d'arracher un sauvetage toujours plus incertain


Une barrière se ferme devant l'usine automobile Opel le 25 mai 2009 à Bochum, Allemagne de l'Ouest.
© DDP/AFP/Archives Clemens Bilan
Le gouvernement allemand accentuait la pression sur General Motors et les Etats-Unis pour arracher vendredi un sauvetage du constructeur automobile Opel de plus en plus incertain, l'italien Fiat ayant déjà renoncé à surenchérir.

Berlin a menacé d'annuler un sommet prévu vendredi sur le sauvetage de la filiale allemande de GM: "Cela ne commencera que quand les parties concernées auront quelque chose de substantiel à présenter" et "à signer", a déclaré le porte-parole adjoint du gouvernement Thomas Steg.

Il a rappelé que Berlin réclamait "une lettre d'intention" signée par General Motors pour mettre en place un financement d'urgence pour Opel, tout en assurant que le gouvernement "espérait toujours" que la réunion pourrait se tenir.

Le gouvernement allemand avait initialement convoqué à 14h00 GMT une réunion à la chancellerie avec toutes les parties concernées par Opel. Il s'agit de mettre la filiale allemande à l'abri d'une faillite de General Motors, qui semble inéluctable.

M. Steg a par ailleurs martelé que Berlin ne mettrait pas plus de 1,5 milliard d'euros sur la table sous forme de crédit d'urgence pour Opel, soit la somme annoncée dès le début: "Cela n'est pas négociable", a-t-il dit.

Un sommet organisé mercredi à Berlin avait capoté dans la nuit après l'annonce de dernière minute par General Motors d'un besoin supplémentaire de financement de 300 millions d'euros.


La chancelière Angela Merkel le 31 mars 2009 lors d'un discours à l'usine Opel de Ruesselsheim.
© DDP/AFP Torsten Silz
Cette somme était l'objet vendredi d'intenses négociations entre General Motors et l'équipementier canadien Magna, repreneur potentiel d'Opel qui s'était dans un premier temps dit prêt à avancer ce montant.

Selon l'édition en ligne du quotidien Bild Zeitung, Magna menaçait à son tour vendredi de jeter l'éponge face à de nouvelles demandes côté américain.

L'italien Fiat, seul autre sauveteur en vue, a d'ores et déjà renoncé à faire le déplacement à Berlin, expliquant qu'il n'était pas prêt à apporter "plus" et à prendre des risques "inconsidérés".

La chancelière allemande Angela Merkel, en campagne pour se succéder à elle-même en septembre, a pour la première fois laissé planer la menace d'une faillite d'Opel, qui emploie 25.000 personnes en Allemagne.

"Nous faisons tout pour trouver une autre solution", a-t-elle dit , dans un entretien à paraître lundi dans l'hebdomadaire Spiegel.

"Il existe certainement des possibilités d'efforts supplémentaires du côté américain", a dit la chancelière.

Berlin s'offusque depuis jeudi de l'attitude américaine dans le dossier Opel, rejetant les torts sur Washington alors qu'Opel est un enjeu politique pour les législatives de septembre en Allemagne.


Carte des usines de General Motors en Europe avec le nombre d'emplois par pays et par site en Allemagne
© AFP/Infographie
Le gouvernement allemand avait en particulier beaucoup critiqué l'envoi d'un représentant de second rang du Trésor américain, alors que Washington est occupé de son côté à tenter de sauver General Motors d'un naufrage complet.

Or, M. Steg a dû reconnaître vendredi que l'administration américaine "serait représentée par la même personne" en cas de réunion vendredi. Berlin a tout juste obtenu de pouvoir "contacter à tout moment les personnes compétentes" à Washington.

Le ministre de l'Economie Karl-Theodor zu Guttenberg brandit lui aussi depuis le début la menace d'une faillite d'Opel, soutenu par nombre d'économistes de l'école néo-libérale, qui considèrent cette solution comme un moindre mal.
 

Opel : Berlin examine une nouvelle offre négociée entre Magna et GM


Le ministre de l'Economie allemand Karl-Theodor zu Guttenberg avant une réunion sur Opel, le 29 mai 2009 à Berlin
© AFP John Macdougall
Une nouvelle offre négociée entre l'équipementier canadien Magna et le groupe américain General Motors pour la reprise d'Opel était en cours d'examen vendredi soir par les services du gouvernement allemand, ont indiqué à l'AFP des sources proches du dossier.

Si l'offre semble pertinente aux experts, ce document sera ensuite examiné par les responsables politiques eux-mêmes, avec les représentants de GM et Magna, ont précisé ces sources.

Se tiendrait alors la réunion de toutes les parties concernées par le dossier Opel, qui était prévue à la chancellerie à Berlin à partir de 14H00 GMT. Celle-ci avait été reportée dans l'attente des discussions en cours entre General Motors et Magna, toujours réunis dans un palace berlinois.

Berlin avait menacé d'annuler ce sommet si GM ne faisait pas de nouvelles propositions. L'américain avait déjà provoqué l'échec des discussions dans la nuit de mercredi à jeudi en demandant un soutien financier supplémentaire de 300 millions d'euros en Allemagne.

Depuis, l'autre candidat en lice pour Opel, le constructeur italien Fiat, a décidé de boycotter la réunion de vendredi, refusant de prendre des "risques inconsidérés".
 

Vers un épilogue de l'histoire de GM, d'Opel et de Chrysler :


Le ministre de l'Economie allemand Karl-Theodor zu Guttenberg avant une réunion sur Opel, le 29 mai 2009 à Berlin
© AFP John Macdougall
Le sort de General Motors, comme celui de Chrysler, semblait scellé vendredi soir: un dépôt de bilan de GM dès lundi paraît inéluctable, tout comme la vente de Chrysler à un consortium mené par Fiat, deux dénouements qui tourneront une page de l'automobile mondiale.

Quand à Opel, sa vente à l'équipementier canadien Magna International, allié à la banque russe Sberbank et au constructeur russe GAZ, était en bonne voie: GM et Magna étaient parvenus à un accord vendredi, que Berlin examinait, selon des sources proches du dossier. Fiat, seul rival, avait visiblement jeté l'éponge.

Pour GM, selon les médias américains, un dépôt de bilan de l'entreprise qui fut pendant soixante dix-sept ans le numéro un mondial de l'automobile interviendra lundi.

Pour preuve, une douzaine de membres du cabinet seront dépêchés à partir de mardi dans les grands Etats automobiles (Ohio, Michigan, Indiana, Wisconsin) pour expliquer la politique du gouvernement.

Le dossier s'est débloqué jeudi après un nouveau plan du Trésor américain, plus acceptable par les créanciers de GM.

Les créanciers se sont ainsi vu offrir 25% du "nouveau GM" s'ils soutiennent ce plan devant le tribunal. Le Trésor contrôlerait dans un premier temps 72,5% du groupe restructuré.

L'obstacle syndical a été levé vendredi. Les adhérents du syndicat américain de l'automobile UAW ont accepté les sacrifices demandés par le constructeur, ont indiqué vendredi les dirigeants de l'UAW, en rendant compte du vote organisé parmi leurs membres.

"Nous sommes convaincus que nous avons fait la chose juste pour donner une bouffée d'oxygène à General Motors, pour lui permettre d'aller de l'avant et de rebondir", a souligné le président du syndicat Ron Gettelfinger lors d'une conférence de presse tenue à Détroit (nord des Etats-Unis), la capital américaine de l'automobile.

Symbole de la fin d'une époque, l'action GM est passée sous les 1 dollar vendredi pour la première fois depuis 1933 et elle devrait sortir de l'indice Dow Jones, dont il était l'un des piliers depuis 1925.

L'épilogue de l'histoire GM sera difficile: GM devra ensuite soutenir ses équipementiers, dont la plupart ne survivraient pas à une interruption massive de la production du constructeur. Le groupe devra aussi choisir des marques à abandonner, comme Hummer, Saab ou Saturn. Il disposera pour cela des quelque 60 milliards injectés par l'Etat américain dans GM.

Quant à Chrysler, son avenir n'attend plus que l'accord du tribunal des faillites de New York, qui devait se prononcer vendredi soir. L'aval du juge permettra à Chrysler, qui a déposé son bilan le 30 avril, de sortir de la faillite.

Un "nouveau" Chrysler, délesté de l'essentiel de sa dette, sera confié à un consortium détenu à 20% par Fiat dans un premier temps, et 35% à terme.

Dernier dossier, le plus délicat: boucler la cession d'Opel et Vauxhall, les filiales allemande et britannique de GM, un dossier archi-sensible pour les Européens qui craignent un séisme dans leurs emplois automobiles.

Berlin, qui a promis 1,5 milliard d'euros de crédits publics d'urgence pour assurer la survie d'Opel, examinait vendredi soir, un projet de vente d'Opel et de Vauxhall à Magna International.

La chancelière Angela Merkel, ses ministres et les délégués des Länders concernés devaient rencontrer des représentants de GM, de Magna et du gouvernement américain lors d'une réunion décisive à la Chancellerie vendredi soir, après plusieurs jours de discussions tendues avec le Trésor américain et GM, accusé de faire monter les enchères.

Les pays européens essaient chacun dans la bataille de sauver les emplois de GM dans leur pays et une réunion de ministres des pays européens intéressés se tenait vendredi à ce sujet.

GM emploie en Europe 55.000 personnes, près de la moitié en Allemagne, mais aussi au Royaume-Uni, en Belgique, en Espagne et en Pologne, sans oublier sa filiale suédoise Saab, déjà en faillite et que GM cherche à vendre.

Fiat semble avoir jeté l'éponge pour Opel et se contenter de Chrysler. Il avait décidé de ne pas participer aux réunions de vendredi à Berlin sur Opel, après avoir refusé de débourser 300 millions de dollars supplementaires réclamés in extremis par GM.

Victimes "collatérales, les équipementiers Visteon et son petit concurrent Metaldyne, se sont mis en faillite jeudi.
 

Remboses, tu nous fais tous les articles que tu trouves sur Berlin :confused: [:unclebens:8]
 

Berlin m'appelle... :D
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Fiat reste intéressé par Opel, ne discute pas avec Peugeot

Fiat s'est dit vendredi toujours intéressé par Opel et l'Allemagne a invité les candidats à la reprise de la filiale allemande de General Motors à améliorer leurs offres.


Le constructeur automobile italien a dû s'incliner le week-end dernier devant le fabricant canadien de pièces détachées Magna, mais les commentaires de son directeur général, Sergio Marchionne, laissent à penser que Fiat pourrait malgré tout faire partie d'une transaction sur Opel.
"L'intérêt est toujours là, cela ne dépend pas de nous", a-t-il dit aux journalistes, en marge d'une cérémonie. "Techniquement, l'opération n'est pas close; nous verrons."
S'agissant plus globalement des projets d'expansion de Fiat, Marchionne a dit que l'intérêt de son groupe pour la filiale suédoise de GM, Saab, était "minimal" sans Opel.
Fiat n'a pas de négociations en cours avec PSA Peugeot Citroën, a-t-il dit.
Le groupe français est souvent cité comme potentiel partenaire de Fiat.
Marchionne a ajouté que Fiat n'avait pas encore tiré sur une ligne de crédit d'un milliard d'euros convenue avec les banques. Berlin a accordé samedi un prêt-relais de 1,5 milliard d'euros à Opel pour le protéger du dépôt de bilan de GM.
Un porte-parole de Fiat a déclaré mercredi que l'intérêt du groupe se tournait vers le constructeur américain en difficulté Chrysler. Un juge américain des faillites a validé cette semaine la reprise de la plupart des actifs de Chrysler par Fiat.


Des offres améliorées ?
Bien que l'offre de Magna soit en bonne position, un porte-parole du gouvernement allemand a indiqué qu'il n'était pas exclu que d'autres acquéreurs potentiels puissent améliorer leur offre.
Le chinois Beijing Automotive Industry s'est aussi montré intéressé par Opel. Il a engagé PricewaterhouseCoopers pour le conseiller sur son offre de reprise, a dit à Reuters une source proche du dossier.
Le directeur général de GM pour l'Europe, Carl-Peter Forster, a annoncé vendredi qu'il s'attend à ce qu'un accord définitif soit trouvé avec Magna en juillet et que l'opération soit terminée vers septembre.
Sur le blog de GM Europe, il avertit que bien que les deux parties s'attachent à trouver un terrain d'entente, "il reste beaucoup de travail et il peut se passer beaucoup de choses entre temps".
Dans une interview au magazine autrichien Format, le co-directeur général de Magna, Siegfried Wolf, dit que les activités de Magna et d'Opel resteront séparées, dans l'intérêt des autres clients de Magna.

Reuters
 

Chrysler: la Cour suprême gèle la cession jusqu'à nouvel avis

La Cour suprême des Etats-Unis a annoncé lundi sa décision de geler jusqu'à nouvel avis la cession à Fiat des actifs les plus importants du constructeur automobile américain Chrysler.
 

Chrysler: la Cour suprême gèle la cession jusqu'à nouvel avis

La Cour suprême des Etats-Unis a annoncé lundi sa décision de geler jusqu'à nouvel avis la cession à Fiat des actifs les plus importants du constructeur automobile américain Chrysler.
[Mode Conspiration ON]
C'est Peugeot qui a manigancé le coup via sa filiale US
[Mode Conspiration OFF]
 

Marchione découvre que partir à la conquête des USA n'est pas si "piece of cake" que ça :whistle:
 


Et Dieu sait que cette puissante filiale a le bras long !
Ce qui est caché est puissant :eek: :eek: :eek:
Derrière des logos Chrysler ou GM des concessions se cache un Lion. Ils sont prêt... le jour J ils basculeront en moins de 24h :sol: :sol: :sol: .
D'ailleurs les sous sols des concessions sont remplis de 607, et la chaine n'a pas été déplacé de Sochaux à Rennes :non: :non: ... mais aux US :chinois: .
 

Maintenant Marchione peut partir à la conquête des USA(la Cour Suprême vient de valider l'alliance) :chinois: