Au premier semestre de 2006, PSA Peugeot Citroën a dégagé une marge opérationnelle consolidée de 2,4 %, sur un chiffre d'affaires de 29,1 milliards d'euros, en hausse de 0,3 %. En raison de l'atonie du marché européen et d'une flambée plus forte que prévu des prix des principales matières premières (acier, aluminium, rhodium, platine), le résultat net du groupe a reculé de 59,7 %, à 303 millions d'euros, et son bénéfice d'exploitation de 46,4 %, à 691 millions d'euros. L'impact de la hausse des prix des matières premières sur le compte d'exploitation, qui s'est élevé à 206 millions d'euros sur les six premiers mois de l'année, devrait atteindre 250 millions au second semestre.
PSA table sur une marge opérationnelle stable au second semestre par rapport au premier. « Nous allons préparer un plan d'action pour restaurer notre profitabilité. Je vous expliciterai les nouvelles mesures avant le prochain Mondial de Paris », a déclaré M. Jean-Martin Folz, président. Ce plan devrait marquer la poursuite des actions déjà engagées, notamment la réduction des « frais de structure » et l'ajustement des effectifs avec un moindre recours à l'intérim. Le groupe compte également accélérer le rajeunissement de son offre de produits et ne souhaiterait donc pas décaler d'importants investissements. Enfin, M. Folz a exclu la fermeture d'une autre usine que celle de Ryton « à court terme » ainsi qu'un plan social concernant les salariés en CDI.
Par ailleurs, concernant la mise en cause de Faurecia en Allemagne (cf. revue de presse du 24/7/06), M. Folz a déclaré qu'il souhaitait que « toute la vérité soit faite » et qu'il se tenait « très étroitement informé de la situation ». Il a ajouté qu'il restait « persuadé qu'un grand équipementier mondial [était] un bon investissement » et que « le devenir stratégique de Faurecia ne [souffrait] pas d'incertitude ». « Nous continuerons à en rester l'actionnaire majoritaire », a-t-il affirmé.
PSA table sur une marge opérationnelle stable au second semestre par rapport au premier. « Nous allons préparer un plan d'action pour restaurer notre profitabilité. Je vous expliciterai les nouvelles mesures avant le prochain Mondial de Paris », a déclaré M. Jean-Martin Folz, président. Ce plan devrait marquer la poursuite des actions déjà engagées, notamment la réduction des « frais de structure » et l'ajustement des effectifs avec un moindre recours à l'intérim. Le groupe compte également accélérer le rajeunissement de son offre de produits et ne souhaiterait donc pas décaler d'importants investissements. Enfin, M. Folz a exclu la fermeture d'une autre usine que celle de Ryton « à court terme » ainsi qu'un plan social concernant les salariés en CDI.
Par ailleurs, concernant la mise en cause de Faurecia en Allemagne (cf. revue de presse du 24/7/06), M. Folz a déclaré qu'il souhaitait que « toute la vérité soit faite » et qu'il se tenait « très étroitement informé de la situation ». Il a ajouté qu'il restait « persuadé qu'un grand équipementier mondial [était] un bon investissement » et que « le devenir stratégique de Faurecia ne [souffrait] pas d'incertitude ». « Nous continuerons à en rester l'actionnaire majoritaire », a-t-il affirmé.