PSA supprimera 4800 postes en 2007 en France
- Démarrée par kaiserazo
- Date de début
Relis bien ma contribution, tu verras qu'elle n'a rien d'un boulet rouge
Sans la citer je pensais à une proposition du futur président de la république qui soulignait :
"l'incompatibilité entre faire des bénéfices et licencier" et proposait de "supprimmer les parachutes dorés si c'était le cas".
Pour en revenir a Streiff, les mieux placés pour en parler sont les salariés de PSA.
Je ne suis donc pas concerné, et ne pourrais en aucun cas porter de jugement sur l'aspect professionnel et humain.
La seule chose que je sais, c'est qu'il me fait penser à Dany Boon, et peut être que cela pourra te rendre le sourire.
Relis bien ma contribution, tu verras qu'elle n'a rien d'un boulet rouge
Sans la citer je pensais à une proposition du futur président de la république qui soulignait :
"l'incompatibilité entre faire des bénéfices et licencier" et proposait de "supprimmer les parachutes dorés si c'était le cas".
Pour en revenir a Streiff, les mieux placés pour en parler sont les salariés de PSA.
Je ne suis donc pas concerné, et ne pourrais en aucun cas porter de jugement sur l'aspect professionnel et humain.
La seule chose que je sais, c'est qu'il me fait penser à Dany Boon, et peut être que cela pourra te rendre le sourire.
J'ai cru que tu sous entendais que la motivation de Streiff était un futur parachute doré. Ce qui ne peut pas être vrai.
Je suis rassuré que ce n'était pas le fond de ta pensée.
Sinon, pour revenir sur les popos exacts de Nicolas Sarkozy, il n'a tout à fait dit que faire des bénéfices était incompatible avec des licenciements. ça, c'est plutôt les idées de son adversaire et des extrémistes de gauche.
Sarkozy sait que les entreprises doivent pouvoir se restructurer quand c'est nécessaire pour pouvoir mieux repartir.
Par contre il a effectivement souligné la difficulté de justifier des parachutes dorés extravagants quand une entreprise doit délocaliser et licencier en masse.
Tu as vue le nombre de
derrière .Mais quand tu écoutes certains excités de la grève et des revandications farfelues.... c'est ce qu'ils croient. Ils disent : une entreprise qui fait des bénef ne doit pas licencier.... il faut donc attendre qu'elle soit en déficit et au plus mal pour faire du licenciement économique
Sauf qu'un patron est un gestionnaire et planifie sur quelques années à partir des infos qu'il a..... il peut donc licencier (et c'est accompagné de plein d'autres mesures bien sur) avant d'être au plus mal pour maintenir le cap.
Tu as vue le nombre de
Mais quand tu écoutes certains excités de la grève et des revandications farfelues.... c'est ce qu'ils croient. Ils disent : une entreprise qui fait des bénef ne doit pas licencier.... il faut donc attendre qu'elle soit en déficit et au plus mal pour faire du licenciement économique
Sauf qu'un patron est un gestionnaire et planifie sur quelques années à partir des infos qu'il a..... il peut donc licencier (et c'est accompagné de plein d'autres mesures bien sur) avant d'être au plus mal pour maintenir le cap.
C'est sûr.
Quand le dernier patron d'Accor est parti avec son parachute non officiel, j'avais fait le calcul et on était dans les 140 euros / employé.
Sauf qu'au contraire d'Airbus dont la totalité des salariés se situent en Europe de L'Ouest avec les salaires qui vont avec (et dans l'aéronautique c'est plutot au dessus de la moyenne !!), ceux d'Accor travaillent dans le monde entier. Et une femme de ménage de l'Ibis Yaoundé avec une prime de 140 euros, elle doit bien doubler son salaire.
Sauf qu'au contraire d'Airbus dont la totalité des salariés se situent en Europe de L'Ouest avec les salaires qui vont avec (et dans l'aéronautique c'est plutot au dessus de la moyenne !!), ceux d'Accor travaillent dans le monde entier. Et une femme de ménage de l'Ibis Yaoundé avec une prime de 140 euros, elle doit bien doubler son salaire.
