PSA défend sa méthode pour réduire ses effectifs

therry

Lion Hors catégorie
4 Août 2005
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Après avoir lancé sa grande enquête interne, et devant les méventes qui s'accumulent le groupe poursuit sa réduction des charges fixes...

Plus de 5 000 salariés ont accepté de quitter le groupe. Les suppressions de postes vont se poursuivre.

PSA peut se targuer d’avoir réduit ses effectifs en France de façon drastique sans provoquer le moindre conflit social. Six mois après le lancement de son plan de départ volontaire, en juin dernier, 5 090 salariés ont en effet accepté de quitter le constructeur à l’amiable. Soit plus que les 4 850 départs prévus initialement.

«Il n’est jamais agréable de supprimer des emplois, mais nous l’avons fait du mieux que nous pouvions, en faisant le choix de ne pas envoyer nos salariés à l’ANPE», a souligné hier Jean-Luc Vergne, le DRH du groupe, lors d’une conférence de presse. Il a précisé que ce dispositif n’avait donné lieu à aucun «licenciement, conflit, traumatisme ou préjudice personnel» et n’avait occasionné «aucun départ en préretraite».

Ce plan de volontariat s’inscrit dans le plan de réduction de 30 % des frais fixes de l’entreprise, comme s’y était engagé Christian Streiff, le PDG de PSA, dès février 2006. «Le groupe était dimensionné pour vendre 4 millions de véhicules par an, mais nous n’en écoulions que 3,4 millions. Nos frais de structure étaient 30 % supérieurs à ceux de nos concurrents, ce qui menaçait notre compétitivité», détaille Jean-Luc Vergne.

PSA explique la réussite de son plan – signé par toutes les organisations syndicales sauf la CGT en mai 2007 – par «la qualité du dialogue social » et « les innovations sociales développées». Le constructeur a en effet mis en place des mesures (de 6 à 24 mois de salaires d’indemnités) pour inciter les salariés à créer ou reprendre une entreprise, à trouver un emploi dans une autre entreprise ou à partir à la retraite. Pour faciliter les recherches d’emplois, PSA a par ailleurs créé en interne des structures d’accompagnement et organisé des forums mettant en contact les salariés de PSA avec des groupes qui recrutaient.

«Reconduire ces mesures»

Au total, le plan, pour lequel «120 millions d’euros ont été provisionnés au premier semestre 2007» , a donné lieu à 3 740 départs pour projet personnel, 1 010 départs volontaires à la retraite et 340 congés de reclassement. 2 310 cadres, 2 120 ouvriers et 1 620 employés, techniciens et agents de maîtrise ont pu en bénéficier.

Le DRH de PSA a ajouté qu’il souhaitait «reconduire ces mesures» en 2008, sur 5 ou 6 sites (dont Mulhouse, Aulnay, Rennes et Metz) pour un millier d’ouvriers professionnels. L’accueil syndical a été plutôt favorable. Alain Seften, délégué central FO, a qualifié le plan de « moindre mal ». Mais la CGT et la CFDT déploraient qu’il faille «se séparer à nouveau de 1 000 autres volontaires» en 2008.

Christian Streiff a précisé récemment qu’il prévoyait d’atteindre environ 8 000 suppressions de postes en Europe occidentale cette année, en incluant les départs intervenus avant le lancement du plan. Aucune fermeture d’usine n’est cependant à l’ordre du jour.


Source
 

Effectivement cette méthode sera encore utilisée sur 2008 d'après le groupe qui vient d'annoncer la poursuite sur 5 sites .
 

Augmentation de la production avec moins de personnel = baisse des coûts ...

Christian Streiff futur ministre des fonctionnaires ? :D
 


tu parles d'une augmentation, tout ça c'est du vent...

et puis réduire les effectifs alors qu'il faut bosser sur toujours + de projets et en réduisant de 25% le temps de développement... :pfff:

sans compter les inégalités de traitement dans ce fameux plan de départs
 

et puis réduire les effectifs alors qu'il faut bosser sur toujours + de projets et en réduisant de 25% le temps de développement... :pfff:

C'est malheureusement le leitmotiv de notre structure économique actuelle... :sarcastic:
Pour autant, au bout de la chaine, ce n'est pas le client (consommateur) qui voit le prix baisser (au contraire...) mais ce sont bien les actionnaires qui voient leurs profits atteindre des sommets. :eek:
 

C'est malheureusement le leitmotiv de notre structure économique actuelle... :sarcastic:
Pour autant, au bout de la chaine, ce n'est pas le client (consommateur) qui voit le prix baisser (au contraire...) mais ce sont bien les actionnaires qui voient leurs profits atteindre des sommets. :eek:

Pour les sommets des actionnaires , on verra si celà se vérifie lors du compte rendu de l'assemblée générale. :sarcastic:
 

PSA: les effectifs vont continuer à décroître en 2008 en France (Streiff)

Le PDG de PSA Peugeot Citroen Christian Streiff a indiqué mercredi que les effectifs du groupe allaient "continuer à décroître" en 2008 en France, avec la fin du plan de départs volontaires lancé en 2007 et le nouveau plan mis en place début 2008.
Cette diminution d'effectifs concernera 3.000 personnes, mais il n'y aura "pas de licenciements", a dit M. Streiff à la presse lors de la présentation des résultats financiers 2007 du groupe.
"Nous continuons à maintenir le gel des embauches", a-t-il dit. Le président de PSA a rappelé que le groupe a lancé début janvier "un nouveau plan, beaucoup moins important" que celui de 2007 et "toujours sur la base du volontariat", portant en 2008 sur "un effectif de 1.100 personnes dans des métiers très spécialisés".
A cette réduction d'effectifs s'ajouteront 1.900 départs au premier semestre 2008 dans le cadre du précédent plan lancé en 2007. Ce plan a concerné au total 8.200 personnes, dont 4.300 ont déjà quitté le groupe l'année dernière.
Commentant les résultats 2007, marqués par une hausse du résultat net, du chiffre d'affaires et de la marge opérationnelle, il a estimé que l'année 2007 "marque un tournant" et que ces résultats "mettent le groupe sur la voie du redressement".
L'année 2007 a été "en même temps une année de préparation de l'avenir", a-t-il ajouté, en mettant l'accent sur "l'énorme travail de restructuration et de mise au point de nouveaux modèles" qui "doit porter ses fruits dans les années qui viennent".
"Tous nos indicateurs de performance et nos résultats financiers sont en ligne avec les objectifs du plan Cap 2010", a encore dit Christian Streiff, en notant qu'il reste encore "un long chemin" pour "assurer notre réussite à long terme".
Il a ajouté "que 2008 s'annonce de façon très peu claire à l'heure actuelle" pour le secteur automobile avec "des mouvements un peu erratiques sur les marchés européens", mais il a estimé que sur les marchés émergents, il "ne percevait pas, à ce stade, de ralentissement".

Source
 

PSA : 411 départs volontaires sur les 1.090 prévus dans le plan 2008

Seuls 441 salariés de PSA Peugeot Citroën, sur un objectif de 1.090, ont adhéré au plan de départs volontaires ouvert de février à juin dans cinq usines françaises (Rennes, Mulhouse, Metz, Aulnay, Asnières), a-t-on appris mardi soir de sources concordantes.
"On ne peut pas parler de succès ou d'échec en matière de plan de départs" même lorsqu'ils interviennent dans des "conditions favorables", a-t-on commenté à la direction des ressources humaines du constructeur automobile, soulignant que le "rôle de la DRH" était "plutôt d'embaucher".
En revanche, pour Ricardo Madeira, délégué central CFDT, ce "plan n'a pas marché" puisque le nombre de 1.090 est loin d'être atteint.
La direction de PSA n'était pas en mesure de préciser site par site le nombre de départs qui s'adressaient exclusivement aux ouvriers professionnels et aux employés, techniciens, agents de maîtrise (ETAM).
Elle a toutefois souligné que les usines qui n'avaient pas "atteint leur objectif" connaissaient un regain d'activité comme à Rennes marquée par la "montée en puissance de la C5".
Selon FO, ces départs ont concerné 363 ouvriers professionnels et 48 ETAM.
Site par site, ils se sont répartis en 139 salariés à Rennes sur un objectif de 410, 91 à Mulhouse (sur 360), 96 à Aulnay (sur 180), 55 à Metz (sur 80) et 30 à Asnières (sur 60), a détaillé FO.
Les syndicats de l'usine de Mulhouse (Haut-Rhin) se sont félicités du nombre limité de départs. "Un tel nombre ne se justifiait pas, c'est du savoir-faire et des compétences qui partent", a observé Vincent Duse, délégué CGT.
"Si les 360 personnes étaient toutes parties, nous aurions bien du mal" à faire face à la hausse de cadence de l'usine alsacienne, a également relevé Patrick Schorr, délégué FO.
Ce plan de départs volontaires, annoncé en janvier dernier, succédait au "plan de redéploiement des emplois et compétences" de 2007 qui a vu l'adhésion de 6.300 salariés hors production sur un objectif initial de 4.800, a indiqué la direction de PSA.
Ces plans sont destinés à réduire de "30% les frais généraux et de structure" d'ici 2010, a-t-elle rappelé.

Source
 

Le regain d'activité justifie un peu le désserement de la contrainte mais
cap 2010 reste d'actualité. Ce regain d'activité n'est pas négligeable .
 

PSA : menace de licenciement pour arrêt maladie trop fréquent

Chasse aux malades chez PSA ? C'est ce qu'affirme en tout cas les membres du syndicat CGT de l'usine du constructeur d'Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.

Un ouvrier du site est menacé de licenciement en raison d'arrêts maladie jugés trop fréquents. L'affaire n'est pas nouvelle, les élus ayant alerté sur le sujet dès la mi-2007.

Ironie de l'histoire, en mai 2008, Christian Streiff, président du directoire de PSA Peugeot-Citroën, n'a pu assister à l'assemblée générale des actionnaires. Selon le groupe automobile, son absence était justifiée par des raisons médicales.

L'entreprise a confirmé que le salarié avait été convoqué vendredi à un entretien préalable en vue de son licenciement et entendu "en raison d'absences fréquentes et répétées", mais elle a refusé de préciser si ces absences étaient liées à des arrêts maladies "tant que la procédure est en cours".

Dans un courier daté du 8 avril, le service des relations sociales prévenait le salarié concerné que s'il devait présenter un nouvel arrêt, son contrat de travail serait rompu. Il lui est reproché d'avoir été absent 120 jours en 2007 et 21 jours en 2008, laors que la moyenne annuelle de journées travaillées est de l'ordre de 220 jours.

Dans un précédent courrier, la direction explique que ses absences "génèrent des dysfonctionnements d'organisation" de son atelier de montage.

Peut-être, mais en tout état de cause, le Code du travail interdit le licenciement d'un salarié malade ou handicapé à moins qu'il ne soit déclaré physiquement inapte par le médecin du travail.

Selon la jurisprudence de la Cour de cassation cependant, il est possible pour une entreprise de le licencier si elle prouve que ses absences répétées perturbent l'entreprise et entraînent son "nécessaire remplacement définitif".

Dans ce cas, le remplacement définitif doit intervenir dans un délai raisonnable après le licenciement, délai que les juges du fond apprécient souverainement en tenant compte des spécificités de l'entreprise et de l'emploi concerné, ainsi que des démarches faites par l'employeur en vue d'un recrutement.

D'après la CGT, un système de "pools de remplaçants" permet déjà de pallier aux absences des salariés (arrêts, congés, formation) sur le site d'Aulnay (4.000 salariés et 400 intérimaires).

Or, pour pouvoir licencier un salarié malade, il faut que l'entreprise ne soit pas en mesure de le remplacer aisément ou provisoirement. Cette impossibilité peut être liée au niveau de responsabilité du salarié, à sa technicité, à l'exigence d'une formation longue sur le poste pour être opérationnel, mais également au marché de l'emploi local.

Embauché en 2001, M. El Haouari, 31 ans, affirme quant à lui avoir été arrêté à de nombreuses reprises depuis fin 2006 pour des pathologies contractées sur le lieu de travail (tendinites, claquage au dos) ou en dehors (fracture du pied, opération au nez).

Notant la concomitance avec un entretien préalable à sanction d'un autre salarié, et l'envoi de "dizaines de lettres aux salariés qui ont des arrêts maladie", la CGT estime que PSA veut "montrer aux salariés de quoi il s'agi t: faire la chasse aux malades". Si la procédure de licenciement se poursuit, "nous irons aux Prud'hommes", prévient M. Julien.

En juillet 2007, après les suicides de quatre salariés du site en moins de deux mois, le syndicat CGT, qui a révélé cette série tragique, souhaitait d'ores et déjà "tirer la sonnette d'alarme sur les fortes pressions subies sur le lieu de travail".

Il entendait, sans vouloir établir de lien de cause à effet avec les drames, dénoncer "la pénibilité du travail qui favorise les dépressions" et voulait s'interroger sur la portée que peuvent avoir "des lettres culpabilisantes envoyées aux salariés en arrêt maladie". La CGT a rassemblé une centaine de lettres-types, envoyées à des salariés malades du site de Mulhouse qui avaient fourni un certificat médical. Les autres syndicats, dont la CFDT et FO, confirmaient alors cette pression sans pour autant s'allier à l'action de la CGT.

Le Monde.fr s'était alors procuré une de ces lettres, dans laquelle le chef du personnel attire l'"attention sur l'importance et la fréquence de l'absence" du salarié. Il indique que l'"absentéisme personnel est incompatible avec l'organisation industrielle et perturbe de façon inacceptable le fonctionnement de [l']unité de production". Il conclut en demandant "de modifier [le] comportement de façon notable et durable".

La CGT fait état de rumeurs selon lesquelles un des trois salariés qui se sont suicidés aurait reçu ce type de lettre. "Ces lettres sont envoyées dans des cas très rares, voire extrêmes", précisait alors la direction de PSA Peugeot-Citroën à Mulhouse. Elles sont précédées d'un entretien téléphonique. "Cette démarche est faite après consultation du médecin du travail, en respect du droit social et vise à renouer le dialogue avec le salarié", assure l'entreprise.

Mais selon Me Philippe Ravisy, auteur du livre Le Harcèlement moral au travail, "cette lettre exerce une pression qui est non conforme aux règles du droit du travail". Il ajoute que cette note "porte atteinte à la liberté d'être malade" (L. 120-2).

Un autre avocat, Me Christophe Ricour, habitué à défendre les entreprises, confirme : "Cette lettre est culpabilisante dans le cadre d'un arrêt de travail." Et d'ajouter : "Elle n'est pas écrite dans la nuance, elle est même discriminatoire à l'égard de la santé de l'employé. L'entreprise peut lui reprocher son absence et non sa maladie. Or c'est ce qu'elle fait quand elle lui demande de modifier son comportement." Concernant "la perturbation du service évoquée, cela est toujours difficile à prouver", indique Me Ricour.

Au-delà de cette lettre, le délégué syndical CGT de PSA à Mulhouse faisait état d'autres méthodes utilisées par l'entreprise envers ses salariés malades : "Certains responsables de secteur vont jusqu'à appeler des personnes en arrêt de travail pour leur demander de terminer leur congé maladie plus tôt et de revenir travailler afin de pallier le retard de la productivité."

Sources : AFP, Le Monde, Lexinet, Afflec
 

Sujet sensible.
Dans les 2 camps il y a des abus :spamafote: . Certains salariés abusent des arrêts maladies ou autres jours enfant malades, les RH vont aux limites de ce qui est légal.
Le probleme c'est les gens honnêtes qui en sont victimes :( , le vrais malade :chinois: .
 

Jean Luc Vergne reprend à peu près les grandes lignes des plans précédents et reste confiant dans le déroulement du prochain qui sera annoncé le 2 décembre 08; Source :communiqué sur le site PSA .
 

Je rajouterai en complément : Peugeot envisage de redéployer 900 personnes vers d'autres sites comme annoncé dans leur communiqué . Cette mesure même si elle s'apparente à une contrainte pour les salariés concernés constitue plûtot une bonne nouvelle du fait que d'autres usines sont en mesures de les employer surtout celle produisant les 308, 206/308, 207,C2/C3. Donc le groupe possède des bases relativement fortes sur d'autres segments.
 


le plan GPEC a été adopté par les membres du comité central d'entreprise de PSA. Concernant les 900 salariès de Rennes à redéployer , ils se verront proposer un reclassement vers d'autres sites du groupe.
JL Vergne a salué la signature de cet accord par les membres du cce .
Rennes étant le site où la situation est la plus délicate.
 

JL Vergnes s'exprimant dans les colonnes de l'est républicain indique ques des postes pour les salariès de Rennes sont ou seront disponibles sur Sochaux , Mulhouse , Vesoul, Tremery. Toutes ces usines sont situées dans l'est de la France.Je ne sais pas si elles sont classées par ordre de grandeur en fonction du nombres de postes disponibles bien que des chiffres circulent . Selon la direction , tous ne suivront pas mais la mobilité fonctionne bien chez PSA : quelques chiffres depuis le début de l'année 3540 cadres ont changé de postes et 1310 de site, 3000 ouvriers et personnels d'encadrement ont changé de postes et 953 de sites. Des visites de sites vont être organisées ainsi que les possibilités de logement. Dixit JL VERGNE : ce n'est pas désagréble dans l'est. Des aides sont également prévues pour les salariès acceptant ce changement : indemnité d'installation , prime de mobilité versée sur 4 ans ainsi qu'une aide pour le conjoint pour retrouver un emploi. Tout est mis en oeuvre pour que ce plan soit le moins traumatisant possible
selon la conclusion de l'article.
 

Oui, mais dans le lot, il y a eu beaucoup de mouvements intra région parisienne (notemment avec les nouveaux sites à Poissy), ce qui n'est pas la même chose que de passer de Rennes à Sochaux (par ex).
 

Oui, mais dans le lot, il y a eu beaucoup de mouvements intra région parisienne (notemment avec les nouveaux sites à Poissy), ce qui n'est pas la même chose que de passer de Rennes à Sochaux (par ex).
Oui, passer de la douceur du chouchen à un edelzwicker plus sec demande une force de caractère certaine :whistle:
 

Oui, passer de la douceur du chouchen à un edelzwicker plus sec demande une force de caractère certaine :whistle:

Ou comme habiter entre Combeaufontaine et la Quarté en Haute de Saône pour ceux qui iront à Vesoul :D
 

(AOF) - Le directeur des Ressources Humaines de PSA Peugeot Citroën Jean-Luc Vergne a décidé de mettre fin à ses fonctions au sein du groupe. Il cessera ses activités de DRH fin février après avoir mené les négociations salariales 2009 et mis en route le plan de départs volontaires approuvé par les organisations syndicales lors du CCE du 2 décembre 2008, a indiqué PSA Peugeot Citroën dans un communiqué.
Jean-Luc Vergne a été successivement DRH de Sanofi puis du groupe Elf Aquitaine. Il a rejoint le groupe PSA Peugeot Citroën en 1999 pour prendre la responsabilité de la Direction des Ressources Humaines.
 

(AOF) - Le directeur des Ressources Humaines de PSA Peugeot Citroën Jean-Luc Vergne a décidé de mettre fin à ses fonctions au sein du groupe. Il cessera ses activités de DRH fin février après avoir mené les négociations salariales 2009 et mis en route le plan de départs volontaires approuvé par les organisations syndicales lors du CCE du 2 décembre 2008, a indiqué PSA Peugeot Citroën dans un communiqué.
Jean-Luc Vergne a été successivement DRH de Sanofi puis du groupe Elf Aquitaine. Il a rejoint le groupe PSA Peugeot Citroën en 1999 pour prendre la responsabilité de la Direction des Ressources Humaines.

on pourrait dire "dans la série ça continue".
 

oué surtout qu'il disait que tant qu'il serait à la tête des RH il n'y aurait pas de licenciement sec! :pfff:

...les rats quittent le navire avant la tempête?

[:grenouillette:2]
 

oué surtout qu'il disait que tant qu'il serait à la tête des RH il n'y aurait pas de licenciement sec! :pfff:

...les rats quittent le navire avant la tempête?

[:grenouillette:2]

lu dans l'est républicain d'aujourd'hui , cette démission surprend. Son départ coinciderait avec la présidence qu'il vient de prendre à l'afpa Même si au départ JL Vergne entendait se consacrer à PSA et l'afpa d'après ses déclarations de novembre , aujourdh'ui il occupera cette présidence à plein temps.
 

Jeu de chaises musicales (n'oubliez pas qu'à ce jeu, on retire souvent 1 chaise :D )
Le constructeur automobile PSA Peugeot Citroën a annoncé mardi la nomination au poste de directeur des ressources humaines de Denis Martin, actuellement directeur de l'usine de Rennes.
 

Selon le site electronique de l'usine nouvelle , Psa doublerait le nombre de départ attendus avec le plan en cours : Passage de 3500 à 6000 .
Egalement toujours selon l'usine nouvelle , l'usine de Rennes voit son objectif de 850 départs non seulement confimés mais impératif.
 

c'est vraiment dingue en ce moment..
je travaille dans l'automobile en prestation de service dans les BE..de nombreux contrats ont été supprimé dans ma boite, chez renault..moi je suis chez valeo, idem, mission non reconduite
je ne vois pas comment ils vont fabriquer des voitures si ils coupent les budgets R&D..
si ceux qui restent doivent bosser 12H par jour...un ami est a velizy...tous les presta dehors..et dans son services, les permanents ne pourront pas assumer la charge de travail...

je suis franchement pas révolutionnaire, ni syndicats et Cie, mais la, le contexte actuel m'ecoeure en tant que salarie, passionné d'automobile...
 

c'est vraiment dingue en ce moment..
je travaille dans l'automobile en prestation de service dans les BE..de nombreux contrats ont été supprimé dans ma boite, chez renault..moi je suis chez valeo, idem, mission non reconduite
je ne vois pas comment ils vont fabriquer des voitures si ils coupent les budgets R&D..
si ceux qui restent doivent bosser 12H par jour...un ami est a velizy...tous les presta dehors..et dans son services, les permanents ne pourront pas assumer la charge de travail...

je suis franchement pas révolutionnaire, ni syndicats et Cie, mais la, le contexte actuel m'ecoeure en tant que salarie, passionné d'automobile...

Oui ,le contexte difficile pour tout le monde.
 

Depuis qu'il y a la crise, il n'y a plus de suicide. Mince, ça va pas aider pour reduire les effectifs. :whistle:
 

Depuis qu'il y a la crise, il n'y a plus de suicide. Mince, ça va pas aider pour reduire les effectifs. :whistle:

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