Que la faute revienne à la concession ou à Peugeot, il y a quand même un problème quelque part.
Quand un fournisseur s'engage sur une date qu'il s'avère ne pas pouvoir tenir, il existe ce qu'on appelle des indemnités de retard. Ou peut au moins parler, dialoguer, com-mu-ni-quer, chose que la marque a apparemment beaucoup de mal à faire avec ses clients.
La concession : "c'est pas nous, c'est Peugeot".
Peugeot : silence radio.
En tant que client, quand je mets 20 ou 25.000 € dans une voiture, je demande aussi à être considéré un minimum.
Ces retards à répétition, partiellement expliqués quand ils ne sont pas tout bonnement inexpliqués, sans même un mot d'excuse, sont exaspérants. Les gestes commerciaux devraient être automatiques, sans même qu'on ait à les demander. Au lieu de ça : "retard, on est désolé (tu parles) mais c'est comme ça". Quinze jours, trois semaines, un mois, deux mois, trois mois. Aucun recours si ce n'est annuler sa commande – après avoir perdu 2 mois ou plus à attendre –, on n'est plus client mais dindon d'une farce au goût amer.
S'ils savent qu'ils n'ont pas de Féline en stock et qu'ils ne pourront pas en fournir avant telle date, qu'ils le disent dès le départ plutôt que de faire miroiter des délais qui ne seront pas tenus.
Il y a un problème sur QUI annonce les délais. Peugeot doit savoir où il en est et savoir si une voiture dans telle version commandée à telle date pourra être livrée à telle date (± une semaine, d'accord). Tout ce que le client demande à savoir, c'est ça.
Quand un fournisseur s'engage sur une date qu'il s'avère ne pas pouvoir tenir, il existe ce qu'on appelle des indemnités de retard. Ou peut au moins parler, dialoguer, com-mu-ni-quer, chose que la marque a apparemment beaucoup de mal à faire avec ses clients.
La concession : "c'est pas nous, c'est Peugeot".
Peugeot : silence radio.
En tant que client, quand je mets 20 ou 25.000 € dans une voiture, je demande aussi à être considéré un minimum.
Ces retards à répétition, partiellement expliqués quand ils ne sont pas tout bonnement inexpliqués, sans même un mot d'excuse, sont exaspérants. Les gestes commerciaux devraient être automatiques, sans même qu'on ait à les demander. Au lieu de ça : "retard, on est désolé (tu parles) mais c'est comme ça". Quinze jours, trois semaines, un mois, deux mois, trois mois. Aucun recours si ce n'est annuler sa commande – après avoir perdu 2 mois ou plus à attendre –, on n'est plus client mais dindon d'une farce au goût amer.
S'ils savent qu'ils n'ont pas de Féline en stock et qu'ils ne pourront pas en fournir avant telle date, qu'ils le disent dès le départ plutôt que de faire miroiter des délais qui ne seront pas tenus.
Il y a un problème sur QUI annonce les délais. Peugeot doit savoir où il en est et savoir si une voiture dans telle version commandée à telle date pourra être livrée à telle date (± une semaine, d'accord). Tout ce que le client demande à savoir, c'est ça.