Sur Forum Peugeot, nous avons de la chance d’avoir des membres qui roulent chaque jour avec une sacrée belle machine : la 508 PSE ou son dérivé break de chasse, la 508 SW PSE. Ces membres -qui se reconnaîtront facilement- nous apportent leurs témoignages et nous font partager leur plaisir à bord de cet OVNI thermo-électrifié situé entre une berline routière typée GT et une sportive qui n’aurait même pas peur de rouler sur circuit.
Suivant leurs aventures et pour certain(s) leur tentative de record d’autonomie électrique je ne pouvais plus résister à l’envie de tester par moi-même cette monture la plus puissante de tous les temps de la gamme Peugeot. Ayant déjà la version SW avec la plus modeste version hybride 225ch, c’est tout naturellement que j’embarque à bord de la 508 SW PSE, loin d’être un corbillard comme le disent les mauvaises langues (les macabés pourraient ressusciter )
C’est le jour J de la perception de la voiture. Un sentiment d’excitation, comme si j’allais chercher ma nouvelle voiture. Ce sera juste une adoption de plusieurs jours, mais il faut profiter de cette chance.
La voiture arrive à mes pieds ; quelle gueule, ces crocs lumineux, cette ligne, les jantes 20’’, cette couleur exclusive Gris Selenium, ses artifices plutôt discrets (spoilers, etc... ) avec le kryptonite de quelques éléments de carrosserie de cette version ultime, c’est déjà un plaisir des yeux.
Je m’assois à bord. Un univers quasi identique à la 508 SW GT / GT Pack HY225 que je connais très bien donc. Avec des particularités sur le volant avec le sigle des 3 branches PSE, la sellerie Cuir/Alcantara spécifique. Celle-ci n’a pas l’option toit panoramique ; c’est un peu dommage car cela apporterait un peu de luminosité pour celui qui a peur du noir
Démarrage, système hybride actif. La vache, les précédents se sont bien amusés ! Seulement 350 km d’autonomie thermique et 22 km d’autonomie électrique...
Mais fort heureusement l’autonomie thermique va vite augmenter avec les premiers kilomètres que je déroule tranquillement, profitant du confort et du silence de la voiture.
Les démarrages en mode électrique sont plus agréables que sur la HY225. C’est sans doute l’effet propulsion qui améliore ce point. C’est le moteur électrique arrière qui est sollicité lors des démarrages, et si on appuie franchement sur l’accélérateur, les 2 autres moteurs électrique à l’avant, et thermique se mettent en route, et là, accrochez-vous !!
Direction l’Ouest et j’arrive sur l’A11. Bon, évidemment, je ne résiste pas à la tentation de rentrer sur l’autoroute en utilisant toute la cavalerie des 360 chevaux !
C’est l‘affaire de quelques secondes ; que c’est bon mais court, car il faut vite relâcher l’accélérateur sinon on se retrouve très/trop vite à des vitesses éhontées pour les ayatollahs de la sécurité routière.
C’est le côté un peu frustrant de la PSE : les accélérations sont trop faciles. Et paradoxalement ce qui est dangereux, c’est que ça ne s’arrête jamais !!
Une fois ce petit plaisir égoïste passé, il faut revenir à la raison et se caler au train des autres voitures pour rester à la limite légale. Régulateur adaptatif + mode conduite semi-autonome enclenché, il n’y a plus qu’à rouler. Arf, on s’emmerde un peu du coup sur ce ruban autoroutier. Je tripote alors le NAC et place à la musique qui sort du FOCAL. Plaisir des oreilles.
Ah ! j’arrive à un péage. Génial, je vais encore me marrer. Mode sport on. Poahh !! Ça va vraiment trop vite, c’est puissant mais discret, trop, linéaire et si tu en veux d’autres, il y en a toujours et encore, c’est que le début, d’accord, d’accord...
Le fonctionnement de la chaîne hybride est vraiment différent de la petite sœur en 225ch. Nos amis de FP en PSE l’ont déjà bien décrit. Passé 60 km/h, le moteur thermique est allumé quoi qu’il advienne. La PSE conserve sa batterie de traction au maximum ; en conséquence, elle consomme plus de carburant, même en vitesse stabilisée. Sur autoroute, j’ai fait du 8l ; avec quelques accélérations, certes. En HY 225ch, on est plutôt sur du 6.5l max dans les mêmes conditions.
Mais avec une telle voiture, on n’est pas là pour faire des économies de carburant, quoique...
Car il serait dommage de passer à côté de tous les plaisirs qu’elle nous propose : silence et discrétion à basse vitesse, performance et contrôle en phase d’accélérations intenses, confort et ambiance feutrée de salon à vitesse de croisière.
Un dernier point qui m’a marqué pour finir ce 1er post. Je ne sais pas comment les équipes de PSE ont fait pour gommer la sensation de poids supplémentaire dû aux batteries de traction. Versus la version hybride 225ch, c’est assez net. Les 2 moteurs électriques à l’avant et à l’arrière n’y sont sans doute pas étrangés ; sans oublier des réglages spécifique de châssis et de trains, j’imagine.
Quelques photos pour agrémenter, et à vous lire
Suivant leurs aventures et pour certain(s) leur tentative de record d’autonomie électrique je ne pouvais plus résister à l’envie de tester par moi-même cette monture la plus puissante de tous les temps de la gamme Peugeot. Ayant déjà la version SW avec la plus modeste version hybride 225ch, c’est tout naturellement que j’embarque à bord de la 508 SW PSE, loin d’être un corbillard comme le disent les mauvaises langues (les macabés pourraient ressusciter )
C’est le jour J de la perception de la voiture. Un sentiment d’excitation, comme si j’allais chercher ma nouvelle voiture. Ce sera juste une adoption de plusieurs jours, mais il faut profiter de cette chance.
La voiture arrive à mes pieds ; quelle gueule, ces crocs lumineux, cette ligne, les jantes 20’’, cette couleur exclusive Gris Selenium, ses artifices plutôt discrets (spoilers, etc... ) avec le kryptonite de quelques éléments de carrosserie de cette version ultime, c’est déjà un plaisir des yeux.
Je m’assois à bord. Un univers quasi identique à la 508 SW GT / GT Pack HY225 que je connais très bien donc. Avec des particularités sur le volant avec le sigle des 3 branches PSE, la sellerie Cuir/Alcantara spécifique. Celle-ci n’a pas l’option toit panoramique ; c’est un peu dommage car cela apporterait un peu de luminosité pour celui qui a peur du noir
Démarrage, système hybride actif. La vache, les précédents se sont bien amusés ! Seulement 350 km d’autonomie thermique et 22 km d’autonomie électrique...
Mais fort heureusement l’autonomie thermique va vite augmenter avec les premiers kilomètres que je déroule tranquillement, profitant du confort et du silence de la voiture.
Les démarrages en mode électrique sont plus agréables que sur la HY225. C’est sans doute l’effet propulsion qui améliore ce point. C’est le moteur électrique arrière qui est sollicité lors des démarrages, et si on appuie franchement sur l’accélérateur, les 2 autres moteurs électrique à l’avant, et thermique se mettent en route, et là, accrochez-vous !!
Direction l’Ouest et j’arrive sur l’A11. Bon, évidemment, je ne résiste pas à la tentation de rentrer sur l’autoroute en utilisant toute la cavalerie des 360 chevaux !
C’est l‘affaire de quelques secondes ; que c’est bon mais court, car il faut vite relâcher l’accélérateur sinon on se retrouve très/trop vite à des vitesses éhontées pour les ayatollahs de la sécurité routière.
C’est le côté un peu frustrant de la PSE : les accélérations sont trop faciles. Et paradoxalement ce qui est dangereux, c’est que ça ne s’arrête jamais !!
Une fois ce petit plaisir égoïste passé, il faut revenir à la raison et se caler au train des autres voitures pour rester à la limite légale. Régulateur adaptatif + mode conduite semi-autonome enclenché, il n’y a plus qu’à rouler. Arf, on s’emmerde un peu du coup sur ce ruban autoroutier. Je tripote alors le NAC et place à la musique qui sort du FOCAL. Plaisir des oreilles.
Ah ! j’arrive à un péage. Génial, je vais encore me marrer. Mode sport on. Poahh !! Ça va vraiment trop vite, c’est puissant mais discret, trop, linéaire et si tu en veux d’autres, il y en a toujours et encore, c’est que le début, d’accord, d’accord...
Le fonctionnement de la chaîne hybride est vraiment différent de la petite sœur en 225ch. Nos amis de FP en PSE l’ont déjà bien décrit. Passé 60 km/h, le moteur thermique est allumé quoi qu’il advienne. La PSE conserve sa batterie de traction au maximum ; en conséquence, elle consomme plus de carburant, même en vitesse stabilisée. Sur autoroute, j’ai fait du 8l ; avec quelques accélérations, certes. En HY 225ch, on est plutôt sur du 6.5l max dans les mêmes conditions.
Mais avec une telle voiture, on n’est pas là pour faire des économies de carburant, quoique...
Car il serait dommage de passer à côté de tous les plaisirs qu’elle nous propose : silence et discrétion à basse vitesse, performance et contrôle en phase d’accélérations intenses, confort et ambiance feutrée de salon à vitesse de croisière.
Un dernier point qui m’a marqué pour finir ce 1er post. Je ne sais pas comment les équipes de PSE ont fait pour gommer la sensation de poids supplémentaire dû aux batteries de traction. Versus la version hybride 225ch, c’est assez net. Les 2 moteurs électriques à l’avant et à l’arrière n’y sont sans doute pas étrangés ; sans oublier des réglages spécifique de châssis et de trains, j’imagine.
Quelques photos pour agrémenter, et à vous lire
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