Merci beaucoup Flo.
Ok j'essaierai de raconter quelques histoires de lycée si ça t'intéresse. Pour les conneries c'est l'année du bac, je vais chercher une entreprise pour des études en alternance, donc je crains que ce soit à peu près fini pendant les cours. Pour avoir de bons commentaires sur le bulletin. Mais j'en ai profité un maximum les années précédentes. D'ailleurs, troisième trimestre : pas un seul cours d'EPS. On courait comme des cons et ça ne me plaisait pas. On partait avec des copains faire les magasins.
Mais on peut piocher dans les années passées.
L'année dernière, un professeur de français sans aucune autorité avec des cours dans le bruit et le bordel. En gros. Et, à quelques jours des vacances d'été, j'arrive en cours de français, en retard. Quand je dis en retard, c'est 9h40 au lieu de 9h, et ça sonne à moins dix pour la récrée. Sans sac, en touriste. Je toque, j'ouvre la porte. Applaudissements. Je vais voir le prof, je lui mets la main dans le dos. Je lui dit un truc du genre "bonjour monsieur, ça va ?"
Ensuite, je fais le tour de toute la classe pour serrer les mains. J'interromps donc bien le cours. Il me dit "t'es en meeting ou quoi ?", ce à quoi je réponds : "bah oui, 2012 se prépare maintenant vous savez." Et à la fin ? Il me garde.
Toujours en français, plus tôt dans l'année, je prends une claque dans la tête, bien fort (vous voyez le niveau quoi ). Je demande à mon voisin qui c'est. Ce salaud me dit, alors que c'était en fait le coupable : "c'est lui, sûr, je l'ai vu". Je me retourne, je lui fous une grande baffe. Il n'a rien compris, s'est levé, et a essayé de me frapper, il a même levé la table pour me foutre des coups ce taré. L'air de rien, je la repose, je n'avais pas peur de lui. Les portables étaient déjà en dehors des poches pour une session vidéo, mais trop tard, plus rien à voir.
Il a quand même réussi à nous faire sorti de cours cette fois-là. Je n'ai pas essayé de résister, je suis sorti sans rien dire, normal. L'autre tête de noeud est restée. Mais au final, il m'a quand même rejoint tout en aggravant son cas. Tandis que je racontais mon histoire au pion, ça le faisait marrer.
Voilà, c'est grave hein !
Ok j'essaierai de raconter quelques histoires de lycée si ça t'intéresse. Pour les conneries c'est l'année du bac, je vais chercher une entreprise pour des études en alternance, donc je crains que ce soit à peu près fini pendant les cours. Pour avoir de bons commentaires sur le bulletin. Mais j'en ai profité un maximum les années précédentes. D'ailleurs, troisième trimestre : pas un seul cours d'EPS. On courait comme des cons et ça ne me plaisait pas. On partait avec des copains faire les magasins.
Mais on peut piocher dans les années passées.
L'année dernière, un professeur de français sans aucune autorité avec des cours dans le bruit et le bordel. En gros. Et, à quelques jours des vacances d'été, j'arrive en cours de français, en retard. Quand je dis en retard, c'est 9h40 au lieu de 9h, et ça sonne à moins dix pour la récrée. Sans sac, en touriste. Je toque, j'ouvre la porte. Applaudissements. Je vais voir le prof, je lui mets la main dans le dos. Je lui dit un truc du genre "bonjour monsieur, ça va ?"
Ensuite, je fais le tour de toute la classe pour serrer les mains. J'interromps donc bien le cours. Il me dit "t'es en meeting ou quoi ?", ce à quoi je réponds : "bah oui, 2012 se prépare maintenant vous savez." Et à la fin ? Il me garde.
Toujours en français, plus tôt dans l'année, je prends une claque dans la tête, bien fort (vous voyez le niveau quoi ). Je demande à mon voisin qui c'est. Ce salaud me dit, alors que c'était en fait le coupable : "c'est lui, sûr, je l'ai vu". Je me retourne, je lui fous une grande baffe. Il n'a rien compris, s'est levé, et a essayé de me frapper, il a même levé la table pour me foutre des coups ce taré. L'air de rien, je la repose, je n'avais pas peur de lui. Les portables étaient déjà en dehors des poches pour une session vidéo, mais trop tard, plus rien à voir.
Il a quand même réussi à nous faire sorti de cours cette fois-là. Je n'ai pas essayé de résister, je suis sorti sans rien dire, normal. L'autre tête de noeud est restée. Mais au final, il m'a quand même rejoint tout en aggravant son cas. Tandis que je racontais mon histoire au pion, ça le faisait marrer.
Voilà, c'est grave hein !