[Technologies] PSA a-t-il toujours un train de retard ?
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Economiquement, faire une BVA8 maison, ça n'a pas de sens.
Tous les constructeurs se servent chez des spécialistes et pourtant certains font du volume.
En plus en terme d'image, annoncer une boite Aisin ou ZF, ça rassure plus que d'annoncer une boite PSA.
Tous les constructeurs se servent chez des spécialistes et pourtant certains font du volume.
En plus en terme d'image, annoncer une boite Aisin ou ZF, ça rassure plus que d'annoncer une boite PSA.
Je pense que C TAVARES voulait indiquer que le groupe PSA devait rester dans la compétition technologique en matière de moteurs thermiques, hybrides, PHEV et électriques. En clair, il n'est pas question d'aller acquérir ces technologies chez des concurrents ; en cela, cette stratégie de PSA est complètement différente de celle poursuivie par S Marchionne qui a déclaré au quotidien LE POINT il y a quelques mois que FCA acheterait les techno à la concurrence quand le marché sera mature.
Pour les boites de vitesses, je pense que la BVA8 sera fournie par un équipementier reconnu, certainement AISIN.
Pour les boites de vitesses, je pense que la BVA8 sera fournie par un équipementier reconnu, certainement AISIN.
Il passera à 150cv.
L'EAT 8 vient de chez Aisin, elle était présentée au Mondial de l'Auto, j'en avais discuté avec le responsable de chez Aisin.
L'hybride Essence, avec la 308 R HYbrid qui devra être la première à disposer de la technologie.
C'est la signature avec le groupe Bolloré du 17 juin 2015. Vu que le contrat avec Mitsu n'est pas reconduit.
PSA va fabriquer ses propres véhicules électrique mais aussi produire la Bluesummer, un cabriolet électrique quatre places conçu par Bolloré et doté d’une autonomie de 200 kilomètres en conduite urbaine. Le véhicule sera monté sur le site PSA de Rennes-La Janais (Ille-et-Vilaine) dès septembre 2015.
@fous-des-peugeot : quelques observations :
1/ la famille Pure Tech est clairement amenée à devenir l'offre moteur essence "coeur de gamme" chez PSA, équipant des véhicules des principaux segments de PSA (soit du A jusqu'au D). Une puissance de 150/160ch me semble crédible (l'Argus en a parlé dernièrement) et il n'est pas exclu que des versions encore plus puissantes pointent leur nez : de mémoire, il me semble que la future plateforme CMP n'accueillera que des moteurs 3 cylindres (y compris pour les versions GTI...)
2/ Pour la fourniture de la BVA8 auprès d'AISIN, cela parait également cohérent, compte tenu de l'importance des efforts réciproques accomplis de part et d'autre pour équiper la plupart des modèles actuels de PSA. Par contre, quand on prête attention aux déclarations des dirigeants, il semble que cette BVA8 soit destinée en priorité au marché chinois... C'est un point à surveiller à l'avenir.
3/ Pour la 308 R Hybrid, je pense qu'il faudra attendre le salon de Francfort pour avoir une idée plus précise de la chaine de traction. A titre personnel, je me demande si cette éventuelle version ne sera pas dotée d'un système hybride non PHEV (un système proche de l'Hybrid4), ce qui pourrait expliquer sa commercialisation à court terme...(puisque les véhicules PHEV de PSA sont annoncés pour 2019).
4/ Pour les versions électriques sur véhicules des segments B et C, il s'agit de la 2ème génération de véhicule électrique, dotée d'une plus grande autonomie ; à priori, les 208 II, DS3 II voire 308 II pourraient avoir dans leur gamme un véhicule 100% électrique (comme le fait actuellement VW avec la GOLF e).
1/ la famille Pure Tech est clairement amenée à devenir l'offre moteur essence "coeur de gamme" chez PSA, équipant des véhicules des principaux segments de PSA (soit du A jusqu'au D). Une puissance de 150/160ch me semble crédible (l'Argus en a parlé dernièrement) et il n'est pas exclu que des versions encore plus puissantes pointent leur nez : de mémoire, il me semble que la future plateforme CMP n'accueillera que des moteurs 3 cylindres (y compris pour les versions GTI...)
2/ Pour la fourniture de la BVA8 auprès d'AISIN, cela parait également cohérent, compte tenu de l'importance des efforts réciproques accomplis de part et d'autre pour équiper la plupart des modèles actuels de PSA. Par contre, quand on prête attention aux déclarations des dirigeants, il semble que cette BVA8 soit destinée en priorité au marché chinois... C'est un point à surveiller à l'avenir.
3/ Pour la 308 R Hybrid, je pense qu'il faudra attendre le salon de Francfort pour avoir une idée plus précise de la chaine de traction. A titre personnel, je me demande si cette éventuelle version ne sera pas dotée d'un système hybride non PHEV (un système proche de l'Hybrid4), ce qui pourrait expliquer sa commercialisation à court terme...(puisque les véhicules PHEV de PSA sont annoncés pour 2019).
4/ Pour les versions électriques sur véhicules des segments B et C, il s'agit de la 2ème génération de véhicule électrique, dotée d'une plus grande autonomie ; à priori, les 208 II, DS3 II voire 308 II pourraient avoir dans leur gamme un véhicule 100% électrique (comme le fait actuellement VW avec la GOLF e).
1/ Il n'y a pas de secret, c'est l'avenir ces excellents trois cylindres.
2/ La demande de BVA explose en Chine, le responsable BVA PSA m'avait expliqué que les chinois souhaite démarrer vite au feu et depuis peu, consommer peu!
3/ On verra, mais ce que j'aime sur cette 308 R HYbrid c'est la patte de Peugeot Sport.
L'HY4 est pour moi une excellente base, après 70 000 km avec ce système, je ne m'en lasse pas bien au contraire.
4/ C'est de bon augure, l'électrique est une des offres à ne surtout plus exclure.
2/ La demande de BVA explose en Chine, le responsable BVA PSA m'avait expliqué que les chinois souhaite démarrer vite au feu et depuis peu, consommer peu!
3/ On verra, mais ce que j'aime sur cette 308 R HYbrid c'est la patte de Peugeot Sport.
L'HY4 est pour moi une excellente base, après 70 000 km avec ce système, je ne m'en lasse pas bien au contraire.
4/ C'est de bon augure, l'électrique est une des offres à ne surtout plus exclure.
La société POCLAIN a présenté en novembre 2014, lors du Michelin Bibendum Challenge (MDB) de Chengdu (en Chine là où PSA doit inaugurer sa nouvelle usine en 2016), une chaine de traction 4x4 hydraulique, comportant deux versions : la première avec 2 moteurs hydrauliques placés dans chaque roue AR et la seconde avec 1 seul moteur hydraulique placé au centre de l'essieu AR.
L'intérêt de cette solution est de permettre une solution 4 roues motrices :
- pour un coût raisonnable (le surcoût est estimé à 1.000 E),
- adaptable à toutes les plateformes de véhicules (au moyen de gaines flexibles permettant le transport de l'huile vers les roues AR ou l'essieu AR), sans l'ajout de dispositifs d'électronique de pilotage (l'ESP permettant de détecter les pertes de motricité et d'enclencher le mode 4x4)
- un surpoids limité (de l'ordre de 60kg contre 75/80kg pour un système mécanique),
- avec un impact réduit en terme de CO2 (de l'ordre de 3g de CO2/100 km contre 15g pour une solution classique).
Cette solution, baptisée "Addidrive", est présentée comme la "transmission intégrale low cost", susceptible d'équiper des modèles de constructeurs généralistes pour un coût raisonné, avec l'avantage de les adapter à des conditions de circulation dégradées.
Pour les véhicules, les segments B et C semblent être les cibles privilégiées pour cette technologie.
Pour les marchés, cette technologie semblent destinées aux pays d'Amérique du Sud, d'Afrique/Moyen Orient, Asie et Russie, mais on ne peut pas exclure également les marchés matures tels que l'Europe.
POCLAIN a annoncé en 2014 que cette technologie serait développée à partir de cette année avec un "constructeur généraliste mondial",en vue d'une mise sur le marché en 2017.
Il y a quelques jours, POCLAIN a présenté un véhicule démonstrateur sur la base d'une 208, et a indiqué que "les négociations (avec ce constructeur généraliste) sont très avancées. Nous avons validé l'aspect technique et nous finalisons les aspects juridiques et financiers, comme l'éventuelle exclusivité de notre technologie pendant une certaine période".
J'ai souligné à plusieurs reprises dans les topics consacrés à "X01", "AFRIQUE MOYEN ORIENT", etc... la nécessité pour PSA d'adapter sa gamme de véhicules aux conditions de circulation des zones AMERIQUE DU SUD, AFRIQUE, ASIE et EURASIE, tout en maitrisant le coût des produits proposés.
Il faut espérer que PSA soit le bénéficiaire à court terme de cette technologie, innovante et accessible au plus grand nombre (PSA serait donc bien dans son rôle de constructeur généraliste en permettant au plus grand nombre d'accéder à des véhicules adaptés aux conditions de circulation).
Cette technologie pourrait être adaptée à court terme à bon nombre de ses modèles : ceux de la prochaine génération sur la plateforme CMP mais on peut aussi imaginer le 2008 (sur PF1) qui est actuellement le véhicule le plus mondialisé dans sa production chez PSA.
Sources : USINE NOUVELLE - AUTO ACTU
L'intérêt de cette solution est de permettre une solution 4 roues motrices :
- pour un coût raisonnable (le surcoût est estimé à 1.000 E),
- adaptable à toutes les plateformes de véhicules (au moyen de gaines flexibles permettant le transport de l'huile vers les roues AR ou l'essieu AR), sans l'ajout de dispositifs d'électronique de pilotage (l'ESP permettant de détecter les pertes de motricité et d'enclencher le mode 4x4)
- un surpoids limité (de l'ordre de 60kg contre 75/80kg pour un système mécanique),
- avec un impact réduit en terme de CO2 (de l'ordre de 3g de CO2/100 km contre 15g pour une solution classique).
Cette solution, baptisée "Addidrive", est présentée comme la "transmission intégrale low cost", susceptible d'équiper des modèles de constructeurs généralistes pour un coût raisonné, avec l'avantage de les adapter à des conditions de circulation dégradées.
Pour les véhicules, les segments B et C semblent être les cibles privilégiées pour cette technologie.
Pour les marchés, cette technologie semblent destinées aux pays d'Amérique du Sud, d'Afrique/Moyen Orient, Asie et Russie, mais on ne peut pas exclure également les marchés matures tels que l'Europe.
POCLAIN a annoncé en 2014 que cette technologie serait développée à partir de cette année avec un "constructeur généraliste mondial",en vue d'une mise sur le marché en 2017.
Il y a quelques jours, POCLAIN a présenté un véhicule démonstrateur sur la base d'une 208, et a indiqué que "les négociations (avec ce constructeur généraliste) sont très avancées. Nous avons validé l'aspect technique et nous finalisons les aspects juridiques et financiers, comme l'éventuelle exclusivité de notre technologie pendant une certaine période".
J'ai souligné à plusieurs reprises dans les topics consacrés à "X01", "AFRIQUE MOYEN ORIENT", etc... la nécessité pour PSA d'adapter sa gamme de véhicules aux conditions de circulation des zones AMERIQUE DU SUD, AFRIQUE, ASIE et EURASIE, tout en maitrisant le coût des produits proposés.
Il faut espérer que PSA soit le bénéficiaire à court terme de cette technologie, innovante et accessible au plus grand nombre (PSA serait donc bien dans son rôle de constructeur généraliste en permettant au plus grand nombre d'accéder à des véhicules adaptés aux conditions de circulation).
Cette technologie pourrait être adaptée à court terme à bon nombre de ses modèles : ceux de la prochaine génération sur la plateforme CMP mais on peut aussi imaginer le 2008 (sur PF1) qui est actuellement le véhicule le plus mondialisé dans sa production chez PSA.
Sources : USINE NOUVELLE - AUTO ACTU
Et bien si c'est de l’hydraulique, on n'a pas fini de changer des durites et des pompes... Ceux qui travaillent sur de matériel agricole ou de TP se reconnaitront
C'est sur que sur les scored card, c'est pas cher au montage, mais à l'entretien...
C'est sur que sur les scored card, c'est pas cher au montage, mais à l'entretien...
gros pas en avant du groupe Grono en matière d'innovation moteur @Thomas : pas sûr que PSA soit si en retard que ça.
Sur le Topic CHINE, j'ai signalé en mai dernier que MCE-5 et DONG FENG MOTOR avaient noué un accord pour co-développer une nouvelle famille de moteurs utilisant la technologie VCRI pour être implantée sur les nouvelles plateformes du constructeur chinois, en vue d'une commercialisation avant la fin 2019. INFINITI annonce une commercialisation de son moteur en 2018...
Pour mémoire, il faut se rappeler :
- que MCE-5 a construit son offre moteur autour de 3 cylindres 1.0 T (115ch) et 1.3 T (160ch) et 4 cylindres 1.8 T (220ch) ;
- que DFM participe avec PSA au développement de la prochaine plateforme CMP, et devrait disposer à terme d'EMP2 contre le versement de royalties ;
- que MCE-5 insiste sur la compatibilité de sa techno avec le downsizing, le downspeeding, les motorisations à 2, 3 et 4 cylindres ainsi que l'hybridation ; sa techno est ciblée sur le haut du milieu de gamme et le segment prémium (soit les segments C/D/E et SUV) ; on est dans un cahier des charges qui correspond aux choix et aux discours de PSA ;
- que PSA est partenaire industriel dans ce projet MCE-5 (avec une participation au financement de 6% environ) et dispose également d'une licence d'exploitation non exclusive des brevets pour développer de tels moteurs ;
- que plusieurs anciens cadres PSA ont occupé des fonctions importantes chez MCE-5 : Pascal GILBERT et JM GALES notamment... ;
- que PSA annonce une nouvelle génération de moteurs en 2020 sans donner pour l'instant beaucoup d'indications ; les 1.6/1.8 THP auront d'ici là une ancienneté de 15 ans et devraient parvenir au terme de leur développement, même si PSA semble s'être résolument tourné vers des solutions d'hybridation à court et moyen terme (mild Hybride et Hybride rechargeable) à partir du moteur 1.6 THP.
Il n'est pas impossible que PSA et DFM préparent une nouvelle collaboration dans les moteurs... Mais pour l'instant, seul DFM s'est officiellement positionné en faveur de la techno VCRI.
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Sur le Topic CHINE, j'ai signalé en mai dernier que MCE-5 et DONG FENG MOTOR avaient noué un accord pour co-développer une nouvelle famille de moteurs utilisant la technologie VCRI pour être implantée sur les nouvelles plateformes du constructeur chinois, en vue d'une commercialisation avant la fin 2019. INFINITI annonce une commercialisation de son moteur en 2018...
Pour mémoire, il faut se rappeler :
- que MCE-5 a construit son offre moteur autour de 3 cylindres 1.0 T (115ch) et 1.3 T (160ch) et 4 cylindres 1.8 T (220ch) ;
- que DFM participe avec PSA au développement de la prochaine plateforme CMP, et devrait disposer à terme d'EMP2 contre le versement de royalties ;
- que MCE-5 insiste sur la compatibilité de sa techno avec le downsizing, le downspeeding, les motorisations à 2, 3 et 4 cylindres ainsi que l'hybridation ; sa techno est ciblée sur le haut du milieu de gamme et le segment prémium (soit les segments C/D/E et SUV) ; on est dans un cahier des charges qui correspond aux choix et aux discours de PSA ;
- que PSA est partenaire industriel dans ce projet MCE-5 (avec une participation au financement de 6% environ) et dispose également d'une licence d'exploitation non exclusive des brevets pour développer de tels moteurs ;
- que plusieurs anciens cadres PSA ont occupé des fonctions importantes chez MCE-5 : Pascal GILBERT et JM GALES notamment... ;
- que PSA annonce une nouvelle génération de moteurs en 2020 sans donner pour l'instant beaucoup d'indications ; les 1.6/1.8 THP auront d'ici là une ancienneté de 15 ans et devraient parvenir au terme de leur développement, même si PSA semble s'être résolument tourné vers des solutions d'hybridation à court et moyen terme (mild Hybride et Hybride rechargeable) à partir du moteur 1.6 THP.
Il n'est pas impossible que PSA et DFM préparent une nouvelle collaboration dans les moteurs... Mais pour l'instant, seul DFM s'est officiellement positionné en faveur de la techno VCRI.
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PSA envisage de nouer un partenariat avec une start-up américaine, la société DIVERGENT 3D, spécialisée dans l'impression métal 3D. Une lettre d'intention a été signée dernièrement et les deux entreprises vont étudier de manière plus approfondie le périmètre et les modalités de leur partenariat.
Pour l'instant, il n'est pas évoqué de prise de participation capitalistique.
DIVERGENT 3D cherche à révolutionner l'industrie auto mais aussi la construction navale et aéronautique. L'objectif est de transformer radicalement la conception et la production de véhicules, en réduisant de manière importante l'énergie et la quantité de matériaux utilisée pour la construction d'un véhicule et d'abaisser ainsi son coût de production.
PSA y voit la possibilité d'utiliser de manière plus intensive ces imprimantes 3D dans son coeur de métier de constructeur automobile, avec pour objectif une réduction du poids total des véhicules, une diminution de la complexité de fabrication des modèles et des gains en flexibilité pour la conception.
PSA dispose déjà de certaines de ces machines mais leur utilisation reste limitée aux prototypes.
Yann VINCENT, Directeur industriel de PSA, précise que la prochaine utilisation de cette technologie pourrait être centrée sur la chaine de production en permettant notamment de réparer certaines machines ou robots. A plus longue échéance, elle pourrait servir à produire des véhicules.
Source : L'USINE NOUVELLE
Pour l'instant, il n'est pas évoqué de prise de participation capitalistique.
DIVERGENT 3D cherche à révolutionner l'industrie auto mais aussi la construction navale et aéronautique. L'objectif est de transformer radicalement la conception et la production de véhicules, en réduisant de manière importante l'énergie et la quantité de matériaux utilisée pour la construction d'un véhicule et d'abaisser ainsi son coût de production.
PSA y voit la possibilité d'utiliser de manière plus intensive ces imprimantes 3D dans son coeur de métier de constructeur automobile, avec pour objectif une réduction du poids total des véhicules, une diminution de la complexité de fabrication des modèles et des gains en flexibilité pour la conception.
PSA dispose déjà de certaines de ces machines mais leur utilisation reste limitée aux prototypes.
Yann VINCENT, Directeur industriel de PSA, précise que la prochaine utilisation de cette technologie pourrait être centrée sur la chaine de production en permettant notamment de réparer certaines machines ou robots. A plus longue échéance, elle pourrait servir à produire des véhicules.
Source : L'USINE NOUVELLE
CHALLENGES consacre un article sur l'accord signé entre DFM et la société française MCE-5 cette année, pour l'industrialisation à échéance 2020 d'un moteur essence 4 cylindres à taux de compression variable VCRI. Les gains en consommation et émissions de co2 sont annoncés comme réels (CHALLENGES évoque 30%...).
Comme je l'indiquais précédemment, PSA dispose également d'une licence d'exploitation non exclusive des brevets et il n'est pas impossible que le successeur du 1.6 THP en 2020 (le moteur "Prince" aura alors 15 ans) soit issu d'une nouvelle coopération entre PSA Groupe et DFM.
Comme je l'indiquais précédemment, PSA dispose également d'une licence d'exploitation non exclusive des brevets et il n'est pas impossible que le successeur du 1.6 THP en 2020 (le moteur "Prince" aura alors 15 ans) soit issu d'une nouvelle coopération entre PSA Groupe et DFM.
Je viens de lire l'article sur Challenges.
http://www.challenges.fr/automobile/actu-auto/dongfeng-s-interesse-au-moteur-francais-mce-5_428243
A priori, ce n'est pas certain que Peugeot utilise ce moteur à l'horizon 2020.
Sinon quelques infos intéressantes pour ceux, comme moi, qui ne connaissent pas le moteur à taux de compression variable VCR-i.
http://www.challenges.fr/automobile/actu-auto/dongfeng-s-interesse-au-moteur-francais-mce-5_428243
A priori, ce n'est pas certain que Peugeot utilise ce moteur à l'horizon 2020.
Sinon quelques infos intéressantes pour ceux, comme moi, qui ne connaissent pas le moteur à taux de compression variable VCR-i.
Les moteurs à compression variable donnent un levier de plus pour optimiser le moteur mais le système est une usine à gaz à mettre en œuvre. De plus, pas sûr qu'il soit bien adapté au problèmes spécifiques de l'injection directe ( rumble, supercliquetis...)
Tiens ça sent le vécu ce que tu dis...
C'est vrai que c'est déjà très compliqué sur un moteur à injection directe classique, alors avec un taux de compression variable, ça va être coton à mettre au point...
C'est vrai que c'est déjà très compliqué sur un moteur à injection directe classique, alors avec un taux de compression variable, ça va être coton à mettre au point...
Personnellement, j'ai l'impression que face au reflux du diesel en Europe, les constructeurs vont devoir investir massivement sur le moteur essence pour améliorer son efficience, et explorer des solutions techniques qui jusqu'alors étaient mises de côté pour diverses raisons : coût financier, sophistication excessive, fiabilité, etc...
Pour le moteur essence, en simplifiant un peu, on pourrait donc avoir une alternative : une combinaison thermique et électrique (rechargeable ou non), et cette solution de moteur à taux de compression variable (avec des gains annoncés comme significatifs en puissance, couple et consommation). A ce jour, la majorité des constructeurs penche pour le couple essence/électricité mais on a l'Alliance Renault-Nissan (avec Infiniti) et désormais DFM avec MCE-5 qui ont fait le second choix. PSA semble pour l'instant avoir choisi la 1ère voie, avec l'apparition en 2018/2019 des 1ers modèles PHEV. Mais la question du remplacement du moteur EP va quand même se poser à court terme et il va être nécessaire de faire un arbitrage entre les deux technologies...
Je ne pense pas que la décision de DFM soit fortuite, d'autant plus que l'heure semble être au renforcement de la collaboration technologique avec PSA : participation à la mise au point de la plateforme CMP ainsi que son dérivé électrique e-CMP, accès à EMP2, etc...Et un partage technologique et financier dans la mise au point d'une nouvelle génération de moteurs essence pourrait présenter des avantages pour PSA, qui est à la recherche d'une meilleure efficacité dans ses moyens en R&D...
Pour le moteur essence, en simplifiant un peu, on pourrait donc avoir une alternative : une combinaison thermique et électrique (rechargeable ou non), et cette solution de moteur à taux de compression variable (avec des gains annoncés comme significatifs en puissance, couple et consommation). A ce jour, la majorité des constructeurs penche pour le couple essence/électricité mais on a l'Alliance Renault-Nissan (avec Infiniti) et désormais DFM avec MCE-5 qui ont fait le second choix. PSA semble pour l'instant avoir choisi la 1ère voie, avec l'apparition en 2018/2019 des 1ers modèles PHEV. Mais la question du remplacement du moteur EP va quand même se poser à court terme et il va être nécessaire de faire un arbitrage entre les deux technologies...
Je ne pense pas que la décision de DFM soit fortuite, d'autant plus que l'heure semble être au renforcement de la collaboration technologique avec PSA : participation à la mise au point de la plateforme CMP ainsi que son dérivé électrique e-CMP, accès à EMP2, etc...Et un partage technologique et financier dans la mise au point d'une nouvelle génération de moteurs essence pourrait présenter des avantages pour PSA, qui est à la recherche d'une meilleure efficacité dans ses moyens en R&D...
PSA, Orange et Ericsonn s'associent pour tester la 5G appliquée à l'automobile.
AFP, publié le mercredi 04 janvier 2017 à 09h34
Voiture connectée: PSA, Orange et l'équipementier de télécoms Ericsson vont tester la future technologie mobile 5G appliquée à l'automobile
Le constructeur automobile PSA, l'opérateur Orange et l'équipementier de télécoms Ericsson ont annoncé mercredi, en marge du Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas la signature d'un partenariat afin de tester la future technologie mobile 5G appliquée à l'automobile.
Ces tests, qui se dérouleront sur une piste d'essai située dans l'Hexagone et intégralement équipée en 5G, doivent permettre d'affiner la connectivité entre véhicules et avec d'autres objets connectés, et de mesurer la qualité de cette connexion.
Dans un premier temps, les premiers tests porteront sur le signalement par un premier véhicule vers un second d'un obstacle sur la route ou sur l'alerte lors de l'approche d'un véhicule de secours.
Ils s'inscrivent dans le cadre du déploiement d'un système de transport intelligent (Intelligent transport system, ITS), qui doit permettre d'améliorer la sécurité des véhicules.
"La technologie 5G jouera un rôle majeur dans les systèmes de transport du futur pour les opérateurs et l'industrie automobile. Avec des acteurs clés comme PSA et Orange, nous nous attelons à offrir les niveaux de sécurité et de sûreté requis" pour les véhicules connectés, a expliqué Franck Bouétard, PDG d'Ericsson France, dans un communiqué commun.
"Le véhicule connecté fait partie de nos axes stratégiques dans le domaine de l'internet des objets et les constructeurs nous attendent sur la connectivité pour notamment gérer à distance la maintenance et la mise à jour logicielle des systèmes embarqués", a détaillé Marie-Noëlle Jégo-Lavaissière, directrice exécutive en charge de l'innovation chez Orange.
Il s'agira d'un des tous premiers tests en conditions réelles de services développés pour la 5G embarqués dans des véhicules connectés.
Cet accord s'inscrit dans un grand mouvement de rapprochement entre l'industrie automobile et celle des télécoms en vue de préparer les prochaines générations de véhicules connectées.
En septembre dernier, les constructeurs allemands, Audi, BMW et Daimler se sont associés aux équipementiers télécoms Ericsson, Huawei, Nokia et Qualcomm au sein de la 5G Automotive Association, en vue de travailler au développement de la voiture connectée.
La technologie 5G, prévue pour être disponible commercialement à partir de 2020, doit permettre de connecter tant les humains que les objets en offrant à la fois une faible consommation, un temps de latence très réduit et une importante bande passante afin de répondre à l'ensemble des usages envisagées.
AFP, publié le mercredi 04 janvier 2017 à 09h34
Voiture connectée: PSA, Orange et l'équipementier de télécoms Ericsson vont tester la future technologie mobile 5G appliquée à l'automobile
Le constructeur automobile PSA, l'opérateur Orange et l'équipementier de télécoms Ericsson ont annoncé mercredi, en marge du Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas la signature d'un partenariat afin de tester la future technologie mobile 5G appliquée à l'automobile.
Ces tests, qui se dérouleront sur une piste d'essai située dans l'Hexagone et intégralement équipée en 5G, doivent permettre d'affiner la connectivité entre véhicules et avec d'autres objets connectés, et de mesurer la qualité de cette connexion.
Dans un premier temps, les premiers tests porteront sur le signalement par un premier véhicule vers un second d'un obstacle sur la route ou sur l'alerte lors de l'approche d'un véhicule de secours.
Ils s'inscrivent dans le cadre du déploiement d'un système de transport intelligent (Intelligent transport system, ITS), qui doit permettre d'améliorer la sécurité des véhicules.
"La technologie 5G jouera un rôle majeur dans les systèmes de transport du futur pour les opérateurs et l'industrie automobile. Avec des acteurs clés comme PSA et Orange, nous nous attelons à offrir les niveaux de sécurité et de sûreté requis" pour les véhicules connectés, a expliqué Franck Bouétard, PDG d'Ericsson France, dans un communiqué commun.
"Le véhicule connecté fait partie de nos axes stratégiques dans le domaine de l'internet des objets et les constructeurs nous attendent sur la connectivité pour notamment gérer à distance la maintenance et la mise à jour logicielle des systèmes embarqués", a détaillé Marie-Noëlle Jégo-Lavaissière, directrice exécutive en charge de l'innovation chez Orange.
Il s'agira d'un des tous premiers tests en conditions réelles de services développés pour la 5G embarqués dans des véhicules connectés.
Cet accord s'inscrit dans un grand mouvement de rapprochement entre l'industrie automobile et celle des télécoms en vue de préparer les prochaines générations de véhicules connectées.
En septembre dernier, les constructeurs allemands, Audi, BMW et Daimler se sont associés aux équipementiers télécoms Ericsson, Huawei, Nokia et Qualcomm au sein de la 5G Automotive Association, en vue de travailler au développement de la voiture connectée.
La technologie 5G, prévue pour être disponible commercialement à partir de 2020, doit permettre de connecter tant les humains que les objets en offrant à la fois une faible consommation, un temps de latence très réduit et une importante bande passante afin de répondre à l'ensemble des usages envisagées.
Voitures connectées : PSA rejoint un consortium formé par Toyota et Ford
Les Echos Le 04/01 à 08:54Mis à jour à 09:06
Toyota Ford créent consortium constructeurs PSA équipementiers proposer solutions télématique routière.
Toyota et Ford créent un consortium avec quatre autres constructeurs dont PSA et des équipementiers pour proposer des solutions dans la télématique routière. - Shutterstock
Baptisée "SmartDeviceLink Consortium" la structure vise à donner aux consommateurs plus de choix pour l'accès et le contrôle de leurs applications de smartphones sur la route.
Dans l'automobile, la bataille du software entre constructeurs auto et grands noms de la Silicon Valley a bel et bien commencé. L'enjeu ? Rien moins que la mainmise sur le futur du secteur : les véhicules connectés. C'est pourquoi, pour contrer les assauts d'Apple et Google , Toyota et Ford ont annoncé la formation d'un consortium avec quatre autres constructeurs dont le français PSA.
Cette organisation, baptisée SmartDeviceLink Consortium, entend " donner aux consommateurs plus de choix pour se connecter et contrôler leurs applications de smartphones sur la route ", ont expliqué mercredi les deux groupes dans un communiqué commun, publié à la veille de l'ouverture du salon de technologies CES à Las Vegas.
Le japonais et l'américain ont entamé leur collaboration en 2011. Objectif : élaborer de nouveaux standards de télématique embarquée, avec la volonté de contrer l'influence des groupes high-tech qui ont pris de l'avance en matière de voitures connectées. Ainsi,Toyota a-t-il décidé l'an passé d'installer dans ses véhicules la technologie SmartDeviceLink (SDL) de Livio, une filiale de Ford.
Les deux partenaires franchissent donc aujourd'hui une étape supplémentaire en conviant PSA et trois constructeurs nippons, Mazda Motor, Fuji Heavy Industries (bientôt rebaptisé Subaru du nom de sa marque de voitures) et Suzuki Motor. Les équipementiers Elektrobit, Luxoft et Xevo font aussi partie du consortium.
Ces différentes compagnies espèrent ainsi favoriser une large adoption de la plateforme SDL, construite de manière ouverte (open source), en guise d'alternative aux technologies Android Auto de Google et Apple CarPlay. Ce qui leur permettra, soulignent-elles, de « garder le contrôle sur l'accès aux données du véhicule par les applications ».
Connectivité entre smartphones et interface véhicule
"La connectivité entre les smartphones et l'interface du véhicule est un des enjeux les plus importants. Nous sommes enthousiastes à l'idée de travailler avec de nombreux constructeurs et fournisseurs qui partagent notre conception" a commenté Shigeki Tomoyama, chargé de ce domaine chez Toyota.
Grâce à SDL, l'automobiliste n'a plus à jongler avec le smartphone d'un côté et l'autoradio/GPS de l'autre. Il n'a qu'à connecter son téléphone à sa voiture pour par exemple accéder, via la reconnaissance vocale, l'écran et les commandes de bord, à ses applications mobiles (e-mail, divertissement et informations, météo, trafic, possibilités de stationnement...). Nombre d'autres usages qui exploitent les données du véhicule (kilométrage, échéance de contrôle, etc...) sont aussi possibles.
SOURCE AFP
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/0211657990696-voitures-connectees-psa-rejoint-un-consortium-forme-par-toyota-et-ford-2054455.php#7Whru4PMMh6HxDqU.99
Les Echos Le 04/01 à 08:54Mis à jour à 09:06
Toyota Ford créent consortium constructeurs PSA équipementiers proposer solutions télématique routière.
Toyota et Ford créent un consortium avec quatre autres constructeurs dont PSA et des équipementiers pour proposer des solutions dans la télématique routière. - Shutterstock
Baptisée "SmartDeviceLink Consortium" la structure vise à donner aux consommateurs plus de choix pour l'accès et le contrôle de leurs applications de smartphones sur la route.
Dans l'automobile, la bataille du software entre constructeurs auto et grands noms de la Silicon Valley a bel et bien commencé. L'enjeu ? Rien moins que la mainmise sur le futur du secteur : les véhicules connectés. C'est pourquoi, pour contrer les assauts d'Apple et Google , Toyota et Ford ont annoncé la formation d'un consortium avec quatre autres constructeurs dont le français PSA.
Cette organisation, baptisée SmartDeviceLink Consortium, entend " donner aux consommateurs plus de choix pour se connecter et contrôler leurs applications de smartphones sur la route ", ont expliqué mercredi les deux groupes dans un communiqué commun, publié à la veille de l'ouverture du salon de technologies CES à Las Vegas.
Le japonais et l'américain ont entamé leur collaboration en 2011. Objectif : élaborer de nouveaux standards de télématique embarquée, avec la volonté de contrer l'influence des groupes high-tech qui ont pris de l'avance en matière de voitures connectées. Ainsi,Toyota a-t-il décidé l'an passé d'installer dans ses véhicules la technologie SmartDeviceLink (SDL) de Livio, une filiale de Ford.
Les deux partenaires franchissent donc aujourd'hui une étape supplémentaire en conviant PSA et trois constructeurs nippons, Mazda Motor, Fuji Heavy Industries (bientôt rebaptisé Subaru du nom de sa marque de voitures) et Suzuki Motor. Les équipementiers Elektrobit, Luxoft et Xevo font aussi partie du consortium.
Ces différentes compagnies espèrent ainsi favoriser une large adoption de la plateforme SDL, construite de manière ouverte (open source), en guise d'alternative aux technologies Android Auto de Google et Apple CarPlay. Ce qui leur permettra, soulignent-elles, de « garder le contrôle sur l'accès aux données du véhicule par les applications ».
Connectivité entre smartphones et interface véhicule
"La connectivité entre les smartphones et l'interface du véhicule est un des enjeux les plus importants. Nous sommes enthousiastes à l'idée de travailler avec de nombreux constructeurs et fournisseurs qui partagent notre conception" a commenté Shigeki Tomoyama, chargé de ce domaine chez Toyota.
Grâce à SDL, l'automobiliste n'a plus à jongler avec le smartphone d'un côté et l'autoradio/GPS de l'autre. Il n'a qu'à connecter son téléphone à sa voiture pour par exemple accéder, via la reconnaissance vocale, l'écran et les commandes de bord, à ses applications mobiles (e-mail, divertissement et informations, météo, trafic, possibilités de stationnement...). Nombre d'autres usages qui exploitent les données du véhicule (kilométrage, échéance de contrôle, etc...) sont aussi possibles.
SOURCE AFP
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/0211657990696-voitures-connectees-psa-rejoint-un-consortium-forme-par-toyota-et-ford-2054455.php#7Whru4PMMh6HxDqU.99
Les démonstrateurs communicants du Groupe PSA seront présents au Salon In&Out, le 14 mars, à Rennes.
http://www.forum-peugeot.com/partenariat-entre-groupe-psa-qualcomm-avance/
http://www.forum-peugeot.com/partenariat-entre-groupe-psa-qualcomm-avance/
Des nouvelles du MCE-5.
http://www.autoactu.com/?page=2&id_actu=29446&from_id_part=
http://www.autoactu.com/?page=2&id_actu=29446&from_id_part=
Des moteurs à compression variable MCE 5 sur les routes chinoises d’ici 2021-2022
La technologie exclusive de moteurs VCRi à "variation de taux de compression continue" de la société d’ingénierie française MCE 5 sera mise sur le marché fin 2021 début 2022 en Chine avec Dongfeng Motors. L’entreprise négocie actuellement avec deux autres grands constructeurs avec qui elle espère signer en 2019.
La technologie exclusive de moteurs VCRi à "variation de taux de compression continue" de la société d’ingénierie française MCE 5 sera mise sur le marché fin 2021 début 2022 en Chine avec Dongfeng Motors. L’entreprise négocie actuellement avec deux autres grands constructeurs avec qui elle espère signer en 2019.
L
LeRoucky
Invité
Depuis 2014 et les nouvelles 308, 3008, 508 et aujourd'hui 208 et 2008 vous pensez toujours que Peugeot est à la traine ???
La 308 est un peu en dehors du jeu par manque de nouveauté marquante lors du restyling. (notamment instrumentation de bord)
3008 et 5008 sont plutot bien placées dans leurs segments. Nouvelle 208 et 2008 sont plutôt innovantes sur leur segment. 508 se démarque avec le Night Vision pas trop présent sur ce segment. Mais la concurrence est tres aiguisée sur ce segment.
3008 et 5008 sont plutot bien placées dans leurs segments. Nouvelle 208 et 2008 sont plutôt innovantes sur leur segment. 508 se démarque avec le Night Vision pas trop présent sur ce segment. Mais la concurrence est tres aiguisée sur ce segment.
