[Alliance] Fusion PSA - FCA - Stellantis
- Démarrée par Autober
- Date de début
J'apprends que Stellantis et Mercedes sont condamnés à payer des amendes en Corée du sud(et rappeler les véhicules incriminés), pour falsification de moteurs diesel pour certains de leurs modèles vendus là-bas 
A noter que côté Stellantis celà ne concernerait que deux modèles vendus par ex-FCA(Jeep Cherokee et Fiat Freemont)
Encore un cadeau empoisonné de Sergio Marchionne
A noter que côté Stellantis celà ne concernerait que deux modèles vendus par ex-FCA(Jeep Cherokee et Fiat Freemont)
Encore un cadeau empoisonné de Sergio Marchionne
http://www.guideautoweb.com/articles/62014/fiat-cette-grande-enigme/
Article intéressant: que compte faire Stellantis de Fiat en région Amérique du Nord
Une relance, ou alors la remplacer tout bonnement par Alfa Romeo
Article intéressant: que compte faire Stellantis de Fiat en région Amérique du Nord
Une relance, ou alors la remplacer tout bonnement par Alfa Romeo
C'est dingue comment les médias français font passer la venue de 200 ouvriers italiens(issus des usines FIAT)à Vesoul comme le dernier des scandales 
Où est le problème ce sont des ouvriers employés du groupe Stellantis, qui vont travailler dans une usine Stellantis
En plus, depuis quand les syndicats(CGT en tête)prennent la "défense" des intérimaires
Où est le problème
ce sont des ouvriers employés du groupe Stellantis, qui vont travailler dans une usine Stellantis En plus, depuis quand les syndicats(CGT en tête)prennent la "défense" des intérimaires
C'est dingue comment les médias français font passer la venue de 200 ouvriers italiens(issus des usines FIAT)à Vesoul comme le dernier des scandales
Où est le problème
En plus, depuis quand les syndicats(CGT en tête)prennent la "défense" des intérimaires
Stellantis Vesoul résonne encore intérim . Avec Stellantis , une page s'est tournée avec le nombre d'intérimaires présent sur les sites.
La mesure de faire travailler du personnel Stellantis ne me choque pas , pardon de le dire , reste qaund même un volant d'intérim sur le site .
Environ 300.
Le pic d'intérim que l'on a pu observer les années passées chez PSA sauf suractivté dans les années qui viennent serait plûtot derrière qu'à venir .
C'est dingue comment les médias français font passer la venue de 200 ouvriers italiens(issus des usines FIAT)à Vesoul comme le dernier des scandales
Où est le problème
En plus, depuis quand les syndicats(CGT en tête)prennent la "défense" des intérimaires
La presse locale ER Belfort Montbéliard indique aujourd'hui que Stellantis vesoul a de nouveau fait appel à une centaine d'intérimaires jusqu'à fin novembre en raison d'une charge de travail élevée mais aussi une adaptation du personnel italien plus lente que prévue et des renforts de Sochaux et Mulhouse qui ne sont pas encore au rendez-vous. Concernant Sochaux , la charge est également élevée .
Oui c'est une tempête dans un verre d'eau. Il est assez naturel que les salariés de l'entreprise soient prioritaires sur les intérimaires sur des missions de renfort, quand bien même ils viennent de l'étranger.
Ce sont des pratiques courantes dans l'industrie.
Ce sont des pratiques courantes dans l'industrie.
Effectivement rien de choquant si ce n'est que les équipes production Stellantis Vesoul n'étaient pas préparées a ce genre de situation d'où les << râleurs >> . Dans le compte rendu de la presse ER 10 novembre 21 article de Eléonore Tournier, apparement il y eu beaucoup de précipitation sans impact préalable . Avec la petite reprise d'intérimaires , on mesure une partie de cette décision << bâclée>>. La charge de travail n'est pas venue toute seule , le nombre de salariès suceptibles de venir était a peu près connu ( comprendre ceux qui avaient confirmé leur venue puisque d'après l' ER , la totalité des 200 n'est pas encore là ainsi que des salariés de Sochaux et Mulhouse.)
Lu à l'instant sur Le Blog Auto: Chrysler va quitter le marché australien(où seule la berline 300 était encore en vente théorique)
Avec ce fait, il n'y aura désormais plus aucune voiture de la marque américaine de Stellantis produite avec volant à droite, puisque Carlos Tavarès avait décidé en début d'année qu'elle ne se vendrait plus qu'en Amérique du Nord(aux côtés de Dodge et RAM)
C'est quand même un pan de l'histoire internationale de Chrysler qui disparaît
On se souvient encore de Chrysler Europe(Talbot/Simca)il y'a plusieurs décénies
Avec ce fait, il n'y aura désormais plus aucune voiture de la marque américaine de Stellantis produite avec volant à droite, puisque Carlos Tavarès avait décidé en début d'année qu'elle ne se vendrait plus qu'en Amérique du Nord(aux côtés de Dodge et RAM)
C'est quand même un pan de l'histoire internationale de Chrysler qui disparaît
On se souvient encore de Chrysler Europe(Talbot/Simca)il y'a plusieurs décénies
Comme celle ci ...
On espère que l'histoire de cette merveille ne va pas s'arrêter là.
Le salon de Bruxelles 2022, qui aurait vu toutes les marques du groupe Stellantis participer(avec sûrement des premières)...annulé à son tour 
Mais du coup quel salon public pour la présentation des Fiat Ulysse/Scudo ou encore du nouvel Opel Movano ??
Mais du coup quel salon public pour la présentation des Fiat Ulysse/Scudo ou encore du nouvel Opel Movano ??
Le coût de l'électrification pour la filière auto "dépasse les limites"-Tavares
REUTERS | Le 01/12/21 à 13:21 | Mis à jour le 01/12/21 à 13:29
Le coût de lélectrification pour la filière auto dépasse les limites-Tavares | Crédits photo : Stellantis Communication
par Joseph White
DETROIT, 1er décembre (Reuters) - Le directeur général de Stellantis a mis en garde contre la pression extérieure exercée sur les constructeurs automobiles pour qu'ils accélèrent le passage au tout électrique car elle risque de menacer l'emploi et la qualité des véhicules en raison du surcoût de production de cette technologie.
Les gouvernements et les investisseurs veulent une accélération de la transition vers la voiture électrique, mais à un coût qui "dépasse les limites" de ce que la filière automobile peut encaisser, a prévenu Carlos Tavares dans une interview publiée mercredi à l'occasion du sommet Reuters Next.
"Ce qui a été décidé, c'est d'imposer à l'industrie automobile une électrification qui ajoute 50% de coûts additionnels à un véhicule conventionnel", a-t-il déclaré. "Il est impossible que nous répercutions 50% de coûts additionnels au consommateur final, parce que la majeure partie de la classe moyenne ne sera pas capable de payer."
Les constructeurs peuvent augmenter leurs tarifs et vendre moins de voitures, ou accepter de voir leurs marges baisser, a poursuivi le directeur général du groupe né de la fusion entre PSA et FCA. Deux options qui conduisent toutes deux à réduire la voilure, et les responsables syndicaux en Europe et en Amérique du Nord craignent plusieurs milliers de pertes d'emplois.
Carlos Tavares a plaidé pour que les constructeurs automobiles se voient octroyer le temps dont ils ont besoin pour tester et s'assurer du bon fonctionnement de cette nouvelle technologie. Accélérer au contraire ce processus "sera simplement contre-productif. Il entraînera des problèmes de qualité. Il conduira à toutes sortes de problèmes."
Pour éviter de devoir tailler dans ses effectifs, Stellantis travaille à améliorer sa productivité à un rythme bien plus rapide que la norme du secteur. "Au cours de cinq prochaines années, nous devons digérer 10% de productivité par an (..) dans une industrie habituer à délivrer (des gains de) 2 à 3% de productivité", a poursuivi Carlos Tavares.
"L'avenir nous dira qui sera en mesure de digérer cela, et qui n'y parviendra pas. Nous sommes en train de pousser l'industrie à ses limites."
PRESSION POLITIQUE ET PRESSION BOURSIÈRE
Les coûts de production des véhicules électriques sont appelés à baisser, mais pas du jour au lendemain. Les analystes s'attendent à ce que la parité de coûts entre une voiture électrique à batterie et un modèle à moteur thermique soit atteinte au milieu de la décennie.
Comme les autres constructeurs historiques pour lesquels les moteurs essence et diesel contribuent encore largement aux résultats, Stellantis est confrontée à une concurrence inédite de la part de "pure players" de l'électrique, comme le nouvel entrant Tesla ou la start-up Rivian.
Les deux californiens restent bien plus petits en termes de volumes de ventes et d'effectifs, mais la Bourse leur donne des valorisations de marché supérieures aux acteurs historiques, notamment Stellantis, pourtant désormais le numéro quatre mondial du secteur et propriétaire de très rentables franchises de SUV ou de pick-ups comme Jeep ou Ram.
Cette pression des investisseurs vient s'ajouter à celle des gouvernements soucieux de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
L'Union européenne et la Californie figurent parmi les régions du monde désireuses d'interdire les ventes de véhicules à moteur thermique d'ici 2035. Le Royaume-Uni veut même aller encore plus vite, avec une date butoir en 2030 pour le passage au tout électrique.
Selon Carlos Tavares, les responsables politiques devraient aussi mettre l'accent sur la décarbonation du secteur de l'énergie et sur le développement des infrastructures de recharge.
Créé début 2021, Stellantis est en bonne voie pour atteindre son objectif de cinq milliards d'euros de synergies en rationalisant ses opérations, a poursuivi le directeur général du groupe franco-italo-américain.
Il a accéléré le développement des modèles électriques au sein du constructeur, promettant d'investir 30 milliards d'euros d'ici 2025 dans des nouvelles architectures de véhicules, des usines de batteries, l'approvisionnement en matières premières et les nouvelles technologies.
Stellantis a annoncé mardi avoir investi dans une start-up américaine de batteries dites "solides", Factorial, conjointement avec le groupe allemand Daimler.
"Nous pouvons investir davantage et nous enraciner plus profondément encore dans la chaîne de valeur. Il pourrait y avoir à l'avenir d'autres (investissements)", a ajouté Carlos Tavares.
REUTERS | Le 01/12/21 à 13:21 | Mis à jour le 01/12/21 à 13:29
Le coût de lélectrification pour la filière auto dépasse les limites-Tavares | Crédits photo : Stellantis Communication
par Joseph White
DETROIT, 1er décembre (Reuters) - Le directeur général de Stellantis a mis en garde contre la pression extérieure exercée sur les constructeurs automobiles pour qu'ils accélèrent le passage au tout électrique car elle risque de menacer l'emploi et la qualité des véhicules en raison du surcoût de production de cette technologie.
Les gouvernements et les investisseurs veulent une accélération de la transition vers la voiture électrique, mais à un coût qui "dépasse les limites" de ce que la filière automobile peut encaisser, a prévenu Carlos Tavares dans une interview publiée mercredi à l'occasion du sommet Reuters Next.
"Ce qui a été décidé, c'est d'imposer à l'industrie automobile une électrification qui ajoute 50% de coûts additionnels à un véhicule conventionnel", a-t-il déclaré. "Il est impossible que nous répercutions 50% de coûts additionnels au consommateur final, parce que la majeure partie de la classe moyenne ne sera pas capable de payer."
Les constructeurs peuvent augmenter leurs tarifs et vendre moins de voitures, ou accepter de voir leurs marges baisser, a poursuivi le directeur général du groupe né de la fusion entre PSA et FCA. Deux options qui conduisent toutes deux à réduire la voilure, et les responsables syndicaux en Europe et en Amérique du Nord craignent plusieurs milliers de pertes d'emplois.
Carlos Tavares a plaidé pour que les constructeurs automobiles se voient octroyer le temps dont ils ont besoin pour tester et s'assurer du bon fonctionnement de cette nouvelle technologie. Accélérer au contraire ce processus "sera simplement contre-productif. Il entraînera des problèmes de qualité. Il conduira à toutes sortes de problèmes."
Pour éviter de devoir tailler dans ses effectifs, Stellantis travaille à améliorer sa productivité à un rythme bien plus rapide que la norme du secteur. "Au cours de cinq prochaines années, nous devons digérer 10% de productivité par an (..) dans une industrie habituer à délivrer (des gains de) 2 à 3% de productivité", a poursuivi Carlos Tavares.
"L'avenir nous dira qui sera en mesure de digérer cela, et qui n'y parviendra pas. Nous sommes en train de pousser l'industrie à ses limites."
PRESSION POLITIQUE ET PRESSION BOURSIÈRE
Les coûts de production des véhicules électriques sont appelés à baisser, mais pas du jour au lendemain. Les analystes s'attendent à ce que la parité de coûts entre une voiture électrique à batterie et un modèle à moteur thermique soit atteinte au milieu de la décennie.
Comme les autres constructeurs historiques pour lesquels les moteurs essence et diesel contribuent encore largement aux résultats, Stellantis est confrontée à une concurrence inédite de la part de "pure players" de l'électrique, comme le nouvel entrant Tesla ou la start-up Rivian.
Les deux californiens restent bien plus petits en termes de volumes de ventes et d'effectifs, mais la Bourse leur donne des valorisations de marché supérieures aux acteurs historiques, notamment Stellantis, pourtant désormais le numéro quatre mondial du secteur et propriétaire de très rentables franchises de SUV ou de pick-ups comme Jeep ou Ram.
Cette pression des investisseurs vient s'ajouter à celle des gouvernements soucieux de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
L'Union européenne et la Californie figurent parmi les régions du monde désireuses d'interdire les ventes de véhicules à moteur thermique d'ici 2035. Le Royaume-Uni veut même aller encore plus vite, avec une date butoir en 2030 pour le passage au tout électrique.
Selon Carlos Tavares, les responsables politiques devraient aussi mettre l'accent sur la décarbonation du secteur de l'énergie et sur le développement des infrastructures de recharge.
Créé début 2021, Stellantis est en bonne voie pour atteindre son objectif de cinq milliards d'euros de synergies en rationalisant ses opérations, a poursuivi le directeur général du groupe franco-italo-américain.
Il a accéléré le développement des modèles électriques au sein du constructeur, promettant d'investir 30 milliards d'euros d'ici 2025 dans des nouvelles architectures de véhicules, des usines de batteries, l'approvisionnement en matières premières et les nouvelles technologies.
Stellantis a annoncé mardi avoir investi dans une start-up américaine de batteries dites "solides", Factorial, conjointement avec le groupe allemand Daimler.
"Nous pouvons investir davantage et nous enraciner plus profondément encore dans la chaîne de valeur. Il pourrait y avoir à l'avenir d'autres (investissements)", a ajouté Carlos Tavares.
Intéressant cet article ; Tavares sent peut-être le vent tourner (ou qu'il ne va pas tourner finalement 
)...
Source :
https://www.moniteurautomobile.be/actu-auto/environnement/litalie-oppose-fin-thermique-2035.html
)...Source :
https://www.moniteurautomobile.be/actu-auto/environnement/litalie-oppose-fin-thermique-2035.html
Et aussi lancer trois nouvelles plateformes technologiques pour ses quatre futurs "chassis" 
http://www.mac4ever.com/mobilite/16...aymo-bmw-et-une-revolution-logicielle-a-venir
http://www.mac4ever.com/mobilite/16...aymo-bmw-et-une-revolution-logicielle-a-venir
Ouverture des premiers showrooms Stellantis qui vont présenter presque la totalité des marques du groupe
Bizarre que DS et Alfa-Romeo soient représentés, alors que les marques premium du groupe doivent faire "bande à part" en concession
http://pro.largus.fr/actualites/ste...marques-dans-un-showroom-commun-10795390.html
Bizarre que DS et Alfa-Romeo soient représentés, alors que les marques premium du groupe doivent faire "bande à part" en concession
http://pro.largus.fr/actualites/ste...marques-dans-un-showroom-commun-10795390.html
Ouverture des premiers showrooms Stellantis qui vont présenter presque la totalité des marques du groupe
Bizarre que DS et Alfa-Romeo soient représentés, alors que les marques premium du groupe doivent faire "bande à part" en concession
http://pro.largus.fr/actualites/ste...marques-dans-un-showroom-commun-10795390.html
Il est bien indiqué que : Quant à DS, Lancia, voire Maserati, celles-ci devraient cohabiter dans un showroom premium.
Une date à retenir: le 1er mars 2022, jour où Carlos Tavarès va nous présenter l'avenir à long terme de Stellantis 
A ce sujet, une chose m'interpelle: si l'on connaît une (grande)partie du plan produit à venir pour les marques européennes du groupe, ce n'est pas du tout le cas pour les marques américaines(Chrysler et Dodge en tête)
A ce sujet, une chose m'interpelle: si l'on connaît une (grande)partie du plan produit à venir pour les marques européennes du groupe, ce n'est pas du tout le cas pour les marques américaines(Chrysler et Dodge en tête)
Une date à retenir: le 1er mars 2022, jour où Carlos Tavarès va nous présenter l'avenir à long terme de Stellantis
A ce sujet, une chose m'interpelle: si l'on connaît une (grande)partie du plan produit à venir pour les marques européennes du groupe, ce n'est pas du tout le cas pour les marques américaines(Chrysler et Dodge en tête)
C'est attendu .
