Oui y'a que marcel60 pour péter de rire.
Tiens là, je vais te répondre....sérieusement
Je t'avais répondu au tout début, toi qui te posait des questions sur ton avenir et je t'avais dit à l'époque que tu avais un métier tout trouvé de part des facultés indéniables d'écriture, c'était le journalisme et je pense que tu les as toujours
Maintenant que tu dis que ton discours n'a jamais été pris au sérieux, je pense que non, cf le suivi de tes posts
Quant à dire le mépris que l'on a envers toi, je vais te répondre par un "comment dit on" (que j'aime bien...)
"à force de cracher en l'air, forcément un jour ça te retombe sur la gueule" et là, c'est imagé mais c'est ce qui t'arrive aujourd'hui et ne t'en prend pas aux "autres" qui ont tort forcément.......mais à toi même....
Après il faut assumer et comme tu dis...tu es jeune et ben profites en bien pour changer il te reste encore "un peu de temps peut être" pour le faire
signé: le
de service qui ne sait plus conduire, y connaît plus son code de la route....etc...etc...enfin bref en attendant tu dois sûrement avoir raison
Forcément, je ne suis pas vraiment d'accord avec le constat, le placement des "causes et effets"... Mais merci pour ta réponse.
Après avoir été sympathique, tu as été très "violent" à une époque en disant que je faisais l'idéologie de la vitesse et en demandant mon bannissement et que l'on m'ignore. Pourtant, quand bien même j'en ferais l'idéologie, ce n'est pas interdit en soi.
Aussi, je n'ai jamais dit que tu étais "un papi qui ne savait pas conduire", je ne ramène pas mes "constats" à une personne en particulier. Je ne t'ai jamais vu conduire. Comme vous pour moi, ce qui ne vous empêche pas d'en faire des thèses ! Mais bon, il vaut mieux pas en ce moment que vous me voyiez conduire.
Quant au journalisme, je n'ai pas la prétention d'avoir le niveau pour cela. En politique, ce serait bien peut être, si je n'ai pas l'esprit formaté de ceux qui sortent de "leurs grandes écoles". Peu sortent réellement du lot et d'une idéologie commune. Cela ne me tente pas, je crois. Mais pour un magazine automobile "haut de gamme" et pour conduire des voitures formidables, ce serait génial.
Mais comme vous avez peut-être pu le voir dans le grand pavé que peu ont lu à cause de la longueur, il semblerait que j'ai trouvé, au moins pour quelques années, ma voie. Le métier que je voulais faire depuis mes 8 ans. Je suis reparti sur cette idée première. Aller dans ma passion pouvait être à double-tranchant, terriblement décevant ou blasant, et j'en avais conscience. Il semblerait que la satisfaction et le soulagement d'avoir trouvé quelque chose qui plait et que l'on aime vivre, soit au rendez-vous.
Le problème c'est juste l'image que tu donnes de toi même sur internet (ne te connaissant pas personnellement je ne peux que spéculer sur ton comportement dans la vrais vie).
Tu veux aller boire un verre ?
Cette année, j'ai fait le salon de l'automobile avec un membre de ce forum. Il faudrait lui demander ce qu'il en pense, mais je ne crois pas que ce serait comme tu dis.
Tu donnes l'image d'une personne qui méprise les autres (surtout ceux qui te paraissent inférieurs, car inversement tu envies tes supérieurs) qui est à la fois pleins de certitudes et de préjugés
.
Si ça correspond à ta personnalité pas de soucis
. Si ce n'est pas ta personnalité... essayes de changer ton image sur internet
.
Il y a forcément, au moins une part de ma personnalité. Je ne joue pas un jeu. On m'avait dit, ici-même, que cela me jouerait des tours dans la vie et professionnellement. Exact, je le dis avec plaisir, vous avez eu raison.
L'année dernière, j'étais stagiaire dans une banque. Cela ne s'est pas mal passé, au niveau du travail, ni avec les collègues ! Mais je ne me sentais pas épanoui dans cette vie de bureau, ce milieu austère et assez spécial. Par contre, j'ai attendu la fin pour dire à la directrice d'agence ses 4 vérités, c'est là qu'elle est devenue toute rouge et s'est mise en colère. J'étais fier que le trou du cul de jeune stagiaire que j'étais ait eu "l'outrecuidance de lui dire ce que même ses employés n'oseraient jamais lui dire". Au final, j'ai fait plaisir à ceux qui ne pouvaient pas se le permettre. Quand elle m'a "remercié", elle m'a quand même dit qu'elle m'aimait bien et me souhaitait de réussir. J'ai également envoyé un mail à l'assistante de direction, avec copie au directeur de secteur. Les collègues ont fait tourner entre eux. En somme, j'ai foutu ma petite merde dans une entreprise à l'ambiance faux-cul qui avait besoin d'un peu d'action.
J'aurais pu respecter les normes, prendre sur moi, et avoir un avenir à la banque. Ne plus me bouger une fois installé dans un relatif confort, dans une certaine sécurité. Et passer à côté de ma vie... ? La suite des événements, les hasards de la vie, ne me font rien regretter et me montrent que j'ai eu raison. Car ça oblige à se défoncer par derrière. Mais, l'honneur est sauf et l'esprit léger !
Mais provocateur plus que méprisant. Je ne le suis pas. Ou par "hypersensibilité".
Tu sais bien qu'avec certaines de tes réponses, moqueries et smileys, tu as montré forme de mépris également ! J'essaie de me remettre en cause quand je me rends compte de mes préjugés rapides sur les gens. Mais tout le monde en a. Par contre, ça m'intéresserait beaucoup de savoir comment tu en es arrivé à cette conclusion : "surtout ceux qui te paraissent inférieurs, car inversement tu envies tes supérieurs" ?
Car j'en suis déjà arrivé à comprendre cela de moi ! Ce grand paradoxe. Il est vrai qu'il n'est pas rare que j'admire ceux que je pense "supérieurs" à moi. Si je ne suis rien à côté mais qu'ils peuvent être un modèle. Par contre, envieux ne veut pas dire jaloux !
Bon week-end.