[Actualité] PSA en Iran

un accord final a été trouvé aujourd'hui. Celà constitue une note géopolitique positive.
 

Peugeot a repris les discussions avec son partenaire Iran Khodro en vue d'un accord pour un redémarrage industriel et commercial.
Les Echos.
 

lion25, le 14 /07 /2015 tu a écris
un accord final a été trouvé aujourd'hui. Celà constitue une note géopolitique positive.


Ce matin le 15/07/2015 tu écris ça

Peugeot a repris les discussions avec son partenaire Iran Khodro en vue d'un accord pour un redémarrage industriel et commercial.
Les Echos.

Comprend pas :confused:
 

Il parlait de l'accord général sur l'embargo en Iran le 14/07 et le 15/07 la reprise des négociations pour le cas Peugeot.
Enfin j'imagine
 

Il parlait de l'accord général sur l'embargo en Iran le 14/07 et le 15/07 la reprise des négociations pour le cas Peugeot.
Enfin j'imagine

Je pense que tu as raison, j'ai mal interprété le message :whistle:
 

Peugeot a repris les discussions avec son partenaire Iran Khodro en vue d'un accord pour un redémarrage industriel et commercial.
Les Echos.
A ma connaissance le partenaire Khodro a continué de produire sans PSA pendant les années d'embargo (voir un reportage sur l'usine).
A mon avis les discussions sont pas simples pour revenir dans la course :whistle: .
 

lion25, le 14 /07 /2015 tu a écris

Ce matin le 15/07/2015 tu écris ça

Peugeot a repris les discussions avec son partenaire Iran Khodro en vue d'un accord pour un redémarrage industriel et commercial.
Les Echos.

Comprend pas :confused:

Discussions préliminaires afin d'être prêt dès la levée des sanctions .
Plusieurs entreprises françaises sont dans ce cas , beaucoup de pays se bousculent pour obtenir un part des contrats potentiels.
Un premier accord a été signé avec un partenaire privé pour la distribution de DS en Iran. Source USINE NOUVELLE.
 

Depuis l'accord conclu entre les grandes puissances et l'IRAN, la presse se fait l'écho du retour de PSA en IRAN.
Comme je l'ai indiqué plus haut, ce retour industriel et commercial semble rencontrer de multiples difficultés :

1/ la levée des sanctions va être progressive et doit s'accompagner d'un travail important des autorités politiques sur les structures économiques et juridiques, notamment avec le rétablissement des circuits de financement et d'assurance et les modèles juridiques d'association entre constructeurs locaux et étrangers;

2/ l'industrie automobile est à construire complètement, avec non seulement des constructeurs mais aussi des équipementiers et fournisseurs. Les autorités iraniennes souhaitent créer une véritable industrie automobile, sur un modèle différent de ce qui existait auparavant : l'assemblage de pièces détachées (CKD) va céder la place à des accords de coopération avec des partenaires locaux, qui seront étendus non seulement aux constructeurs étrangers mais aussi selon toute probabilité aux équipementiers et fournisseurs ;

3/ pour PSA, le choix d'un partenaire fiable va être essentiel, compte tenu de la santé financière actuelle du groupe. Ce retour en IRAN va impliquer des investissements (certes en partie partagés compte tenu des probables accords de joint-venture) qui devront être correctement dimensionnés au marché iranien à court et moyen terme ; les déboires commerciaux du groupe en RUSSIE (avec une usine de production) et en AMERIQUE LATINE (avec trois usines) doivent inciter à une certaine prudence.

4/ la marque devra également renouveler son offre de véhicules, pour conserver son avance sur le marché iranien, mais également pour faire face à de nouveaux concurrents notamment chinois, voire américains ; une concurrence sur les seuls prix risque d'être redoutable et pourrait réserver de mauvaises surprises... Il devient urgent d'accélérer le développement d'une gamme X01 à partir de la plateforme CMP pour proposer des véhicules plus compétitifs en terme de prix, sans dénaturer l'image de la marque.

5/ C TAVARES a souligné les critiques importantes dont le groupe PSA faisait l'objet en IRAN, dans la presse mais aussi de la part de son "partenaire historique" IRAN KHODRO. Pour la première fois, la presse mentionne que PSA pourrait se tourner vers un autre partenaire si les négociations actuelles s'éternisaient...

Ces différents éléments incitent à être prudent sur la rapidité du retour de PSA en IRAN.

Sources : LES ECHOS - LA TRIBUNE - USINE NOUVELLE
 

La compétition franco-française en IRAN semble s'amorcer, avec l'information parue dans le Wall Street Journal selon laquelle RENAULT pourrait acquérir une participation minoritaire au capital de son partenaire PARS KHODRO, et négocierait l'achat d'installations industrielles.
Il sera intéressant de suivre la méthode RENAULT, qui semble être différente de celle de PSA qui s'est engagé sur une proposition de partenariat type Joint-Venture, similaire à ce qui existe en CHINE (avec DPCA).

Par ailleurs, M. FABIUS doit se rendre le 29 juillet prochain en IRAN, afin d'engager une démarche de coopération bilatérale entre la FRANCE et l'IRAN, dans le contexte de l'après Traité conclu à VIENNE.
On pourra observer à cette occasion si les négociations entre PSA et IRAN KHODRO prennent une bonne orientation et si certaines difficultés sont en passe d'être résolues.
 

C TAVARES a annoncé aujourd'hui qu'un premier partenariat avait été signé pour la distribution de la marque DS en IRAN. PSA et ce partenaire sont maintenant en phase d'exécution.
Pour la marque PEUGEOT, des négociations se poursuivent avec plusieurs autres partenaires, toujours dans une logique de création d'une co-entreprise.

Source : LES ECHOS
 

C TAVARES a annoncé aujourd'hui qu'un premier partenariat avait été signé pour la distribution de la marque DS en IRAN. PSA et ce partenaire sont maintenant en phase d'exécution.
Pour la marque PEUGEOT, des négociations se poursuivent avec plusieurs autres partenaires, toujours dans une logique de création d'une co-entreprise.

Source : LES ECHOS

le retour en Iran s'annonce difficile avec Iran Khodro . On comprend mieux pourquoi le groupe cherche d'autre voie .
Iran Khodro ne souhaite plus être partenaire de PSA : source FRANCE 3 francetvinfo Franche COmté Haute Saône Vesoul "psa les négociations
avec l'iran s'annoncent difficiles".
 

Confirmation que la situation est plus délicate pour PSA que pour Renault en Iran
déclaration de L Fabius :

ICI :

http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL5N10A1P7201 50730
 

lien foiré.

Le bon lien : http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL5N10A1P720150730

Fallait pas rajouter www . Un copier coller est un copier coller. Mais tu ne sembles toujours pas savoir les faire.
 

lien foiré.

Le bon lien : http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL5N10A1P720150730

Fallait pas rajouter www . Un copier coller est un copier coller. Mais tu ne sembles toujours pas savoir les faire.

Rectifié. Toujours est-il que la situation est compliquée pour PSA , on espère en tout cas que les discussions ne traînent pas trop en longueur pour le groupe afin de ne pas être pénaliser par un retard par rapport à la concurrence.
 

Le point essentiel est de savoir si Iran Khodro a la volonté réelle d'entrer dans un nouveau type de partenariat avec PEUGEOT ou s'ils ont déjà noué une alliance avec un concurrent...
PSA s'étant retiré brutalement d'IRAN, on peut comprendre que les iraniens, confrontés à l'époque à des difficultés importantes, ont été amenés à tirer certaines conclusions sur la qualité de leur partenaire français...
Pour PSA, la question est de savoir si les autres interlocuteurs sont des candidats sérieux, avec un acquis industriel, un savoir-faire et une capacité à financer des investissements qui vont être importants...
Il n'en reste pas moins que l'IRAN, qui s'ouvre au monde et notamment le monde chinois, ne peut pas ignorer la qualité du partenariat qui a été noué entre PSA et DONG FENG, avec les résultats que l'on connait aujourd'hui pour les deux entreprises.
 

Quelques informations sur l'IRAN :

1/ IRAN KHODRO aurait signé tout dernièrement un partenariat avec le groupe DAIMLER BENZ pour la production de véhicules en commun, et le groupe allemand s'est dit prêt à investir également dans une unité de production de moteurs diesel.

2/ Le Ministre de l'industrie iranien a demandé aux constructeurs de son pays de ne plus se fournir en pièces détachées chinoises, en raison de leur mauvaise qualité et de l'arrivée prochaine d'autres constructeurs.
On sait que IRAN KHODRO a été contraint de se tourner vers la Chine pour continuer à produire des modèles PEUGEOT à la suite du retrait de PSA en 2012...

3/ Certains milieux iraniens évoquent une indemnité de 1 milliard de dollars à réclamer à PSA en réparation du préjudice subi par Iran Khodro, consécutivement à la rupture unilatérale des relations à l'initiative de PSA...
Pour mémoire, si Iran Khodro s'est trouvé confronté à de grandes difficultés en 2012, il a néanmoins aussi continué à assembler et à commercialiser des véhicules de la marque PEUGEOT, sans reverser quoi que ce soit au groupe PSA...
La visite de M FABIUS en juillet dernier ne semble pas avoir permis de lever les difficultés, et il n'est pas à exclure que les négociations entre PSA et Iran Khodro soient également parasitées par la position française lors des négociations du Traité de Vienne, et par l'attitude favorable de la France vis à vis des monarchies du Golfe.

Sources : Agence FNA - BOURSORAMA
 

Source Boursorama : PSA négocie son retour mais le contexte est plus difficile que prévu . Le groupe Renault négocie une implantation industrielle avec des plates formes low cost et ultra low cost ( pas avant 2019 CHEZ PSA selon l'article de boursorama ) modernisées pour marchés émergents et une somme bancaire bloquée sur place .
 

PSA rêve des pays émergents, mais le groupe a t-il vraiment les modèles pour percer sur ces marchés ?
A travers cette information sur l'avance présumée de RENAULT sur un retour en IRAN, on voit bien que l'Alliance RENAULT/NISSAN et au-delà les principaux constructeurs mondiaux sont bien mieux armés que PSA, avec notamment des plateformes plus compétitives, des groupes motopropulseurs plus diversifiés, et des gammes de modèles adaptés aux spécificités de ces marchés.
Chez PSA, on n'a pas de modèles B entry, pas de SUV de type DUSTER, pas de SUV de franchissement, pas de Pick Up... RENAULT a présenté cette année un dérivé pick up du DUSTER et vient de révéler un concept de pick up plus imposant pour le Salon de Francfort. D'un côté, on a des discours et des ambitions, de l'autre côté on se dote des moyens de ses ambitions...
C TAVARES a souhaité une transmission 4x4 pour le groupe, JC QUEMARD directeur de la zone AFRIQUE MOYEN ORIENT a clairement indiqué que la gamme actuelle n'était pas pleinement opérationnelle pour l'AFRIQUE...
Il faut espérer que PSA réagisse et constitue une véritable gamme pour pays émergents, pour accroitre sa présence sur ces nouveaux marchés.
 

C TAVARES a annoncé que les premiers exemplaires de la gamme DS étaient livrés ce mois-ci en IRAN.
Un show room DS sera également ouvert à TEHERAN au 1er semestre 2016.
S'agissant du retour de la marque PEUGEOT, les négociations sont toujours en cours mais sont menées dans un climat difficile pour les représentants de la marque française.
 

Deux informations sur l'iRAN :

1/ M PICAT confirme les difficultés d'un retour rapide en IRAN, tout en précisant que la marque ne sera pas dans une course aux volumes...
Il y a peu, PSA estimait pouvoir atteindre son niveau d'avant l'embargo, soit entre 400 et 450.000 véhicules vendus par an.
Source : Auto Info

2/ Alors que les autorités iraniennes semblent décider à compliquer le retour de PSA en IRAN, une campagne portée par les réseaux sociaux et repris par certains organes de presse dénonce les constructeurs iraniens et leurs produits jugés trop chers, peu qualitatifs et dangereux.
Le mouvement a pris une certaine ampleur au point que le Ministre de l'Industrie a estimé cette campagne de "contre-revolutionnaire" et de nature à "porter atteinte à l'économie et la production nationale".
Les consommateurs visent notamment une voiture coréenne, la Pride, dont la conception remonte à 30 ans et qui serait impliqué dans beaucoup d'accidents.
En parallèle, ce mouvement réclame l'ouverture du marché automobile à la concurrence et au retour des constructeurs étrangers.
Un mouvement à suivre de près pour PSA, qui devra tenir compte d'un budget automobile limité pour la majorité des iraniens (dont le pouvoir d'achat a en moyenne baissé de 40% au cour des 3 dernières années) pour proposer des produits adaptés.
Source : Auto addict
 

LE MONDE a consacré le week-end dernier un article sur le "pari iranien des entreprises françaises".
Un élément essentiel de la concrétisation du retour des entreprises françaises en IRAN va consister à ré-organiser des circuits financiers entre l'IRAN et l'étranger.
L'accord du 14 juillet dernier ne règle pas toutes les difficultés, notamment dans les domaines juridiques et financiers.

Il faut souligner deux points importants :
1/ Les banques françaises, échaudées par l'amende infligée par la justice américaine à BNP PARIBAS en 2014 (8 milliards d'euros), sont pour l'instant réticentes à accompagner les entreprises françaises dans leur projet d'investissement en IRAN.

2/ Plusieurs analystes estiment que l'IRAN pourrait rencontrer des difficultés à financer sa modernisation industrielle, même si la levée de l'embargo devrait s'accompagner pour le pays de l'accession à ses avoirs financiers jusque là gelés par les sanctions internationales.
En conséquence, PSA devra apporter également des solutions de financement pour son retour en IRAN et bien étudier ses partenaires financiers ; il n'est pas exclu qu'une partie des financements soient plus internationaux (ex : sources française et chinoise).
 

CHALLENGES croit savoir que PSA entend mettre les autorités iraniennes devant leurs responsabilités et faire le point publiquement de l'état des négociations dans les 15 prochains jours.
Malgré les visites effectuées par JC QUEMARD en IRAN et l'implication de C TAVARES dans ce dossier, les négociations avec IRAN KHODRO et les autorités iraniennes semblent dans l'impasse.
D'après le journal, PSA souhaiterait être fixé sur les réelles intentions de l'IRAN quant à son retour dans le pays.
Pour information, le Président iranien sera en visite en FRANCE au cours du mois de novembre prochain.
 

CHALLENGES croit savoir que PSA entend mettre les autorités iraniennes devant leurs responsabilités et faire le point publiquement de l'état des négociations dans les 15 prochains jours.
Malgré les visites effectuées par JC QUEMARD en IRAN et l'implication de C TAVARES dans ce dossier, les négociations avec IRAN KHODRO et les autorités iraniennes semblent dans l'impasse.
D'après le journal, PSA souhaiterait être fixé sur les réelles intentions de l'IRAN quant à son retour dans le pays.
Pour information, le Président iranien sera en visite en FRANCE au cours du mois de novembre prochain.

Plusieurs griefs sont avancées par les autorités iraniennes pour justifier leur position vis à vis de Peugeot par rapport à son concurrent Renault qui lui aurait continuer à livrer des pièces détachées d'après l'article de Challenges.
Est-ce que les deux situations sont comparables :confused:
Quels étaient les points d'embargo dans la chaine industrielle pour que PSA arrête et Renault puisse continuer?
Difficile de se faire un idée plus précise du fait que je n'ai jamais lu le moindre début d'explication sur ce point précis.
Visiblement PSA trouve le temps long vu que les reproches paraissent aller au delà de la conformité à un embargo international toujours selon l'article de Challenges.
 

Alors en réfléchissant.... Au moins 0,45 secondes [:cerruti] .
PSA avait entamé une alliance sérieuse avec GM...............et je te laisse le soin de finir ma phrase :eek: .
 

D'après les médias iraniens (Agence de presse Mehr et Press TV), M Hachem Yekke-Zare, directeur général d'IRAN KHODRO, a déclaré dimanche dernier qu'un accord avec PSA avait été finalisé, sur la base d'une joint venture à 50/50, comme indiqué à plusieurs reprises sur ce topic.
On ne connait pas encore tous les détails de cet accord mais il semble acquis :
- que l'offre de modèles sera complètement rajeunie et adaptée au marché iranien (style et technologie) et de la zone concernée;
- qu'il sera procédé à la construction à court et moyen terme de plusieurs unités de production, avec un rajeunissement et une extension du réseau commercial ;
- que PSA et IRAN KHODRO devront exporter au moins 30% de cette production effectuée sur le sol iranien en direction de la Russie mais aussi l'Azerbaidjan, l'Arménie, l'Ouzbekistan, le Turkménistan, l'Irak,etc...Cet engagement correspond à la volonté des autorités iraniennes de construire une véritable industrie automobile exportatrice au sein de la zone Moyen-Orient.

La position de PSA que j'avais indiquée il y a quelques jours, a visiblement permis de faire avancer les choses.
Il n'y a pour l'instant aucune confirmation de la part de PSA ni aucun écho dans la presse française et européenne.
Comme je le précisais dernièrement, la visite du Président iranien en France au cours du mois de novembre pourrait être l'occasion d'officialiser cet accord.

Sources : BOURSORAMA - Agence MEHR
 

D'après les médias iraniens (Agence de presse Mehr et Press TV), M Hachem Yekke-Zare, directeur général d'IRAN KHODRO, a déclaré dimanche dernier qu'un accord avec PSA avait été finalisé, sur la base d'une joint venture à 50/50, comme indiqué à plusieurs reprises sur ce topic.
On ne connait pas encore tous les détails de cet accord mais il semble acquis :
- que l'offre de modèles sera complètement rajeunie et adaptée au marché iranien (style et technologie) et de la zone concernée;
- qu'il sera procédé à la construction à court et moyen terme de plusieurs unités de production, avec un rajeunissement et une extension du réseau commercial ;
- que PSA et IRAN KHODRO devront exporter au moins 30% de cette production effectuée sur le sol iranien en direction de la Russie mais aussi l'Azerbaidjan, l'Arménie, l'Ouzbekistan, le Turkménistan, l'Irak,etc...Cet engagement correspond à la volonté des autorités iraniennes de construire une véritable industrie automobile exportatrice au sein de la zone Moyen-Orient.

La position de PSA que j'avais indiquée il y a quelques jours, a visiblement permis de faire avancer les choses.
Il n'y a pour l'instant aucune confirmation de la part de PSA ni aucun écho dans la presse française et européenne.
Comme je le précisais dernièrement, la visite du Président iranien en France au cours du mois de novembre pourrait être l'occasion d'officialiser cet accord.

Sources : BOURSORAMA - Agence MEHR

Les modèles parfois cités étaient : 208 - 2008 - 301 .
 

- que PSA et IRAN KHODRO devront exporter au moins 30% de cette production effectuée sur le sol iranien en direction de la Russie mais aussi l'Azerbaidjan, l'Arménie, l'Ouzbekistan, le Turkménistan, l'Irak,etc...Cet engagement correspond à la volonté des autorités iraniennes de construire une véritable industrie automobile exportatrice au sein de la zone Moyen-Orient.
Euh PSA a déjà une usine en Russie.. et comment dire :whistle: ... elle est pas vraiment surchargée :ange: .
 


La RUSSIE est un pays immense avec des contraintes de logistique très importantes.
Je pense que la démarche de PSA est de maintenir sa participation à KADUNA et d'assurer une production pour les régions de MOSCOU/SAINT PETERSBOURG (la "russie européenne").
Pour les autres régions notamment le sud de la RUSSIE, il n'est pas absurde de penser importer depuis l'IRAN (avec des coûts de production plus faibles) des véhicules qui pourraient être adaptés à des marchés qui pourraient être assez semblables.
Il n'est pas exclu que RUSSIE et IRAN (et d'autres pays de la région) prévoient un abaissement des droits de douane pour favoriser et développer les échanges commerciaux entre les deux pays.