Dans ces comptes, les modèles conçus sur une plateforme en collaboration ne sont pas comptés. Donc pas de 108, de 4008 ou de Bipper.
La signature de ce protocole de cession de 52ha du site de Rennes La Janais entre PSA et trois collectivités (Région, Conseil Général d'Ille et Vilaine, Rennes Métropole) permet quelques remarques :
1/ Côté PSA, cet accord s'inscrit dans la logique du volet industriel du Plan "Back in the Race", avec la volonté de faire émerger des usines plus compactes, en libérant du foncier au profit de fournisseurs/partenaires ou des pouvoirs publics (soit par la vente soit par des locations ou mises à disposition de surfaces) et en partageant les coûts fixes (taxes foncières, assurances, entretien), etc...
2/ Côté pouvoirs publics, ceux-ci ont compris que les sites industriels étaient en compétition entre eux pour l'attribution de nouveaux modèles (avec en jeu la pérennité des usines et de l'emploi à court/moyen terme), ce qui les conduit à s'impliquer directement ou indirectement pour améliorer la "compétitivité du site".
On a pu constater que PSA avait choisi de privilégier les sites de SOCHAUX et MULHOUSE (appelés à être spécialisés dans les véhicules des segments C et D), en raison notamment de leur situation géographique au plus près du coeur de l'Europe avec la possibilité de bénéficier des mêmes fournisseurs et des conditions identiques d'approvisionnement que les constructeurs allemands. L'un des défauts de l'usine de RENNES est son éloignement du marché européen avec les coûts induits en résultant (logistique, transports, etc...)
La même démarche d'implication des collectivités a été constatée lors de l'attribution au printemps dernier des moteurs EB Pure Tech à l'usine de TREMERY.
3/ Ce protocole a pour effet de modifier certaines décisions industrielles qui avaient été annoncées il y a plusieurs mois au sujet du successeur du 5008 : alors qu'il était question d'organiser l'approvisionnement de certaines pièces du remplaçant du 5008 depuis l'usine de SOCHAUX vers RENNES, PSA a pris l'engagement de maintenir l'activité de deux sous-traitants sur le site de La Janais, ce qui devrait permettre de gagner en efficacité.
La signature de ce protocole de cession de 52ha du site de Rennes La Janais entre PSA et trois collectivités (Région, Conseil Général d'Ille et Vilaine, Rennes Métropole) permet quelques remarques :
1/ Côté PSA, cet accord s'inscrit dans la logique du volet industriel du Plan "Back in the Race", avec la volonté de faire émerger des usines plus compactes, en libérant du foncier au profit de fournisseurs/partenaires ou des pouvoirs publics (soit par la vente soit par des locations ou mises à disposition de surfaces) et en partageant les coûts fixes (taxes foncières, assurances, entretien), etc...
2/ Côté pouvoirs publics, ceux-ci ont compris que les sites industriels étaient en compétition entre eux pour l'attribution de nouveaux modèles (avec en jeu la pérennité des usines et de l'emploi à court/moyen terme), ce qui les conduit à s'impliquer directement ou indirectement pour améliorer la "compétitivité du site".
On a pu constater que PSA avait choisi de privilégier les sites de SOCHAUX et MULHOUSE (appelés à être spécialisés dans les véhicules des segments C et D), en raison notamment de leur situation géographique au plus près du coeur de l'Europe avec la possibilité de bénéficier des mêmes fournisseurs et des conditions identiques d'approvisionnement que les constructeurs allemands. L'un des défauts de l'usine de RENNES est son éloignement du marché européen avec les coûts induits en résultant (logistique, transports, etc...)
La même démarche d'implication des collectivités a été constatée lors de l'attribution au printemps dernier des moteurs EB Pure Tech à l'usine de TREMERY.
3/ Ce protocole a pour effet de modifier certaines décisions industrielles qui avaient été annoncées il y a plusieurs mois au sujet du successeur du 5008 : alors qu'il était question d'organiser l'approvisionnement de certaines pièces du remplaçant du 5008 depuis l'usine de SOCHAUX vers RENNES, PSA a pris l'engagement de maintenir l'activité de deux sous-traitants sur le site de La Janais, ce qui devrait permettre de gagner en efficacité.
Ne pas oublier que 5008 aura une déclinaison Opel (enfin normalement ).1/ PSA vise un seuil de rentabilité pour l'usine de RENNES de 100.000 véhicules par an.
L'objectif fixé pour le projet P87 (qui sera industrialisé à partir d'octobre 2016) est une production annuelle de 70.000 voitures (à comparer aux 40/50.000 5008 produits lors des meilleures années...), le surplus étant assuré pour un temps par les actuelles générations de 508 (dont la remplaçante sera assemblée à MULHOUSE à partir de fin 2016) et de C5 (qui ne semble pas être remplacée en Europe).
Au-delà, il y a effectivement une interrogation, avec pour l'instant aucun autre véhicule attribué à RENNES.
Lion25 n'est pas de cet avis.... la Bluesummer est un futur hit de CitroënLes volumes de la Bolloré Bluesummer ne permettront pas d'atteindre le seuil de 100.000 véhicules annuels.
Ne pas oublier que 5008 aura une déclinaison Opel (enfin normalement ).
Lion25 n'est pas de cet avis.... la Bluesummer est un futur hit de Citroën
Ne pas oublier que 5008 aura une déclinaison Opel (enfin normalement ).
On s'y perd avec ces vrais faux clones .
Oui si les ouvriers Français sont payés au même prix qu'un Chinois.... le pire c'est que le patronat Français n'a même plus honte de le direIl s'agirait d'un véhicule qui sera industrialisé et commercialisé d'abord en CHINE à la fin 2017
....
La décision définitive de la direction de PSA n'est pas encore prise et les "meilleures conditions de compétitivité" devront être recherchées dans les mois qui viennent pour accueillir ce nouveau modèle.
Les ECHOS évoquent la possibilité de l'attribution d'un nouveau véhicule sur le site de RENNES LA JANAIS pour la fin 2018.
L'information a été rendue publique à l'issue du comité d'entreprise par certains syndicats.
Il s'agirait d'un véhicule qui sera industrialisé et commercialisé d'abord en CHINE à la fin 2017 pour être ensuite disponible en EUROPE en fin d'année 2018 (où il sera également produit).
La décision définitive de la direction de PSA n'est pas encore prise et les "meilleures conditions de compétitivité" devront être recherchées dans les mois qui viennent pour accueillir ce nouveau modèle.
Pour mémoire, le point mort de l'usine est désormais fixé à 100.000 véhicules par an.
P87 (successeur de l'actuel 5008) sera produit à compter de 2017 à RENNES et assurera un volume annuel de 70.000 unités.
Ce nouveau véhicule devrait permettre d'atteindre ce seuil de production.