05/03/2013 | Mise à jour : 17:57 source JOURNAL de l'AUTO
"Pas de décision en 2013" sur une prime de conversion du diesel (Montebourg)
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi qu'il n'y aurait "pas de décision en 2013" du gouvernement sur une éventuelle prime de conversion pour aider au remplacement des voitures diesel les plus polluantes.
Interrogé, lors d'une visite du salon automobile de Genève, sur la possibilité d'instaurer une telle prime, M. Montebourg a répondu qu'il n'y aura "pas de décision en 2013".
"Le problème de santé publique lié au diesel est derrière nous et non pas devant nous, c'est un problème lié au parc ancien de véhicules diesel", a argumenté le ministre, qui a aussi réfuté l'idée d'augmenter la taxe sur le diesel en France, plus avantageuse que celle sur l'essence.
"Ce n'est pas à l'ordre du jour", a-t-il assuré.
Le parc automobile de l'Hexagone a connu depuis une vingtaine d'années une très forte "diesélisation" et la part des voitures roulant au gazole atteint aujourd'hui 59,8% mais ce type de motorisation est aujourd'hui remis en cause pour son impact sur la santé.
Les points de vue divergent entre d'un côté les ministres de l'Ecologie Delphine Batho, et celle du Logement, la Verte Cécile Duflot, qui mettent en avant les 40.000 décès annuels dus aux particules fines, et de l'autre leur collègue du Redressement productif Arnaud Montebourg, soucieux d'éviter des mesures qui privilégieraient les voitures construites à l'étranger.
© 2013 AFP
"Pas de décision en 2013" sur une prime de conversion du diesel (Montebourg)
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a assuré mardi qu'il n'y aurait "pas de décision en 2013" du gouvernement sur une éventuelle prime de conversion pour aider au remplacement des voitures diesel les plus polluantes.
Interrogé, lors d'une visite du salon automobile de Genève, sur la possibilité d'instaurer une telle prime, M. Montebourg a répondu qu'il n'y aura "pas de décision en 2013".
"Le problème de santé publique lié au diesel est derrière nous et non pas devant nous, c'est un problème lié au parc ancien de véhicules diesel", a argumenté le ministre, qui a aussi réfuté l'idée d'augmenter la taxe sur le diesel en France, plus avantageuse que celle sur l'essence.
"Ce n'est pas à l'ordre du jour", a-t-il assuré.
Le parc automobile de l'Hexagone a connu depuis une vingtaine d'années une très forte "diesélisation" et la part des voitures roulant au gazole atteint aujourd'hui 59,8% mais ce type de motorisation est aujourd'hui remis en cause pour son impact sur la santé.
Les points de vue divergent entre d'un côté les ministres de l'Ecologie Delphine Batho, et celle du Logement, la Verte Cécile Duflot, qui mettent en avant les 40.000 décès annuels dus aux particules fines, et de l'autre leur collègue du Redressement productif Arnaud Montebourg, soucieux d'éviter des mesures qui privilégieraient les voitures construites à l'étranger.
© 2013 AFP