*Blagues* [Le rire est le propre du forum]
- Démarrée par ailys
- Date de début
G
Guest
Invité
Une girafe mange tranquillement quand entre ces pattes un escargot
passe.
- La girafe : "bonjour chef" s'exclame t'elle.
L'escargot entend mais ne prête pas attention et continue son
chemin.....
Un hippopotame dans un lac voit l'escargot.
- L'hippopotame : "bonjour chef" s'exclame t'il
L'escargot surpris et lui qu'il n'ai pas chef et continue son
chemin.....
Plus tard il croise le roi des animaux le lion pareil
- Le lion : "bonjour chef" s'exclame t'il
Et là l'escargot excédé : MAIS je ne suis pas chef
- Le lion lui répondit : Bin oui, tu mouilles, tu rases le sol et t'as
pas de couilles.
:W
passe.
- La girafe : "bonjour chef" s'exclame t'elle.
L'escargot entend mais ne prête pas attention et continue son
chemin.....
Un hippopotame dans un lac voit l'escargot.
- L'hippopotame : "bonjour chef" s'exclame t'il
L'escargot surpris et lui qu'il n'ai pas chef et continue son
chemin.....
Plus tard il croise le roi des animaux le lion pareil
- Le lion : "bonjour chef" s'exclame t'il
Et là l'escargot excédé : MAIS je ne suis pas chef
- Le lion lui répondit : Bin oui, tu mouilles, tu rases le sol et t'as
pas de couilles.
:W
On peut aussi comparer une entreprise à un arbre rempli de singes.
Ceux du haut sont les chefs et donc dominent de leur supériorité géographique leurs subalternes. Lorsqu'ils regardent vers le bas, ils voient les visages des singes du bas.
Ceux du bas, lorsqu'ils regardent vers le haut, voient des trous du cul.
Désolé.
mb.
Ceux du haut sont les chefs et donc dominent de leur supériorité géographique leurs subalternes. Lorsqu'ils regardent vers le bas, ils voient les visages des singes du bas.
Ceux du bas, lorsqu'ils regardent vers le haut, voient des trous du cul.
Désolé.
mb.
Entretien d'embauche - fonctionnaire
> > >
> > > Le drh : - Bonjour, asseyez-vous et parlez-moi de vous.
> > > Le candidat fonctionnaire : je dois vous informer que je suis
handicapé.
> > > Le drh : - Grave ?
> > > Le candidat : - J'ai sauté sur une mine et j'ai perdu mes couilles.
> > > Le drh : - Cela n'a pas d'importance, vous commencez lundi, les
horaires
> > sont 8h-16h mais vous, vous venez pour 10H.
> > > Le candidat : - Je ne veux pas de traitement de faveur, je souhaite
> > commencer dès 8 heures, comme les autres.
> > > Le drh : - Ne vous en faites pas, nous arrivons à 8 heures mais,
> > > jusqu'à 10 heures, on se gratte les couilles devant la machine à café
> > >
> > > Le drh : - Bonjour, asseyez-vous et parlez-moi de vous.
> > > Le candidat fonctionnaire : je dois vous informer que je suis
handicapé.
> > > Le drh : - Grave ?
> > > Le candidat : - J'ai sauté sur une mine et j'ai perdu mes couilles.
> > > Le drh : - Cela n'a pas d'importance, vous commencez lundi, les
horaires
> > sont 8h-16h mais vous, vous venez pour 10H.
> > > Le candidat : - Je ne veux pas de traitement de faveur, je souhaite
> > commencer dès 8 heures, comme les autres.
> > > Le drh : - Ne vous en faites pas, nous arrivons à 8 heures mais,
> > > jusqu'à 10 heures, on se gratte les couilles devant la machine à café
G
Guest
Invité
très bonne Bob
Jonathan Pluriendlavie
7 rue d'en haut
99 627 Au fond
Caisse d'assurance Maladie
99 515 Trifouilly les oies
Monsieur,
Vous trouverez, ci-dessous, l'explication de faits qui se sont déroulés la semaine dernière, sur mon lieu de travail. Je devais descendre un stock de briques qui était resté au dernier étage d'un immeuble sur lequel je travaille.
Pour m'économiser des efforts, j'ai fixé un madrier avec une poulie en haut du bâtiment, puis j'ai passé une corde dans la gorge de la poulie, la corde étant assez longue pour toucher le sol par chacun de ses bouts. J'ai attaché un baril vide au bout de la corde, puis je l'ai monté en haut du bâtiment. Ensuite j'ai attaché l'autre bout de la corde à un arbre pour que le baril reste suspendu dans les airs. Là, je suis monté sur le toit, puis j'ai rempli le baril de briques.
Ensuite je suis retourné en bas pour détacher la corde de l'arbre, afin de faire descendre ce satané de baril. Mais le p*tain de baril était bien trop lourd pour moi et avant que je réalise quoi que ce soit, voilà le baril qui descend d'un seul coup, et par la même occasion, qui me monte en l'air d'un seul coup. Comme je n'avais pas lâché la corde, à la moitié du chemin, j'ai rencontré cette m*rde de baril qui descendait: j'ai alors reçu un énorme de coup sur l'épaule... Qu'est-ce que ça m'a fait mal!!! Mais c'est pas tout: ensuite, j'ai continué à monter. Rendu en haut, je me suis éclaté la tête sur ce bon sang de m... de madrier, et au même moment, je me prends les doigts dans la poulie! J'ai cru perdre connaissance à cause de la douleur à ce moment là. Quand le baril toucha terre, son fond a éclaté, libérant les briques. Du coup, il n'y avait plus assez de poids pour me retenir en haut du bâtiment. C'est pour ça que je suis redescendu comme une masse. Comme la première fois, j'ai croisé le tonneau qui cette fois-ci montait. Là, je l'ai reçu en plein dans ma jambe. Ça m'a encore fait un mal de chien. Arrivé en bas, je me suis complètement vautré sur le tas de briques. Je pensais mourir sur place, et comme j'étais tout étourdi, sans m'en rendre compte, j'ai lâché la corde.4 secondes plus tard, j'ai reçu un énorme coup sur la tête, et c'est comme ça que je me suis retrouvé à l'hôpital.
C'est pour cette raison que j'ai l'honneur de vous demander un mois de congés maladie
mb.
7 rue d'en haut
99 627 Au fond
Caisse d'assurance Maladie
99 515 Trifouilly les oies
Monsieur,
Vous trouverez, ci-dessous, l'explication de faits qui se sont déroulés la semaine dernière, sur mon lieu de travail. Je devais descendre un stock de briques qui était resté au dernier étage d'un immeuble sur lequel je travaille.
Pour m'économiser des efforts, j'ai fixé un madrier avec une poulie en haut du bâtiment, puis j'ai passé une corde dans la gorge de la poulie, la corde étant assez longue pour toucher le sol par chacun de ses bouts. J'ai attaché un baril vide au bout de la corde, puis je l'ai monté en haut du bâtiment. Ensuite j'ai attaché l'autre bout de la corde à un arbre pour que le baril reste suspendu dans les airs. Là, je suis monté sur le toit, puis j'ai rempli le baril de briques.
Ensuite je suis retourné en bas pour détacher la corde de l'arbre, afin de faire descendre ce satané de baril. Mais le p*tain de baril était bien trop lourd pour moi et avant que je réalise quoi que ce soit, voilà le baril qui descend d'un seul coup, et par la même occasion, qui me monte en l'air d'un seul coup. Comme je n'avais pas lâché la corde, à la moitié du chemin, j'ai rencontré cette m*rde de baril qui descendait: j'ai alors reçu un énorme de coup sur l'épaule... Qu'est-ce que ça m'a fait mal!!! Mais c'est pas tout: ensuite, j'ai continué à monter. Rendu en haut, je me suis éclaté la tête sur ce bon sang de m... de madrier, et au même moment, je me prends les doigts dans la poulie! J'ai cru perdre connaissance à cause de la douleur à ce moment là. Quand le baril toucha terre, son fond a éclaté, libérant les briques. Du coup, il n'y avait plus assez de poids pour me retenir en haut du bâtiment. C'est pour ça que je suis redescendu comme une masse. Comme la première fois, j'ai croisé le tonneau qui cette fois-ci montait. Là, je l'ai reçu en plein dans ma jambe. Ça m'a encore fait un mal de chien. Arrivé en bas, je me suis complètement vautré sur le tas de briques. Je pensais mourir sur place, et comme j'étais tout étourdi, sans m'en rendre compte, j'ai lâché la corde.4 secondes plus tard, j'ai reçu un énorme coup sur la tête, et c'est comme ça que je me suis retrouvé à l'hôpital.
C'est pour cette raison que j'ai l'honneur de vous demander un mois de congés maladie
mb.
D'avance, pardon à nos lecteurs qui passent leurs vacances au Club Med ...
C'est une femme qui s'assied dans l'avion qui la ramène chez elle après un séjour d'une semaine au Club Med :
-" Aaaaaaaaaaah, enfin réunis !", dit-elle.
Son voisin, un peu surpris, lui demande :
-" C'est à moi que vous parlez?"
-"Non, à mes genoux..."
mb.
C'est une femme qui s'assied dans l'avion qui la ramène chez elle après un séjour d'une semaine au Club Med :
-" Aaaaaaaaaaah, enfin réunis !", dit-elle.
Son voisin, un peu surpris, lui demande :
-" C'est à moi que vous parlez?"
-"Non, à mes genoux..."
mb.
Le jeune Cédric se réveille en pleine nuit et il entend du bruit qui émane de la chambre de ses parents.
Il se lève discrètement et va observer la scène intime.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, il demande à maman :
- Pourquoi tu rebondissais sur Papa, hier ?
La mère, gênée, improvise :
- Tu sais, comme Papa a un gros ventre, je saute dessus pour le faire maigrir !
Le bambin réfléchit deux secondes et dit :
- Ça ne marchera jamais !
Sa maman, amusée, lui demande :
- Et pourquoi, ça ne marcherait pas selon toi, Cédric ?
Le bambin explique :
- Parce que quand tu vas faire les courses, le samedi après-midi, il y a une dame qui vient et qui regonfle Papa.
Il se lève discrètement et va observer la scène intime.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, il demande à maman :
- Pourquoi tu rebondissais sur Papa, hier ?
La mère, gênée, improvise :
- Tu sais, comme Papa a un gros ventre, je saute dessus pour le faire maigrir !
Le bambin réfléchit deux secondes et dit :
- Ça ne marchera jamais !
Sa maman, amusée, lui demande :
- Et pourquoi, ça ne marcherait pas selon toi, Cédric ?
Le bambin explique :
- Parce que quand tu vas faire les courses, le samedi après-midi, il y a une dame qui vient et qui regonfle Papa.
Un jeune garçon demande à sa mère :
- Est-ce que les dindes ont des seins ?
- Non, répond sa mère.
Le garçon :
- Ben, pourtant, papa a dit à la femme de ménage qu'elle avait des plus beaux seins que sa dinde.
- Est-ce que les dindes ont des seins ?
- Non, répond sa mère.
Le garçon :
- Ben, pourtant, papa a dit à la femme de ménage qu'elle avait des plus beaux seins que sa dinde.
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