La zone EURASIE est constituée essentiellement de la Russie, de l'Ukraine, du Kazakhstan, de la Bielorussie, de la Géorgie, de l'Ouzbekistan.
Elle est dirigée par Christophe BERGERAND depuis juillet 2014.
PSA est présent sur le principal marché de la zone, la Russie, grâce à une usine d'assemblage située à Kaluga, construite et détenue en partenariat avec Mitsubishi.
Hors Russie, PSA est également dans une logique de signature d'accords locaux de production, notamment au Belarus et au Kazakkhstan (2013).
Cette zone est "compliquée", avec un marché auto russe promis à un bel avenir mais qui connait un fort ralentissement en raison de la crise économique et des tensions avec l'Ukraine, et des marchés qui ne sont pas encore matures pour les autres pays.
En 2014, les ventes de PSA se sont établies à 43.830 véhicules, en recul de 41% par rapport à 2013.
Sur le premier semestre 2015, le bilan de la zone est négatif :
- sur les 7 premiers mois de 2015, les ventes sont en recul de 79,1% avec 6.200 unités (PEUGEOT : 3.500 ; CITROEN : 2.700)
- la zone génère des pertes opérationnelles, mais elles ont été réduites de moitié par rapport à la même période de 2014.
Plusieurs constructeurs étrangers ont annoncé leur retrait du marché russe en raison de la baisse significative de leur volume de ventes : OPEL (groupe GM), SEAT (groupe VW) et tout dernièrement HONDA (dont les ventes ont chuté de 79% sur les 7 premiers mois 2015 pour s'établir à 2.742 unités).
Malgré un niveau faible de ventes, PSA semble décidé à se maintenir dans la zone notamment en Russie (avec une croissance attendue sur cette zone de 44% d'ici 2022), et à y redevenir rentable avec un objectif visé pour 2017.
Plusieurs priorités ont été fixées :
- le redimensionnement des modèles proposés, avec le maintien uniquement des modèles les plus prisés et les plus rentables. L'étude de la production d'un SUV et d'un VUL dans l'usine de Kaluga est en cours et pourrait être annoncer cette année ;
- l'amélioration du prix de revient de fabrication (PRF), avec un objectif de diminution de 400 E par véhicule d'ici 2016. Cela nécessitera une amélioration du taux d'intégration locale (qui pourrait passer de 34% à 44% d'ici fin 2015) et un travail important est en cours avec des fournisseurs locaux.
- une baisse des frais fixes, avec une diminution des effectifs de l'usine et des fonctions supports à Moscou et à Kiev.
Source : Auto Actu.
Elle est dirigée par Christophe BERGERAND depuis juillet 2014.
PSA est présent sur le principal marché de la zone, la Russie, grâce à une usine d'assemblage située à Kaluga, construite et détenue en partenariat avec Mitsubishi.
Hors Russie, PSA est également dans une logique de signature d'accords locaux de production, notamment au Belarus et au Kazakkhstan (2013).
Cette zone est "compliquée", avec un marché auto russe promis à un bel avenir mais qui connait un fort ralentissement en raison de la crise économique et des tensions avec l'Ukraine, et des marchés qui ne sont pas encore matures pour les autres pays.
En 2014, les ventes de PSA se sont établies à 43.830 véhicules, en recul de 41% par rapport à 2013.
Sur le premier semestre 2015, le bilan de la zone est négatif :
- sur les 7 premiers mois de 2015, les ventes sont en recul de 79,1% avec 6.200 unités (PEUGEOT : 3.500 ; CITROEN : 2.700)
- la zone génère des pertes opérationnelles, mais elles ont été réduites de moitié par rapport à la même période de 2014.
Plusieurs constructeurs étrangers ont annoncé leur retrait du marché russe en raison de la baisse significative de leur volume de ventes : OPEL (groupe GM), SEAT (groupe VW) et tout dernièrement HONDA (dont les ventes ont chuté de 79% sur les 7 premiers mois 2015 pour s'établir à 2.742 unités).
Malgré un niveau faible de ventes, PSA semble décidé à se maintenir dans la zone notamment en Russie (avec une croissance attendue sur cette zone de 44% d'ici 2022), et à y redevenir rentable avec un objectif visé pour 2017.
Plusieurs priorités ont été fixées :
- le redimensionnement des modèles proposés, avec le maintien uniquement des modèles les plus prisés et les plus rentables. L'étude de la production d'un SUV et d'un VUL dans l'usine de Kaluga est en cours et pourrait être annoncer cette année ;
- l'amélioration du prix de revient de fabrication (PRF), avec un objectif de diminution de 400 E par véhicule d'ici 2016. Cela nécessitera une amélioration du taux d'intégration locale (qui pourrait passer de 34% à 44% d'ici fin 2015) et un travail important est en cours avec des fournisseurs locaux.
- une baisse des frais fixes, avec une diminution des effectifs de l'usine et des fonctions supports à Moscou et à Kiev.
Source : Auto Actu.