Quid de tout le reste ? Quel bordel !!
Déclaration du vice-président de GM, Steve Girsky
« Notre alliance reste solide et focalisée sur des programmes communs de développement de véhicules, des fabrications croisées, des achats et de la logistique », a-t-il ajouté. « Nous faisons de bons progrès tout en restant ouverts aux nouvelles opportunités ».
Extrait du journal "Les Echos"
"Notre participation était censée soutenir PSA dans sa démarche en vue d'augmenter son
capital au moment de la création de l'alliance entre GM et PSA et ce soutien n'est plus
nécessaire", explique le vice-président de GM Steve Girsky dans un communiqué
Extraits du journal "Les Echos"
Le schéma capitalistique ne simplifie pas les choses. Thierry est le président du conseil de surveillance de PSA, mais Robert, lui, est patron de la FFP, le holding qui détient la majorité des parts (19 % sur les 25 % de la famille dans le constructeur). Une FFP qui est elle-même détenue en majorité par la société Etablissements Peugeot Frères... présidée par Jean-Philippe. Pour ne rien arranger, les membres de la famille ont tous un bureau au 9e étage de l’immeuble de l’avenue de la Grande-Armée. Et les cadres du groupe ont porte ouverte pour venir raconter leurs états d’âme. Au final, chacun des cousins veut peser dans les décisions, et ils n’ont pas forcément les mêmes intérêts. Alors que le clan Thierry défend une vision industrielle de long terme, Robert a voulu diversifier le patrimoine familial, via la FFP, vers d’autres actifs que l’automobile (Zodiac, SEB, Orpea…). De quoi provoquer des frottements réguliers, qui obligent les patrons de PSA à les recevoir à tour de rôle dans leur bureau. Cela s’est vu notamment dans le choix des dirigeants. Alors que Thierry Peugeot caressait l’idée de nommer Frédéric Saint-Geours pour remplacer Jean-Martin Folz en 2006, Robert s’y était opposé. De même, si Christian Streiff entretenait de bons contacts avec Thierry, les relations étaient plus fraîches avec Robert.
Extraits du journal "Les Echos"
Malgré ces tensions, les trois cousins ont toujours su se retrouver dans les grandes décisions. En cette période cruciale, sauront-ils à nouveau taire leurs divergences ?
Extrait du journal "Les Echos"
"Notre participation était censée soutenir PSA dans sa démarche en vue d'augmenter son
capital au moment de la création de l'alliance entre GM et PSA et ce soutien n'est plus
nécessaire", explique le vice-président de GM Steve Girsky dans un communiqué
Mais bon, ces changements réguliers ne montrent pas une bonne image.
La presse se fait echo des tensions entre les trois cousins Peugeot (Thierry, Rovert et jean-Philippe) qui dirigent le groupe PSA et FFP.
Extraits du journal "Les Echos"
Le schéma capitalistique ne simplifie pas les choses. Thierry est le président du conseil de surveillance de PSA, mais Robert, lui, est patron de la FFP, le holding qui détient la majorité des parts (19 % sur les 25 % de la famille dans le constructeur). Une FFP qui est elle-même détenue en majorité par la société Etablissements Peugeot Frères... présidée par Jean-Philippe. Pour ne rien arranger, les membres de la famille ont tous un bureau au 9e étage de l’immeuble de l’avenue de la Grande-Armée. Et les cadres du groupe ont porte ouverte pour venir raconter leurs états d’âme. Au final, chacun des cousins veut peser dans les décisions, et ils n’ont pas forcément les mêmes intérêts. Alors que le clan Thierry défend une vision industrielle de long terme, Robert a voulu diversifier le patrimoine familial, via la FFP, vers d’autres actifs que l’automobile (Zodiac, SEB, Orpea…). De quoi provoquer des frottements réguliers, qui obligent les patrons de PSA à les recevoir à tour de rôle dans leur bureau. Cela s’est vu notamment dans le choix des dirigeants. Alors que Thierry Peugeot caressait l’idée de nommer Frédéric Saint-Geours pour remplacer Jean-Martin Folz en 2006, Robert s’y était opposé. De même, si Christian Streiff entretenait de bons contacts avec Thierry, les relations étaient plus fraîches avec Robert.
Extraits du journal "Les Echos"
Malgré ces tensions, les trois cousins ont toujours su se retrouver dans les grandes décisions. En cette période cruciale, sauront-ils à nouveau taire leurs divergences ?
BMW restera sur sa position, car c'est Dongfeng qui pourrait profiter de la technologie commune BMW/PSA
moi je préfèrais les anciens moteurs peugeot (qui était très fiables)que les moteurs construit avec bmw qui lui a plus de problèmes surtout le thp,peugeot aurait pu les faires seul
Dongfeng n'est pas un fabricant pur et dur. Ca me semble moins gênant pour BMW qu'un GM.
Arfff
Je l'avais vu venir depuis un moment .
Plutôt que GM augmente sa participation.... PSA va chercher d'autres partenaires.
GM a finalement refusé le partage hors Europe.
PSA et Gm ont été très long a présenter quelques rares projets en communs.
Le projet de petite bagnole, l'un des rares projets communs a été rétoqué il y a peu.
PSA cherchait un partenaire pour l'hybrid air... gm ne semblant pas intéressé.
Bref beaucoup de signes annonciateurs . Sans compter l'image qu'avait GM avant son alliance qui avait déjà échoué à travers Saab ou Fiat par exemple.
Ce qui est dommage c'est que cet alliance PSA / GM a du coup fait péter toutes les alliances qu'entretenait PSA auparavant avec Fiat, BMW, ....
J'ai l'impression qu'au final il y a plus de dégâts que de bénéfices .
Citroën et Claudia Schiffer ... ça se résume a une pub pour la Xsara il y a bien logntemps .Opel vient de piquer Claudia Schiffer à Citroën
Et Cristalline c'est dans le domaine de l'eau.... l'équivalent de la futur gamme essentiel de Citroën.... tout colle .On me dit aussi dans l'oreilette que Cristalline a piqué Guy Roux à Citroën