MINI COOPER S incidents moteurs divers bruits puis casse du bloc moteur
Les mini COOPER S dont le bloc moteur est commun avec certains modèles de Peugeot EP6 connaissent des incidents d’abord par un bruit suspect au démarrage surtout par temps froid puis des casses de la partie haute moteur (soupapes etc...)
Les recherches de nos experts ont montré que le problème est davantage déclaré en Angleterre où des sites ont développé le sujet bien plus que chez nous .
En fait le constructeur a fini par admettre, que lors de temps froid, le poussoir de tendeur de distribution ne s’amorce pas , la distribution détendue et déréglée, produit du bruit parfois en raison du décalage possible cela conduit à la percussion des têtes de soupapes sur les pistons.
Pièce incriminé le poussoir hydraulique :
Deux orifices seraient trop petit,quand l’huile est froide, la viscosité n’autorise pas un bon passage de ce fait le poussoir ne s’ouvre pas et un bruit comparable au diesel apparaît.
Le remplacement du complet distribution est conseillé mais parfois le problème peut disparaître avec le temps.
Il semble que le tendeur de chaîne suivant les références soit remplacé depuis 2008.
La viscosité de l’huile est à surveiller.
Pour le SAV, la quantité d’huile dans le carter inferieure est insuffisante,lorsque le moteur est exploité fortement.
Une note ou un rappel était en cours à l'époque. En tout cas, le réseau a fait remonter l’info.
Sachant que nous possédons un bloc identique en commun, vous comprenez mieux l'intervention ultime des journalistes d'TOTOPLUS sur la parution de cette semaine CONCERNANT LES DS3 EN OCCASION ET A MOINS DE 6 MOIS DE LA FIN DE LA GARANTIE CONTRACTUELLE DES PREMIERES SORTIES EN BOUT DE CHAINE et l'insistance bénéfique de J*** R**** M***** sur FRANCE INFO deux fois ces deux dernières semaines concernant les vices cachés de conception...pour avertir et non pas pour affoler comme on se plait à le dire! :
QUE FAUT-IL SAVOIR SUR LE VICE CACHE/
COMMENT LUTTER CONTRE CE VICE CACHE? :
C’est une évolution depuis 5-6 ans : moins bien couvrir les défauts sur les voitures, une fois la période de garantie contractuelle terminée.
Pour des défauts techniques tout à fait identifiés, les constructeurs, de plus en plus, refusent toute indemnisation – ou n’en accordent que des dérisoires.
Ils préfèrent que certains clients aillent jusqu’au procès, plutôt que d’assumer leurs responsabilités face à certains vices cachés, dont la réparation finirait par leur coûter cher.
C’est une attitude… illégale ?
Oui ! Lorsqu’un produit est atteint d’une faiblesse de conception ou de fabrication, c’est à l’industriel de prendre en charge les réparations – pour une panne anormale, je précise bien.
Là,… pour les pannes purement mécaniques, les constructeurs préfèrent de plus en plus – surtout lorsqu’il s’agit d’avaries sur des pièces lourdes, coûteuses, comme un moteur – ils préfèrent laisser les clients sans prise en charge – ou presque. Plutôt que de les indemniser, ainsi que le voudrait la loi.
Certains clients font des procès ?
Oui… Mais j’aurais tendance à dire que les constructeurs s’en moquent ! Calcul purement financier.
Ils estiment que si, sur le lot des clients confrontés au problème, il y en a 3-4% qui vont réellement jusqu’au procès, ça leur coûte moins cher, au final, que de prendre en charge systématiquement les réparations.
Au mieux, les constructeurs accordent une prise en charge très partielle des frais de réparation. Et, quand, ils le font, ils parlent de « geste commercial ».
Ce qui piétine les droits des consommateurs.
Les droits des automobilistes sont plutôt moins bien respectés aujourd’hui qu’il y a quelques années…
MAIS QU'ENTENDEZ-VOUS PAR VICE CACHE / Le vice caché, c’est un défaut, une panne – ou une usure prématurée –, qui survient dans la vie d’un produit, et qui ne relève pas de son usure normale.
C’est aussi une panne, ou une faiblesse qui n’est PAS due à l’utilisateur.
Le vice caché, c’est vraiment une défaillance… "non-normale", qui entrave le bon fonctionnement du produit.
S’agissant d’une voiture – qui cumule un grand nombre de fonctions – ce peut être : une faiblesse qui affecte ses organes vitaux qui lui servent à avancer, à tourner, à freiner.
Ou un incident sur les fonctions annexes : la climatisation, la radio, etc.
Et ce peut être une faiblesse de conception. Ou une faiblesse de… fabrication.
A partir de là, tous les défauts sont-ils des vices cachés ?
Evidemment pas !
Tout ce qui fait partie de l’usure « normale », n’est pas à mettre sur le compte d’une faute du fabricant. De même que tout ce qui résulte d’une négligence d’usage. Ou d’entretien.
Vous ne pouvez pas vous retourner contre un constructeur, pour un moteur cassé à la suite d’un mauvais carburant, ou de l’oubli d’une vidange.
A quoi donne droit cette notion de : « vice caché » ?
Légalement : à ce que le constructeur assume ses responsabilités. Qu’il prenne en charge les conséquences de la défaillance.
Très exactement : qu’il vous replace dans la situation où vous vous trouviez AVANT que l’incident survienne.
Par le remplacement de l’élément défaillant. Avec une prise en charge à la clé.
Prise en charge partielle pour les pièces d’usure. Qui tienne compte du kilométrage déjà parcouru.
Et pour les organes vitaux – moteur, boîte de vitesses – le remplacement par des pièces d’occasion de même kilométrage. Ou des pièces en échange standard.
Et, si le constructeur n’en a pas, il faut qu’il augmente sa prise en charge, pour que vous n’ayez subir, vous, les conséquences du défaut d’origine.