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1/ les modalités du rapprochement entre PSA et OPEL restent à définir : fusion ou alliance ?
2/ il y a deux difficultés importantes :
- la charge des retraites des salariés d'OPEL évaluée à 7 milliards d'euros ; c'est un point sur lequel l'accord sera fondamental entre GM et PSA et qui sera analysé par les marchés et les investisseurs ; l'importance du poids de ce fonds des retraites expliquerait en partie les "efforts de GM" sur le partage de ses brevets, technologies, moteurs, plateformes...
- le sort de la branche européenne de l'établissement financier GMAC, équivalent de PSA Finance ; la création d'une nouvelle co-entreprise avec un grand établissement bancaire serait à l'étude.
3/ Les faiblesses de la compétitivité d'OPEL ont été analysées.
La masse salariale d'OPEL/VAUXHALL représente 15% du CA contre 10% chez PSA.
Comme je l'indiqué hier, C TAVARES n'envisagerait pas la fermeture de sites industriels, mais de les faire gagner en compétitivité avec les mêmes méthodes que celles appliquées depuis 2014 aux sites français (compactage des sites, organisation en monoligne, etc...).
4/ Quelques objectifs chiffrés commencent à circuler :
- sur les volumes de ventes : 5 millions d'unités d'ici 2021, ce qui signifie un objectif de croissance de 16% par rapport à l'addition des volumes 2016 de PSA et OPEL/VAUXHALL (4,3 millions d'unités) ;
- les économies résultant de ce rapprochement doivent provenir de la mise en commun des achats et de la R&D grâce au partage des plateformes et à la convergence des technologies de motorisations.
Certains analystes les évaluent à 2 milliards d'euros : 1,2 milliards au niveau des achats, 0,4 milliards d'euros au niveau de la R&D, 0,4 milliards sur la masse salariale.
5/ GM et PSA visent le mois de mars pour officialiser l'accord sur OPEL/VAUXHALL.
1/ les modalités du rapprochement entre PSA et OPEL restent à définir : fusion ou alliance ?
2/ il y a deux difficultés importantes :
- la charge des retraites des salariés d'OPEL évaluée à 7 milliards d'euros ; c'est un point sur lequel l'accord sera fondamental entre GM et PSA et qui sera analysé par les marchés et les investisseurs ; l'importance du poids de ce fonds des retraites expliquerait en partie les "efforts de GM" sur le partage de ses brevets, technologies, moteurs, plateformes...
- le sort de la branche européenne de l'établissement financier GMAC, équivalent de PSA Finance ; la création d'une nouvelle co-entreprise avec un grand établissement bancaire serait à l'étude.
3/ Les faiblesses de la compétitivité d'OPEL ont été analysées.
La masse salariale d'OPEL/VAUXHALL représente 15% du CA contre 10% chez PSA.
Comme je l'indiqué hier, C TAVARES n'envisagerait pas la fermeture de sites industriels, mais de les faire gagner en compétitivité avec les mêmes méthodes que celles appliquées depuis 2014 aux sites français (compactage des sites, organisation en monoligne, etc...).
4/ Quelques objectifs chiffrés commencent à circuler :
- sur les volumes de ventes : 5 millions d'unités d'ici 2021, ce qui signifie un objectif de croissance de 16% par rapport à l'addition des volumes 2016 de PSA et OPEL/VAUXHALL (4,3 millions d'unités) ;
- les économies résultant de ce rapprochement doivent provenir de la mise en commun des achats et de la R&D grâce au partage des plateformes et à la convergence des technologies de motorisations.
Certains analystes les évaluent à 2 milliards d'euros : 1,2 milliards au niveau des achats, 0,4 milliards d'euros au niveau de la R&D, 0,4 milliards sur la masse salariale.
5/ GM et PSA visent le mois de mars pour officialiser l'accord sur OPEL/VAUXHALL.